Edgar QUINET
Sa vie Edgar Quinet est né à Bourg en Bresse dans le département de lAin le 17 février 1803 et il est décédé à Paris le 27 mars Edgar Quinet est né à Bourg en Bresse dans le département de lAin le 17 février 1803 et il est décédé à Paris le 27 mars Cétait un écrivain et un historien français. Cétait un écrivain et un historien français. Son père avait été commissaire de larmée, il démissionna et alla vers les mathématiques et la science. Son père avait été commissaire de larmée, il démissionna et alla vers les mathématiques et la science. Edgar Quinet était attiré par la littérature alors que ca mère lavait envoyé a lécole et que son père voulait quil aille dans larmée, où dans les affaires. Edgar Quinet était attiré par la littérature alors que ca mère lavait envoyé a lécole et que son père voulait quil aille dans larmée, où dans les affaires.
Carrière littéraire Sa première publication, les Tablettes du juif errant, parut en Frappé par la Philosophie der Geschichte de Herder, il entreprit de la traduire et commença par apprendre l'allemand. Il publia sa traduction en 1827, et obtint une reconnaissance rapide. Il avait visité l'Allemagne et l'Angleterre avant la publication de son œuvre. À son retour, il publia La Grèce moderne. Son premier ouvrage important, un poème intitulé Ahasverus qui fut publié en Il a été le titulaire de la chaire de Langues et littératures de lEurope méridionale au Collège de France ( : révoqué ; rétabli en ). Sa première publication, les Tablettes du juif errant, parut en Frappé par la Philosophie der Geschichte de Herder, il entreprit de la traduire et commença par apprendre l'allemand. Il publia sa traduction en 1827, et obtint une reconnaissance rapide. Il avait visité l'Allemagne et l'Angleterre avant la publication de son œuvre. À son retour, il publia La Grèce moderne. Son premier ouvrage important, un poème intitulé Ahasverus qui fut publié en Il a été le titulaire de la chaire de Langues et littératures de lEurope méridionale au Collège de France ( : révoqué ; rétabli en ). Une station du métro de Paris porte son nom. Plusieurs lycées, dont un à Bourg-en-Bresse, portent également son nom. Une station du métro de Paris porte son nom. Plusieurs lycées, dont un à Bourg-en-Bresse, portent également son nom.
Participation à la vie politique La deuxième république Il sinscrit dans le processus démocratique dès Il sinscrit dans le processus démocratique dès Il se fait élire député de l'Ain à la Constituante de 1848, puis réélire en Il se fait élire député de l'Ain à la Constituante de 1848, puis réélire en 1849.
Le coup d'État du 2 décembre 1851 de Louis Napoléon Bonaparte est un véritable deuil privé pour Edgard Quinet. Il pense alors pouvoir lutter, mais lorsque son collègue Baudin, lui aussi député de l'Ain est tué sur les barricades le 3 décembre 1851, il comprend alors que toute lutte est vaine.Avec d'autres écrivains engagés, comme Victor Hugo, il doit s'exiler. Sa vie est bouleversée. En effet, la Belgique, sa terre d'accueil se méfie de lui et le surveille. Néanmoins, Genève lui offre une chaire de philosophie morale, en La ville suisse le reconnait alors en tant que champion de la liberté. Il publie ainsi dès 1850 L'enseignement du Peuple, qui, plus tard, influence fortement la politique d'éducation de Ferry Le coup d'État du 2 décembre 1851 de Louis Napoléon Bonaparte est un véritable deuil privé pour Edgard Quinet. Il pense alors pouvoir lutter, mais lorsque son collègue Baudin, lui aussi député de l'Ain est tué sur les barricades le 3 décembre 1851, il comprend alors que toute lutte est vaine.Avec d'autres écrivains engagés, comme Victor Hugo, il doit s'exiler. Sa vie est bouleversée. En effet, la Belgique, sa terre d'accueil se méfie de lui et le surveille. Néanmoins, Genève lui offre une chaire de philosophie morale, en La ville suisse le reconnait alors en tant que champion de la liberté. Il publie ainsi dès 1850 L'enseignement du Peuple, qui, plus tard, influence fortement la politique d'éducation de Ferry
Le retour en France. Il se présente aux élections du 10 septembre 1870 dans le département de l'Ain, mais il n'est pas élu. En revanche, il termine cinquième à Paris derrière Louis Blanc, Victor Hugo, Giuseppe Garibaldi (qui n'était même pas candidat) et Léon Gambetta. Vivant douloureusement la défaite face aux Prussiens Quinet s'isole. Il rejette violemment ce qu'il appelle « la République sans républicains ». Il meurt en 1875, juste avant que le régime ne s'ancre durablement dans la république grâce aux lois constitutionnelles de 1875.
Voici une de ses citations: Il s'agit ici non seulement de réfuter le papisme, mais de l'extirper; non seulement de l'extirper, mais de le déshonorer. (Le Livre de l'Exilé). Il s'agit ici non seulement de réfuter le papisme, mais de l'extirper; non seulement de l'extirper, mais de le déshonorer. (Le Livre de l'Exilé).
REGINA ELISABETA
Sa vie Regina Elisabeta ou Carmen Sylva est née le 29 décembre 1843, elle décède dune pneumonie le 2 mars 1916 à Bucarest. Regina Elisabeta ou Carmen Sylva est née le 29 décembre 1843, elle décède dune pneumonie le 2 mars 1916 à Bucarest. Elle devient, par mariage, princesse puis reine de Roumanie. Elle devient, par mariage, princesse puis reine de Roumanie. Elle est la fille du prince Hermann de Wied. Elle rencontre son futur mari, Charles de Hohenzollern-Sigmaringen, lors d'un séjour à Berlin en Elle l'épouse le 15 novembre 1869, trois ans après son élection en tant que prince de Roumanie. En 1871 nait une fille, Maria et meurt en Elle est la fille du prince Hermann de Wied. Elle rencontre son futur mari, Charles de Hohenzollern-Sigmaringen, lors d'un séjour à Berlin en Elle l'épouse le 15 novembre 1869, trois ans après son élection en tant que prince de Roumanie. En 1871 nait une fille, Maria et meurt en Durant la guerre russo-turque de , elle se consacre aux soins et aux blessés, et fonde l'ordre d'Élisabeth. Elle encourage l'enseignement secondaire et supérieur pour les femmes. En 1882 elle est élue membre de l'Académie de Roumanie. Durant la guerre russo-turque de , elle se consacre aux soins et aux blessés, et fonde l'ordre d'Élisabeth. Elle encourage l'enseignement secondaire et supérieur pour les femmes. En 1882 elle est élue membre de l'Académie de Roumanie.
Ses premières publications : Sappho and Hammer, deux poèmes apparus à Leipzig en Ses premières publications : Sappho and Hammer, deux poèmes apparus à Leipzig en Elle a réuni les récits et légendes de son pays, publié des poésies, et laissé des Mémoires sous le pseudonyme de Carmen Sylva. Elle a réuni les récits et légendes de son pays, publié des poésies, et laissé des Mémoires sous le pseudonyme de Carmen Sylva.
Le boulevard Regina Elisabeta