Voici le Grand Théâtre de Bordeaux ! CM2 – Ecole Arnaud Lafon de Mérignac
Voici Victor Louis l’architecte du Grand –Théâtre Voici Victor Louis l’architecte du Grand –Théâtre. Il a commencé en 1772-73. Après plusieurs interruptions et autres difficultés, la construction a repris et le théâtre a été prêt en 1780. Son vrai nom est Nicolas. A Paris, il a construit les galeries et le théâtre du Palais Royal (aujourd’hui la Comédie Française). victor louis
Les Muses nous attendent !
Thalie Muse de la comédie Thalie vient du mot grec qui signifie « fleurir » car elle faisait fleurir les plantes. Les muses présidaient aux arts et aux sciences. C’est une fille couronnée de lierre, chaussée de brodequins et qui tient un masque à la main.
Melpomène Muse de la tragédie Melpomène vient du mot grec qui signifie « chanter ». Les muses inspiraient les artistes, principalement les poètes et les musiciens. Son maintien est grave et sérieux ; elle est richement vêtue. Elle tient d’une main un sceptre et une couronne, de l’autre un poignard ensanglanté. Melpomène
Le balcon Tout en haut du grand théâtre, il y avait comme un balcon qui servait pour accéder en haut de la scène (pour installer le décor quand il y avait un spectacle). Ceux qui mettaient le décor étaient souvent des anciens matelots (car ils avaient l’ habitude de monter au mât quand ils accostaient. Quand ils voulaient se retirer de la marine, ils venaient installer le décor (ils n’avaient pas le vertige).
Le symbole En haut d’une porte qui mène dans la salle du Grand Théâtre, il y avait un symbole qui représentait la France autrefois, avant le coq.
Toute la salle est recouverte de bois pour obtenir la meilleure acoustique possible.
Le paradis Le paradis est le troisième et dernier étage de la salle de spectacle . C’était les gens les plus riches qui y allaient . Ce sont les places les plus chères. On l’appelait aussi le poulailler parce que c’était bruyant !
Le paradis On l’appelle ainsi car avant, quand les spectateurs regardaient le spectacle, ils recevaient de la cire chaude car il n’y avait pas de lampe électrique et le théâtre était éclairé par des bougies. Alors , les gens riches décidèrent de monter tout en haut . Comme ils étaient très serrés , les bordelais décidèrent de l’appeler le poulailler (le paradis). Le Paradis
Le lustre Le lustre a 345 ampoules . Il y a 4000 cristaux . Au début, l’électricité n’existait pas et il y avait 450 bougies. Histoire bordelaise : Les gens qui étaient en dessous des bougies se recevaient toute la cire !
Ces traces sur le sol sont des signatures que les ouvriers ont gravées sur la pierre . Les signatURES
MERCI, VICTOR LOUIS !