L'avocat (l'oncle Dominique) 1866 Huile sur toile H. 65 ; L

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Les Saisons et le Temps Bleu 4.
Advertisements

À partir de 1850 s’oppose au Romantisme en images …
Où va Sammy? Bleu 14.
Les Saisons et le Temps Bleu 4.
PASTEUR.
HENNEBONT HENNEBONT Photos : collection personnelle de Monique et Patrick Musique : Les chariots de feu. Montage et réalisation de Patrick Agogué.
Vincent Van Gogh ( ) Italienne (l), 1887, huile sur toile, 81 X 60 cm., Paris, musée d’Orsay.
Les demoiselles d’Avignon.
Différentes approches
MATISSE L’ATELIER ROUGE 1911.
Milieu du XIXème siècle
La légende officielle ou La légende dorée
Marc Chagall Paris par la fenêtre.
Ateliers d’enseignants
Selfportrait, (1900), huile sur toile, 55 X 46 cm., coll. Part.
Wassily Kandinsky (1866 – 1944) Paysage à la tour, 1908, 75.5 x 99.5 cm., Paris, Musée National Art Moderne, Centre Georges Pompidou.
La peinture au XIXème siècle
LE JUGEMENT DE SALOMON 1649 (XVIIème siècle)
Propositions d’œuvres en lien avec le film
Représentation de la mort
Epreuve Histoire des arts
Le cahier de culture, les éléments d’identification D’après Patrick STRAUB, CPD en arts visuels du Haut-Rhin.
La Persistance de la mémoire
Tournant du 19e au 20e siècle
Artistes français Nous avons fait un recherche des artistes les plus célebres de France.
Cartel d’identification de l’œuvre
AU NORD C’ETAIT LES COROT
L’artiste et le spectateur : Pierre Auguste et Jean Renoir.
PEINTRES FRANÇAIS Paul Cézanne LEÇON 1.
L’ouverture des États généraux le 5 mai 1789 Gravure de Helman , d’après Monnet (B.N, Paris)
Exposé de Nathan et Angelo CM2
Proposé par Jackdidier
Diaporama pédagogique #2 PAYSAGES
Henry MATISSE ( ) Henry MATISSE, Mimosa.
Vincent Van Gogh ( ) Mangeurs de pommes de terre (les), 1885, huile sur toile, 81,5 X 114,5 cm., Amsterdam, Van Gogh Museum.
Chinoiserie, japonisme... Les origines d'un engouement
Reconnaissance de l’Art
Paul Cézanne Un Peintre Aixoise.
Thème n°2 : Ces objets qui nous envahissent : objets cultes, culte des objets Marcel DUCHAMP By Karima & Rghia.
Que Voir Absolumment Au Musée d’Orsay?
Exposition Pierre Bonnard au Musée d'Orsay
Le pavillon de l’Union soviétique lors de l ’Exposition universelle de 1937, à Paris, surmonté d’une sculpture monumentale. « L’ouvrier et la kolkhozienne »
Un impressionniste nommé
Loïe Fuller.
 Paul Cézanne ( ) Photo prise en 1861.
HANS HOLBEIN le jeune. Allégorie de l'Ancien et du Nouveau Testament, vers 1530 Edimbourg, National Gallery of Scotland.
Rafael “Madonna del cardellino” óleo s/tabla
Fuveau est situé dans le Sud-Est de la France,
Paris, la Ville Lumière Notre Dame de Paris Palais de Justice et Conciergerie.
HDA : représenter la guerre; l’art au service du pouvoir?
Portraits autoportraits
Différentes approches
Les Transports Publics À Paris. Le Métro Les sites touristiques Le musée d’Orsay.
Félix Vallotton - « Verdun
Le Caravage, Le Jeune Bacchus malade (1591), huile sur toile, Rome, Galerie Borghèse.
Les enfants de la classe
I. Des premiers bois déjà significatifs de la production future 1.Taille douce, lithographie et bois 2.Les premiers bois de 1896, des thèmes déjà travaillés.
FELIX VALLOTTON.
Phrase du jour La joconde
  PABLO PICASSO.
MÉTHODES EN ART Double licence Licence 1 RENAISSANCE Mme Gispert.
CEZANNE Galerie d’oeuvres. Cézanne La leçon de piano ou L’ouverture de Tannhauser
LE GROUPE DES NABIS (fin du XIXe siècle). A LA SUITE DE GAUGUIN Emile Bernard Bretonnes dans la prairie 1888.
Un dimanche d’été à la Grande Jatte, Georges SEURAT ( ) Un dimanche d’été à la Grande Jatte, Huile sur toile, 207 x.
Choix de Tableaux de Léonard De Vinci ( )
Pour l'amour de Vincent oeuvres présentes
Transcription de la présentation:

Les Quatre Saisons, L’Hiver, panneau décoratif pour le Jas de Bouffan, 1860

L'avocat (l'oncle Dominique) 1866 Huile sur toile H. 65 ; L L'avocat (l'oncle Dominique) 1866 Huile sur toile H. 65 ; L. 54 cm musée d’Orsay Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Achille Emperaire Entre 1867 et 1868 Huile sur toile H. 200 ; L. 120 cm Paris, musée d'Orsay Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Le Christ aux limbes , vers 1867 Huile sur toile, h. 170 ; l. 97 cm La Madeleine vers 1869 fresque transposée sur toile H. 1.65 ; L. 1.225 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

La maison du pendu, Auvers- sur-Oise, 1873, Huile sur toile, H. 55 ; L La maison du pendu, Auvers- sur-Oise, 1873, Huile sur toile, H. 55 ; L. 66cm, musée d'Orsay

Cour de ferme,1879,Huile sur toile H. 63 ; L Cour de ferme,1879,Huile sur toile H. 63 ; L. 52 cm Paris, musée d'Orsay Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Les peupliers,1879-1880, Huile sur toile, H. 65 ; L. 80 cm Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Autoportrait, v. 1877, Washington, Philips Collection Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Madame Cézanne au fauteuil jaune, 1893-95, New York, MET Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre. La Femme à la cafetière, v. 1895, huile sur toile, 130 x 96 cm, Paris, musée d’Orsay

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

La Dame en bleu, 1900-1904, musée de l’Hermitage, Saint-Petersbourg Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.

Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511 Œuvre mentionnée au Vatican en 1509, au Belvédère en 1511. Elle y demeura jusqu’à sa cession par le pape Jules II aux Français aux termes du traité de Tolentino de février 1797. Arrivée à Paris, avec la procession triomphale de juillet 1798, dans une caisse ornée de guirlandes. Exposée au musée central des arts lors de son inauguration 9 nov. 1800. Enlevée en 1815, retour à Rome en 1816, replacée au Belvédère en février. François 1er en avait fait faire des moules en 1540. Réplique en bronze coulée pour Fontainebleau. Toutes les séries de gravures ou de moulages représentant les plus célèbres œuvres de l’Antiquité le comprennent. Dans les dessins antérieurs à 1533, une partie de l’avant-bras gauche et de la main droite manquent ; ces parties sont complétées par Montorsoli (référence : Vasari, 20) et n’ont été ôtées –pour la main) qu’au XXe s. Audran, Winckelmann. Tout au long du XIXe, copies de l’Apollon sont associées à celles de la Diane chasseresse. Chantelou avait suggéré au Bernin que c’était deux œuvres du même artiste. Ont été présentées ensemble au Louvre.