Les plus belles pancartes de la grande marche http://tempsreel.nouvelobs.com

Le grand rassemblement républicain contre le terrorisme a donné lieu à un déferlement de slogans, les 10 et 11 janvier. Florilège en images. Ici, place de la Bastille, à Paris.

La marche contre le terrorisme a réuni plus de 3,3 millions de manifestants dans la France entière, dont 1,3 à 1,5 million dans la seule capitale, selon les organisateurs. Ici, à Marseille, le 10 janvier.

A Marseille.

Place de la République, à Paris.

Des panneaux affichant la solidarité avec "Charlie Hebdo", place de la République, à Paris, le 11 janvier, quelques heures avant le début de la marche.

"Arrête ton char : lit" : cette déclinaison autour du nom "Charlie Hebdo" s'affiche sur le piédestal du monument à la République, place de la République, à Paris, le 11 janvier.

"Je Suis Charlie", en arabe, et "La liberté est grande", deux slogans visibles également sur le soubassement de la Marianne de la place de la République, le 11 janvier.

"Je Suis Charlie", en arabe, et "La liberté est grande", deux slogans visibles également sur le soubassement de la Marianne de la place de la République, le 11 janvier.

Le cri de ralliement "Je suis Charlie" inscrit au sol avec des bougies, entouré de crayons et stylos, symbolisant les dessinateurs abattus.

Terrorisme la marche poignante des proches des victimes http://tempsreel.nouvelobs.com

Lors de la "marche républicaine", à Paris, le 11 janvier, François Hollande est allé à la rencontre des familles et des proches des victimes, étreignant notamment un long moment l'urgentiste et chroniqueur de "Charlie Hebdo" Patrick Pelloux, en larmes (photo).

Des proches des victimes des attentats perpétrés à Paris prennent part au grand rassemblement organisé dans la capitale contre le terrorisme, le 11 janvier.

Les proches de Clarissa Jean-Philippe, la jeune policière tuée à Montrouge le 8 janvier, participent à la marche, le 11 janvier.

"Je suis Michel Saada", disent ces pancartes tenues par des proches d'une des victimes de la prise d'otages à l'épicerie Hyper Casher Porte de Vincennes, lors du rassemblement.

Les familles et proches des 17 personnes tuées, lors du rassemblement parisien. Premier en partant de la gauche, Luz, et 3e en partant de la gauche, Patrick Pelloux.

Le dessinateur Luz (à gauche) caresse le visage de l'urgentiste Patrick Pelloux, en première ligne de la marche républicaine, à Paris, le 11 janvier.

La dessinatrice Corinne Rey, dite "Coco", survivante de l'attaque perpétrée dans les locaux de "Charlie-Hebdo", défile lors du grand rassemblement organisé dans la capitale.

Au centre, l'avocat de "Charlie Hebdo", Richard Malka.

Familles et proches unis dans la douleur, à Paris, le 11 janvier.

Le dessinateur Luz et l'urgentiste Patrick Pelloux, à Paris, le 11 janvier. 2015

« Je suis Charlie », l'hommage, place de République http://tempsreel.nouvelobs.com

Au soir du terrible attentat qui a coûté la vie à 12 personnes à "Charlie Hebdo", le 7 janvier 2015, de nombreux rassemblements de solidarité se sont produits dans toute la France. À Paris, ils étaient quelque 35.000 à manifester leur peine et leur colère sur la place de la République.

Dans une atmosphère empreinte de recueillement et souvent silencieuse, des bougies ont éclairé la foule à la nuit tombée.

"We are Charlie" : "Nous sommes Charlie", ou "Je suis Charlie", tel était le mot d'ordre des manifestants, d'après le hashtag qui a éclos dans la journée sur Twitter et s'est répandu dans le monde entier.

"Not Afraid" : "Nous n'avons pas peur", a clamé un groupe de manifestant avec ces pancartes lumineuses.

Selon la préfecture de police, quelque 35 Selon la préfecture de police, quelque 35.000 personnes avaient fait le déplacement sur cette grande place centrale de Paris, située à proximité du siège de "Charlie Hebdo".

Brandi comme une arme, un exemplaire de Charlie Hebdo Brandi comme une arme, un exemplaire de Charlie Hebdo. "La véritable histoire du petit Jésus", lit-on sur la couverture.

Une autre Une fameuse de "Charlie Hebdo" : "L'amour plus fort que la haine", mettant en scène Charb lui-même.

Un hommage à "Charlie" au pied de la Statue de la République.

"Laïcs, athées, modérés de toutes les religions, unissez-vous "Laïcs, athées, modérés de toutes les religions, unissez-vous !" réclame ce manifestant.

La "liberté d'expression" était au cœur des slogans.

Quelques drapeaux tricolores ont été agités, et des Marseillaises entonnées.

"Des morts pour des dessins", indique tristement cette pancarte.

Les locaux de "Charlie Hebdo" ont été attaqués lors de la conférence de rédaction du journal, mercredi 7 janvier, par un commando de terroristes islamistes équipés d'armes lourdes.

Douze personnes ont été tuées, parmi lesquelles Charb, le directeur de la publication, ainsi que des signatures emblématiques de l'hebdomadaire satirique : Cabu, Tignous, Wolinski. L'économiste et actionnaire de "Charlie Hebdo" Bernard Maris a également péri.

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