Danse avec les loups.

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Transcription de la présentation:

Danse avec les loups

La nuit, les étoiles, un hurlement ; plus rien La nuit, les étoiles, un hurlement ; plus rien. La lune trône cette immensité sombre et froide. Je suis ces yeux qui gardent la forêt. Arpentant le glacis gelé, mes traces se poursuivent jusqu’à l’obscurité la plus profonde. La forêt sombre et froide abrite ce vagabond solitaire, à l’abri de l’antre.

L’esprit blessé du loup empêche ses chants de se propager dans la vallée. De son rocher, il en appelle à la nuit, aux étoiles mais n’obtient que torpeur.

Les pigments du soleil viennent chatouiller ce paysage mort Les pigments du soleil viennent chatouiller ce paysage mort. Yeux dans les yeux, corps blottis, les traces de pas fusionnent presque. Le soleil caché réchauffe nos âmes.

Bien qu’une éternité ait pu se passer, le soleil daigne se coucher Bien qu’une éternité ait pu se passer, le soleil daigne se coucher. Assis sur le sol, nos yeux admirent ce fabuleux spectacle qui s’ouvre à nous : un coucher de soleil resplendissant, faisant apparaître mille couleurs chatoyantes tout en jouant entre le pourpre, le jaune lumineux, le violet, se perdant dans les tons rose.

Vient la nuit sombre, totalement noire, parsemée de ci, de là, de brillantes étoiles. Les ondes émanants de nos âmes semblent alimenter ce véritable spectacle qui s’ouvre à nous : toujours plus resplendissantes, les aurores boréales savent nous faire profiter de ces somptueux dégradés de couleurs, s’entrechoquant, et apportant à ce spectacle une note de beauté inégalable.

Le néant envahit mon esprit, m’entraînant dans des univers inconnus Le néant envahit mon esprit, m’entraînant dans des univers inconnus. Mais cette marche dans le néant me répulse.

Je mobilise ma volonté et mets ma colère au service de ma libération Je mobilise ma volonté et mets ma colère au service de ma libération. Tant bien que mal, je reviens à moi. Mes yeux scrutent la pénombre : à nouveau seul dans cette forêt sombre et froide. Mais qu’étaient mes souvenirs, se sont-ils perdus dans ce méandre, cette léthargie où j’étais plongé ?

Écrit par Pierre Freville le 05 / 09 / 2007