Des paysages pas si naturels Tornade, sol lunaire, éruption volcanique ont été immortalisés par Matthew Albanese mais dans un studio new-yorkais.
Ce paysage martien est la première maquette réalisée par le jeune créateur. Avec beaucoup de paprika (près de 5 kilos), de cannelle, de poudre alimentaire du Chili et du charbon de bois, il a retranscrit à merveille ce que les robots américains observent sur Mars.
L'illusion est absolument parfaite. Il s'agit d'une maquette faite à la main. Il a utilisé de la paille de fer, du coton, du persil et de la mousse pour reconstituer ce phénomène météorologique.
Ce saule, perdu au milieu d'une prairie verdoyante, est un leurre magnifiquement réalisé. Cet arbre a été confectionné à partir de plumes d'autruches, de bois, et de fils cousus. La prairie est un assemblage de mousses et de ouates de coton
Ce décor idyllique est complètement artificiel. Du coton, du sel, du sucre cuit, du papier d'aluminium, de la toile et des plumes ont servi à construire cet îlot de rêve.
Comment reproduire une aurore boréale ? Deux choses : une toile noire en guise de fond et un faisceau lumineux coloré que vous projetez dessus. Les étoiles sont, en fait, des petits trous percés dans le rideau. Une lumière blanche est allumée derrière pour les illuminer
Ce "brise-glace" aura nécessité plus de 11 kilos de sucre, trois jours entiers de cuisine et deux semaines de confection. Les ingrédients utilisés ne sont autres que du sucre, du sirop de maïs, des blancs d'œufs, du sel, du colorant alimentaire et de la farine
Ce paysage forestier, fait à la main, comprend du verre, du Plexiglas, des liants, des brindilles, de la toile, du sel et de la neige carbonique pour donner cet effet brumeux de l'eau. La cascade a été reproduite à l'aide d'une simple salière de table tombée sur le côté.
Cette maquette nommée "feu sauvage" a réclamé des heures et des heures de travail. Pour créer un tel décor, l'auteur a utilisé que des produits du quotidien : fils, éponge à gratter, sucre cuit, bois, fleurs "brosses à bouteille", coulis, paillettes jaunes, ampoules de couleurs...
Ces champs, après le passage orageux, sont composés de fausse fourrure. Les nuages ont été merveilleusement reproduits par du coton. Cette couleur particulière a été obtenue par l'artiste en jouant sur la balance des blancs avec son appareil photo
Ce soleil couchant derrière les cocotiers a été obtenu via une ampoule, une toile rouge-orangée et des plumes sculptées en palmiers
On se croirait vraiment devant un cracheur de lave féroce et pourtant... "Le point de rupture" a vu le jour à grand renfort de coton, de mélange de liants, d'encre phosphorée et de papier d'aluminium. Ce modèle a été illuminé par des ampoules de 6 à 60 watts pour mimer la lave.
Cette magnifique clairière est totalement reconstituée en studio à l'aide de brindilles, de mousses et de bois. La prise de vue donne cet effet de profondeur
On s'imaginerait presque à bord d'un canoë en train de descendre cette rivière paisible. Tout est monté de toute pièce. Le ciel bleu est en réalité une toile colorée. La végétation est composée de mousses et de fleurs en brosses.
Le pays du sucre, représentant la banquise, a réclamé près de deux mois de travail et plus de 9 kilos de sucre, du sirop de maïs et de la gelée de fruits
Quel travail il aura fallu pour reproduire cette vue unique qu'ont pu observer Buzz Aldrin et Neil Armstrong, un certain 21 juillet Le sol lunaire est, en fait, constitué d'amas de cendres que l'artiste a recueillis pendant deux mois. Les petits rochers sont confectionnés en papier d'aluminium. Quant au drapeau américain, rien de mieux qu'un bout de papier et du fil