Le Baptème du Christ par Verrocchio, 1470-1480, : huile sur bois, 177 × 151 cm, Galerie des Offices de Florence. Léonard travailla notamment l’ange de gauche. Dj. Bois, Collège Couiza (Aude)
Peinture de Léonard : le sfumato Pour créer l’invisibilité des limites Léonard procède par couche très diluées, quasi transparentes grâce à une nouvelle technique venue de Flandres, la peinture à l’huile. Il est à noter que Mona Lisa était la jeune épouse d’un bourgeois florentin, Francesco del Giocondo. La Joconde 1503-1506, huile sur toile Musée du Louvre. Dj. Bois, Collège Couiza (Aude)
La perspective avec Léonard de Vinci L’annonciation vers 1473-1475, Huile et détrempe sur bois, Florence, galerie des offices. Au moment de la réalisation de cette peinture, Léonard est âgé d’une vingtaine d’année. Il maîtrise déjà la technique de la perspective géométrique. Cette œuvre comporte quelques erreurs comme le bras droit trop long de la Vierge par exemple. Les études qu’il poursuit sur l’optique et la nature de la lumière le conduiront à utiliser la façon dont les couleurs se réfléchissent les unes sur les autres. « Il y a trois sortes de perspectives : La première fait diminuer la taille des objets à mesure qu’ils s’éloignent de l’œil. La seconde est la façon dont les couleurs se modifient en s’éloignant de l’œil. La troisième et dernière consiste à définir comment les objets doivent être achevés avec d’autant moins de minutie qu’ils sont plus éloignés. » Dj. Bois, Collège Couiza (Aude)
Léonard de Vinci : Homme de la Renaissance Un artiste dont l’œuvre a marqué son époque, et les époques postérieures. Dj. Bois, Collège Couiza (Aude)