Courbet, l'exaltation des sens Provocateur, égocentrique et ambitieux, Gustave Courbet est un artiste hors normes.
"Le Désespéré" est l'autoportrait le plus étonnant de Gustave Courbet. Cette œuvre est un des tableaux emblématiques du peintre. Son tempérament ténébreux éclate sur cette toile empreinte de folie.
La pose lascive de la "femme au perroquet" a valu un certain succès à son auteur. Au-delà de la nudité et de l'exotisme de la scène, on retrouve ici la passion de Gustave Courbet pour ses modèles.
Voici "L'Atelier du peintre Voici "L'Atelier du peintre. Allégorie réelle déterminant une phase de sept années de ma vie artistique (et morale)". La scène se passe dans l'atelier de Gustave Courbet, à Paris. Au centre, le peintre étonne car il représente un paysage alors qu'un modèle pose nu à côté de lui. A sa droite, se trouvent les "élus" tandis qu'à sa gauche, des hommes croupissent dans la misère et la mort. L'artiste exprime ici sa vision du monde, partagé entre la beauté et la laideur. "L'Atelier du peintre" (1855)
Durant son exil en Suisse, Gustave Courbet vivait à la Tour-de-Peilz, non loin du lac Léman. Il a alors peint le château de Chillon, une imposante demeure située au bord du lac. "Le château de Chillon" (1874)
"L'homme blessé" (1844-1854),
"Le chêne de Flagey" (1864),
Cette voluptueuse jeune femme à la chevelure flamboyante était non seulement le modèle préféré du peintre mais également son amante. C'est sans doute elle qui posa pour le célèbre tableau, "L'origine du monde". "Jo la belle Irlandaise" (1865)
Les paysages verdoyants et contrastés de la vallée de la Loue constituent une source d'inspiration continue pour le peintre très attaché à sa terre natale. "La vallée de la Loue par temps d'orage" (vers 1849)
de l'univers féminin. Ici, les jeunes femmes écoutent les récits En grandissant entouré de femmes, l'artiste est devenu un fin connaisseur de l'univers féminin. Ici, les jeunes femmes écoutent les récits de la grand-mère Salvan. "Les Trois sœurs de Courbet" (1846-1847)
à taille réelle. "Un enterrement à Ornans" (1849-1850) 47 habitants d'Ornans figurent sur cette toile qui se distingue par ses dimensions immenses (3,13 x 6,4 mètres). Ce tableau représente des hommes peints à taille réelle. "Un enterrement à Ornans" (1849-1850)
voire lugubres. "La toilette de la morte" (vers 1850-1855), Voici une scène mortuaire qui illustre la toilette d'une femme décédée. Gustave Courbet n'hésitait pas à coucher sur la toile des sujets inquiétants, voire lugubres. "La toilette de la morte" (vers 1850-1855),
Gustave Courbet peint "Le fou de peur" qui se distingue également par sa posture dramatique. "Le fou de peur" (1843-1845)
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