3. Des politiques économiques réduites à l’impuissance Le contexte de mondialisation prive les instruments traditionnels de la régulation conjoncturelle (politique monétaire, politique budgétaire) d’une bonne partie de leur efficacité. Les politiques monétaires et budgétaires de relance se heurtent à la « contrainte extérieure ».
Le triangle de mundell Se référer à la page 377 Chaque côté du triangle représente un avantage Donc chaque angle représente un inconvénient Contrôle des flux de capitaux Autonomie de la politique monétaire Stabilité des changes Abandon des objectifs internes de la politique monétaire Volatilité du taux de change Libre circulation des capitaux
Autonomie de la politique monétaire Le triangle de Mundell Le « triangle de Mundell » résume l’alternative à laquelle sont confrontées les politiques monétaires. Dans un contexte de libéralisation complète des flux de capitaux, un pays ne peut à la fois bénéficier d’une monnaie stable et mener une politique monétaire autonome de façon à améliorer sa conjoncture intérieure Ici un pays manie son taux directeur comme bon lui semble mais cela n’affecte pas le taux de change (contrôle des flux de capitaux) Autonomie de la politique monétaire Stabilité des changes Dans ce contexte de mondialisation financière, si le pays use de sa politique monétaire à des fins internes, son taux de change sera destabilisé Maintenant le pays a libéralisé les flux de capitaux, pour bénéficier d’un taux de change stable il doit manier ses taux directeurs avec prudence Libre circulation des capitaux
Le privilège américain Les Etats-Unis ont conservé la liberté de leur politique monétaire au prix d’une grande instabilité du dollar. La plupart des autres pays sont gênés pour mener des politiques monétaires contracycliques.