À ces jours où il fait doux vivre
La tête sur ton épaule, je m’enivre
De tous ces parfums qui m’invitent
À la magie des vies qui t’habitent.
La puissance de tes réalisations
Demeure la plus grande invitation
Au culte de l’infiniment précieux
Du sein de la splendeur des cieux.
La palette de couleur qui t’habille
N’a rien d’ordinaire de ce qui brille
Au contraire, sur tes paupières
Naisse toutes les lumières.
Tes allures et tes formes dessinent
Plein de courbes qui me fascinent
Te prendre dans mes bras, te goûter
Me transporte sous le soleil de l’été.
Hélas, l’instant aussi devient souvenir
Trop court, la saison de ce soupir
Sous le soleil de l’été qui s’en va
Ma mémoire fait ses premiers pas…
Sous le soleil de l’été À ces jours où il fait doux vivre La tête sur ton épaule, je m’enivre De tous ces parfums qui m’invitent À la magie des vies qui t’habitent. La puissance de tes réalisations Demeure la plus grande invitation Au culte de l’infiniment précieux Du sein de la splendeur des cieux. La palette de couleur qui t’habille N’a rien d’ordinaire de ce qui brille Au contraire, sur tes paupières Naisse toutes les lumières. Tes allures et tes formes dessinent Plein de courbes qui me fascinent Te prendre dans mes bras, te goûter Me transporte sous le soleil de l’été. Hélas, l’instant devient aussi souvenir Trop court, la saison de ce soupir Sous le soleil de l’été qui s’en va Ma mémoire fait ses premiers pas… © Ekim, 20 sept-09