Par Samia Mehrez Claire Nagel FREN 4101, Autumn 2003 Dr Cottille-Foley Azouz Begag:Un di Zafas di Bidoufile (Azouz Begag: Un des enfants du bidonville) or TheBeur Writer: A question of Territory Par Samia Mehrez Claire Nagel FREN 4101, Autumn 2003 Dr Cottille-Foley
Le sujet de l’article Mehrez écrit sur la « déterritorialisation, » physique et littéraire, de la société des immigrants de la deuxième génération, principalement ceux d'Afrique du Nord. Il interroge les cultures et leurs attitudes dans la minorité, pour mieux les comprendre.
L’Exil: Pourquoi fait-on l’immigration? Les raisons typiques incluent les aspects politique, économique, et social. Plus important, est-ce qu’on a fait ça volontairement?
L’histoire d’immigration des Africains du Nord La majorité commence après la deuxième guerre mondiale avec la situation économique de la France Aujourd’hui il y a environ 2 millions d’immigrants d’Afrique du nord qui habitent en France. Cette immigration est peut-être au cause des colonies de France, comme La Côte d’Ivoire
Les parents des beurs Ils ont fait une communauté unique dans la communauté française : ils ne veulent pas habiter en France – au cause de ça, ils les ostracisent Ils rêvent de retourner en Afrique, leurs vrai bantoustan
Beur C’est les immigrants de deuxième génération En arabe, el-ber, c’est « le pays »
“Je sais pourquoi il disent Radio Beur, pourquoi ça beur, c’est le beurre des Français qu’on mange sur le pain?” Parle mon fils, parle à ta mère, par L. Sebbar C’est l’idée que les parents n’ont pas compris cette nouvelle culture
Les enfants – les beurs Les beurs veulent seulement rester en France. Il n’y a pas un sens de vouloir aller en Afrique – La France, c’est le seul pays qu’ils connaissent. Ils ont fait une culture unique qui est une combinaison de celle de leurs parents et de celle des Français.
L’histoire de: Le Gone du Chaâba Azouz Begag est un auteur de culture Beur En 1986, le livre a été interdit par le lycée Pablo Picasso à Lyon. Il y a des parents qui disent qu’il est un roman de racisme et de pornographie. Ironiquement, c’était les parents des beurs qui se plaignaient de ce livre!
Le sens de titre: Le Gone du Chaâba Gone : c’est “enfant” parler des natifs de Lyon. Chaâba: c’est “populaire” ou “du peuple” en un dialecte algérien – c’est le nome donner au bidonville par les immigrants pour les aider à réclamer le territoire. Mehrez dit que Begag utilise ce titre afin de réclamer son identité dans la société française, mais aussi dans la société d’immigrants.
Un nouveau dialecte Begag utilise les dialectes de Lyon et d’Algérie : Il y a deux dictionnaires a la fin de livre. Azouz utilise le français du chaâba, du gone et aussi le Français traditionnel. Le gone démontre les effets de la culture de la communauté nord-africaine dans la culture traditionnelle.
Le dilemme des beurs et leurs personnages Comment construire une identité et acquérir un territoire stable quand on occupe une position créée par des espaces différents qui sont élogieux et contradictoires. Mehrez dit que c’est ça qui est le dilemme des beurs et de leurs personnages: à l'équilibre lui-même sur les deux tabourets plutôt que pour tomber entre eux.