LE RESEAU DE SCINTILLATEURS : ANALYSE DES EVENEMENTS J. Chauvin Nantes 23 Octobre 2006 Comment extraire des signaux MATACQ les informations sur la gerbe atmosphérique ? A- la reconstruction du plan de la gerbe (θ,φ) et T 0 (phase) OK Comparaison antennes B- la taille de la gerbe ( nombre total de particules au sol) et la position du pied de gerbe (NE,XS,YS) Distribution latérale mieux contrainte avec 13 stations C- l’estimation de l’énergie. La compatibilité entre le taux de trigger et le flux de cosmiques. E,Φ(E) Encore beaucoup de travail a faire
A-(θ,φ) et la phase T0 Fit par un plan (x i,y i ) position des stations (connaître les positions des stations) t i position du début du signal par rapport à une origine des temps ( connaître les longueurs de câbles) Si la symétrie du réseau était parfaite
Contrôle pour chaque événement de la qualité du fit
B- la taille de la gerbe ( nombre total de particules au sol) et la position du pied de gerbe:: (NE,XS,YS) Une phase préliminaire: 1)Connaître la charge laissée par un muon vertical <= Runs de calibrations + simulation GEANT3 2) Vérifier la dynamique (0.3 a 1000 VEM/ station) Rapport HautGain/BasGain (~20) pas trop de Bas Gain sature ! (ne peut être fait qu’avec des gerbes) Quand tout est OK, on peut démarrer !
Pour chaque événement => Q i => n i en VEM => densité de particules Fit des densités dans le plan perpendiculaire à la gerbe par une fonction NKG standard ( a améliorer avec 9 et 13 stations) =>(NE,xs,ys) Interne : ni maximum au centre PDG dans « carre interne »
C L'énergie et les taux de comptages <= Φ(E) un estimateur d’energie « rudimentaire » A partir de θ on calcule l’épaisseur d’atmosphère traversée (USS) jusqu’au sol et on recherche quelle énergie E de proton donne une taille NE au sol en utilisant la parametrisation GIL pour le développement longitudinal de la gerbe GIL Voir si avec 13 stations les méthodes employées dans les grands réseaux (AUGER,AGASA) sont recyclables ( en un temps raisonnable !).
(t en s) En prenant Ec= eV (marron) et Ec = eV (vert), On suppose efficacité de détection de 100% et α=60° (angle max) (60° compatible avec les « data » => A=SΩ~8500 m2.sr) on obtient pour 53 jours (run30) les comptages attendus en fonction de c=√S geo (cote du carre) La surface interne correspond a un carre de c=60m Les « data » ( nombre d’événements dont l’énergie est supérieure à Ec choisi ) sont supérieurs d’un facteur 2. Faible statistique Les comptages « internes » au delà d’une énergie E c Les comptages totaux (ensemble des triggers) E>E c Ce dont on est sur ! : C’est une fonction croissante de E qui traduit le fait que plus l’énergie augmente, plus on est sensible à des gerbes lointaines extérieures au détecteur et plus l’acceptance angulaire augmente ( les gerbes atteignent le sol même a grands angles)
Trigger (53 jours) en fonction de E(coupure) PeV Le PIG model (Projected Intersecting Graphs? ou modèle de cochon?) GIL+LDF NKG+Géométrie primaires: protons uniquement, pas de fluctuations évidemment!,…. donne une parametrisation de S(E,θ)=(a+bcosθ)√E et de cosθ max donne l’allure générale des data ( en particulier des distributions angulaires) surestime les comptages à basse énergie ( 330trigger/j au lieu de 200 ! ) Montre que même si on a que quelques événements internes au dessus de eV il devrait y en avoir plusieurs centaines dans les triggers totaux ! « VRAI » SIMULATION <= AIRES + PERFORMANCES DES DETECTEURS AGRANDIR LE DETECTEUR AU SOL ? Ecarter les stations ? PRELIMINAIRE