Dans les vapeurs du jour Le soleil convie le troubadour
Des formes prennent vie L’horizon libère des envies.
Les sentiers de la quiétude Débordent de plénitude
Moment idéal pour s’inventer De précieux instants à goûter.
Le beau rêve doux du matin S’offre délicatement à ce festin
Pendant que l’espoir de chaleur Transpire dans le froid de l’heure.
Puis suivant un déluge Le silence a trouvé refuge
Derrière des yeux fermés Où naît le risque d’aimer.
Un monde sans merci surveille Le moindre faux pas de la veille
Afin de se nourrir de la peur Prise au piège du trompeur.
Dans les vapeurs de la nuit Le temps sème les ennuies
Un enfant s’inquiète du retour Du parent pris dans le détour.
Tout devient laborieux Les gestes mystérieux
Des Êtres invraisemblables Murmurent l’ inconsolable
Dans un élan silencieux D’autres montent vers les cieux
Mais la descente aux enfers Guette l’imprudent aux entrefers.
Ce voyage aux confins du réel Attire le passager du surréel
Faisant la guerre à ses démons Les deux mains liées au timon.
Nul ne veut revenir Dans les vapes du souvenir
Et se morceler à l’Hôtel Du commun des mortels.
DANS LES VAPEURS Dans les vapeurs du jour Le soleil convie le troubadour Des formes prennent vie L’horizon libère des envies. Les sentiers de la quiétude Débordent de plénitude Moment idéal pour s’inventer De précieux instants à goûter. Le beau rêve doux du matin S’offre délicatement à ce festin Pendant que l’espoir de chaleur Transpire dans le froid de l’heure. Puis suivant un déluge Le silence a trouvé refuge Derrière des yeux fermés Où naît le risque d’aimer. Un monde sans merci surveille Le moindre faux pas de la veille Afin de se nourrir de la peur Prise au piège du trompeur. Dans les vapeurs de la nuit Le temps sème les ennuies Un enfant s’inquiète du retour Du parent pris dans le détour. Tout devient laborieux Les gestes mystérieux Des Êtres invraisemblables Murmurent l’inconsolable. Dans un élan silencieux D’autres montent vers les cieux Mais la descente aux enfers Guette l’imprudent aux entrefers. Ce voyage aux confins du réel Attire le passager du surréel Faisant la guerre à ses démons Les deux mains liées au timon. Nul ne veut revenir Dans les vapes du souvenir Et se morceler à l’Hôtel Du commun des mortels. ©Ekim 2012