Proposé par Jackdidier. Texte de Marie L.
Que le bonheur doit être grandiose pour le photographe devant l’apothéose d’un sublime coucher de soleil prodige de la nature sans pareil.
Il faut juste saisir le cliché au bon moment, à l’emplacement opportun, instant saisissant.
Il faut également compter avec le ciel favorisant l’éclat et le teint vermeil.
Parfois, rien ne se passe car, un nuage noir est venu s’interposer, le photographe est au désespoir.
La vue ne laisse paraître que du bleu sombre, légèrement rosé par endroits, limitant la pénombre.
Quel bonheur quand sur l’eau argentée, la luminosité joue des effets divins violacés.
Dans la brume, le soleil évanouit sa luminescence, ne laisse apparaître que sa forme cylindrique évanescente.
Il allume parfois tout l’horizon d’un feu doré virant à l’incarnat dans les hauteurs de l’immensité.
Sur le miroir aqueux, il peint avec amour du charme le soleil, c’est le Dieu créateur de beauté qui désarme.
Texte poétique de Marie Laborde
Proposé et réalisé, sélection des images et du son par Jackdidier