Les Quatre Saisons, L’Hiver, panneau décoratif pour le Jas de Bouffan, 1860
L'avocat (l'oncle Dominique) 1866 Huile sur toile H. 65 ; L L'avocat (l'oncle Dominique) 1866 Huile sur toile H. 65 ; L. 54 cm musée d’Orsay Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Achille Emperaire Entre 1867 et 1868 Huile sur toile H. 200 ; L. 120 cm Paris, musée d'Orsay Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Le Christ aux limbes , vers 1867 Huile sur toile, h. 170 ; l. 97 cm La Madeleine vers 1869 fresque transposée sur toile H. 1.65 ; L. 1.225 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
La maison du pendu, Auvers- sur-Oise, 1873, Huile sur toile, H. 55 ; L La maison du pendu, Auvers- sur-Oise, 1873, Huile sur toile, H. 55 ; L. 66cm, musée d'Orsay
Cour de ferme,1879,Huile sur toile H. 63 ; L Cour de ferme,1879,Huile sur toile H. 63 ; L. 52 cm Paris, musée d'Orsay Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Les peupliers,1879-1880, Huile sur toile, H. 65 ; L. 80 cm Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Autoportrait, v. 1877, Washington, Philips Collection Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Madame Cézanne au fauteuil jaune, 1893-95, New York, MET Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre. La Femme à la cafetière, v. 1895, huile sur toile, 130 x 96 cm, Paris, musée d’Orsay
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
La Dame en bleu, 1900-1904, musée de l’Hermitage, Saint-Petersbourg Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.
Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.