Belle-Ile-en-Mer la bienheureuse Son nom est un défi que l'île remporte aisément. D’est en ouest, de vallons en falaises, des plages de sables fin aux rochers tourmentés de la côte sauvage, Belle-Ile n’a pas fini d’émerveiller ses visiteurs ! Belle-Ile-en-Mer est la plus grande et la plus plébiscitée des îles du Ponant. Caressée par le courant chaud du Gulfstream qui la préserve des rudes hivers, l'île a toujours été très prisée, notamment à cause de sa position stratégique. Elle a ainsi subi plusieurs invasions successives (notamment anglaises et hollandaises) avant de redevenir française en De cette histoire mouvementée, Belle-Ile garde une multitude de petits fortins et la citadelle du Palais, construite par Vauban. Aujourd'hui, quatre bourgs départagent les centaines de petits villages qui la peuplent : Le Palais, Sauzon, Locmaria et Bangor.
Sur la côte sauvage, ces plages sont entourées de plateaux où se cachent des grottes. On peut y accéder par marée basse.
Peintes par Claude Monet, qui aimait poser son chevalet dans des endroits escarpés, les aiguilles de Port Coton tirent leur nom de l'écume qui se forme à leur pied.
Petite îlot, la pointe des poulains offre un panorama grandiose où l'on peut voir Groix, Lorient et toute la baie de Quiberon.
La très longue plage des Donnants et ses dunes de sable fin font le bonheur des estivants.
Nichées au creux de la falaise, de petites criques ornent la pointe de Bugul.
Les couleurs pastelles des maisons se mêlent aux couleurs vives du port.
Nombreuses sont les petites criques qui bordent le rivage de Belle-Ile. Elles sont propices au repos.
De part sa proximité avec le continent, Le Palais est la première porte d'entrée de Belle-Ile.
Les double remparts de la ville promettent une balade des plus romantiques et une vue magnifique sur Le Palais.
La côte ouest de l'île, balayée par les vents, offre de très beaux panoramas sauvages.
"Notre-Dame de Bois Tors" est le plus ancien édifice religieux de l'île, son clocher en poivrière date du XVIIIème.
DOUCE TENTATION