Le Grau-du-Roi habitants est situé au sud du département du Gard. Elle est le seul débouché maritime de ce département. Le canton d'Aigues-Mortes a été obtenu en contrepartie du canton de Ganges (très riche à l'époque), suite à un échange avec l'Hérault par rapport au découpage initial des départements. Fondée par des immigrants italiens à la fin du XIXe siècle, dans une zone insalubre, entre mer et étangs. Jusqu'aux années 1920, son activité est entièrement tournée vers la pêche et le tourisme (avec Port Camargue). Le Grau-du-Roi habitants est situé au sud du département du Gard. Elle est le seul débouché maritime de ce département. Le canton d'Aigues-Mortes a été obtenu en contrepartie du canton de Ganges (très riche à l'époque), suite à un échange avec l'Hérault par rapport au découpage initial des départements. Fondée par des immigrants italiens à la fin du XIXe siècle, dans une zone insalubre, entre mer et étangs. Jusqu'aux années 1920, son activité est entièrement tournée vers la pêche et le tourisme (avec Port Camargue). La commune est entourée d'étendues d'eau: La commune est entourée d'étendues d'eau: Au sud la mer Méditerranée avec la plage du Boucanet, la plage nord, la plage sud, la plage de l'Espiguette, A l'est le petit Rhône, A l'ouest le Vidourle, Au nord le Vidourle, les étangs et le lac de Salonique. Le centre-ville, construit autour du canal reliant les étangs et Aigues-Mortes à la mer (Grau) conserve encore aujourd'hui son cachet traditionnel. Au-delà du cœur historique, les maisons et immeubles de vacances, s'étalent au rythme des décennies: rive droite se trouve le quartier du Boucanet qui s'étend du centre ville jusqu'au bois du Ponant, rive gauche au-delà du centre ville, se trouve le quartier du palais de la mer puis port Camargue. L'église St Pierre, reconstruite dans les années la maison dite du dauphin, face à l'église, typique de l'architecture 1900". L'ancien phare couvert d'un lanternon en cuivre La "villa Parris", "belle époque", à côté du phare, abritant un centre culturel.Balcon-terrasse suppoorté par des colonnes en fonte ouvragées. La "villa Rédarès", bel exemple d'architecture balnéaire Art Déco des années 1920, dernier vestige de ce style sur la commune, elle doit être, hélas, prochainement rasée... Les quais et les façades préservés en grande partie le long du chenal du port de pêche Au sud la mer Méditerranée avec la plage du Boucanet, la plage nord, la plage sud, la plage de l'Espiguette, A l'est le petit Rhône, A l'ouest le Vidourle, Au nord le Vidourle, les étangs et le lac de Salonique. Le centre-ville, construit autour du canal reliant les étangs et Aigues-Mortes à la mer (Grau) conserve encore aujourd'hui son cachet traditionnel. Au-delà du cœur historique, les maisons et immeubles de vacances, s'étalent au rythme des décennies: rive droite se trouve le quartier du Boucanet qui s'étend du centre ville jusqu'au bois du Ponant, rive gauche au-delà du centre ville, se trouve le quartier du palais de la mer puis port Camargue. L'église St Pierre, reconstruite dans les années la maison dite du dauphin, face à l'église, typique de l'architecture 1900". L'ancien phare couvert d'un lanternon en cuivre La "villa Parris", "belle époque", à côté du phare, abritant un centre culturel.Balcon-terrasse suppoorté par des colonnes en fonte ouvragées. La "villa Rédarès", bel exemple d'architecture balnéaire Art Déco des années 1920, dernier vestige de ce style sur la commune, elle doit être, hélas, prochainement rasée... Les quais et les façades préservés en grande partie le long du chenal du port de pêche Le site naturel de l'Espiguette et son phare édifié en Le site naturel de l'Espiguette et son phare édifié en En 1900, Le Grau-du-Roi n’est encore qu’un très modeste village d’un peu plus d’un millier d’habitants. Ce sont la pêche et l’agriculture qui assurent à la population quelques ressources : le tourisme n’est encore qu’embryonnaire, même si, depuis le XIXe siècle, la mode des bains de mer tend à se généraliser. Ces immersions sont encore essentiellement considérées comme traitements médicaux et les instituts qui se sont montés sur les plages accueillent surtout des populations indigentes. Mais pouvoirs publics et habitants ont compris que leur richesse se trouvait là, sur ces plages de sable fin, entre mer et soleil. En 1900, Le Grau-du-Roi n’est encore qu’un très modeste village d’un peu plus d’un millier d’habitants. Ce sont la pêche et l’agriculture qui assurent à la population quelques ressources : le tourisme n’est encore qu’embryonnaire, même si, depuis le XIXe siècle, la mode des bains de mer tend à se généraliser. Ces immersions sont encore essentiellement considérées comme traitements médicaux et les instituts qui se sont montés sur les plages accueillent surtout des populations indigentes. Mais pouvoirs publics et habitants ont compris que leur richesse se trouvait là, sur ces plages de sable fin, entre mer et soleil. Le prolongement de la ligne de chemin de fer de Nîmes Aigues-Mortes est une véritable bouffée d’oxygène : les baigneurs arrivent en masse et les productions locales, comme le poisson et le raisin blanc, sont enfin expédiées vers les marchés nationaux. Le prolongement de la ligne de chemin de fer de Nîmes Aigues-Mortes est une véritable bouffée d’oxygène : les baigneurs arrivent en masse et les productions locales, comme le poisson et le raisin blanc, sont enfin expédiées vers les marchés nationaux. Après des années d’efforts, de travaux et de règlements sanitaires, le 26 avril 1924 un décret du Président de la République classe enfin Le Grau-du-Roi « station climatique et balnéaire ». Après des années d’efforts, de travaux et de règlements sanitaires, le 26 avril 1924 un décret du Président de la République classe enfin Le Grau-du-Roi « station climatique et balnéaire ». D’autres diaporamas >> Ici D’autres diaporamas >> Ici