LE 21 MARS 2005 Pour toi mon mari
Il resterait peu de chose A l’homme qui vit un jour, Si dieu nous ôtait les roses, Si dieu nous ôtait l’amour !
Chéri, J’attends patiemment Que tu reviennes, De pouvoir te toucher, Te parler, t’écouter
Nous sommes loin des yeux, Mais si prés du coeur
Je rêve de l’instant Où, nos deux amours se réuniront pour en faire qu’un
Malgré la distance, Soyons heureux pour la vie, sachant que ces deux amours seront unis Pour l’éternité
La vie, C’est ce qui coule dans mes veines lorsque tu me dis je t’aime
Je voudrai, De nouveau me noyer dans ton doux regard, Et de me voir belle, si belle que le monde soudain devient beau lui aussi
Ce sentiment d’éternité Qui fait frémir mon âme c’est toi
Tu es Le double de mon cœur, Le double de mon âme, Ma source de vie
Chacun de tes « je t’aime » Fait battre mon cœur, Et chaque battement de celui-ci Est un « je t’aime » pour toi
Le prolongement de mon âme C’est ton âme qui s’unit à la mienne
Le prolongement de ton cœur C’est mon cœur qui a su prendre le tien
Le prolongement de mon cœur C’est ton cœur, nous ne faisons plus qu’un
Et je sais, Qu’au bout de la tristesse et de la séparation, Il y a le bonheur qui emplira nos coeur