1 Détermination de la section efficace de production de paires de quarks top avec le détecteur ATLAS au LHC Monitoring du détecteur à pixels Cécile Lapoire.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Pavel Demine Arnaud Lucotte ISN Grenoble
Advertisements

L’Etat Final Lepton(s) + 2 b
Martina Schäfer 1 Etude du boson Z de KK dans le canal Z e + e - dans lexpérience Martina Schäfer GDR-Susy 5-7 juillet 2004 travail préparé au.
La calibration des jets b dans ATLAS V.Giangiobbe LPC Clermont-Ferrand Journées Physique ATLAS France à AutransSession Jet/missingET/tau29/03/2006.
Electrons de bas pT et dans les jets
Reconstruction dévénements e + e - t tbar pour lILD Philippe Doublet – LAL Réunion du groupe ILC, 14 septembre 2010.
Conclusions du groupe de travail “Origine de la masse et physique au
Etude d'un canal de désintégration SUSY à CMS: Résultats intermédiaires Alexandre Mollet.
CONTRIBUTION A LA RECHERCHE DU HIGGS DANS LE CADRE DE LEXPERIENCE D0 * * *
1 Recherche du boson de Higgs léger SUperSYmétrique dans le cadre de l'expérience CMS Alexandre Mollet.
Etude d’un canal de désintégration supersymétrique dans le détecteur CMS au futur collisioneur LHC Alexandre Mollet.
Journées de Rencontre Jeune Chercheurs
L’expérience ATLAS au LHC
JJC -La Roche-en-Ardennes -1-5 décembre Mesures de précision en Physique des Particules Amina Zghiche 1 Mesures de précision en Physique des Particules.
Etude des performances du calorimètre électromagnétique d’Atlas
Préparation des TD Objectif : -Mesurer rapport dembranchements du Z -Mesurer constante de couplage de interaction forte à lénergie du Z Outil : Wired.
S.Porteboeuf T.Pierog K.Werner EPOS, du RHIC au LHC QGP-France septembre 2007 Etretat.
Identification du Z 0 et détermination de sa masse Le modèle standard et le détecteur CMS Identification des particules (FROG) Désintégration du Z 0 Identification.
Marine Kuna sous la tutelle de Fabrice Hubaut
La Londe 03/05/04Correlation de spin1 Corrélation de spin dans la production tt F. Hubaut, E. Monnier, P. Pralavorio (CPPM) 1.Motivations 2.Etat des lieux.
R. Torres Etude du top dans l'experience ATLAS 1.
Recherche de la production électrofaible du quark top à DØ Emmanuel Busato, LPNHE Paris Journées Jeunes Chercheurs 2003  Reconstruction des jets dans.
Yermia Frédéric Etretat Identification du charme et des ,  Avec le spectromètre à muons d’ALICE dans les collisions p-p à 14 TeV Deuxièmes.
Merci à S. Dagoret pour ses transparents des Masterclasses 2011
S.Baffioni 1 Ecal-E  23/03/05 Intro Physique des particules 2 questions principales :  Quels sont les constituants élémentaires de la matière?  Quelles.
Cynthia HadjidakisQGP FRANCE Le calorimètre électromagnétique d’ALICE : EMCAL Motivations physiques Le calorimètre EMCAL Physique des jets et des photons.
Production électrofaible du quark top dans DØ
Décembre 2003Marie Legendre - JJC Étude de la violation de CP dans les désintégrations B 0  D*   ± partiellement reconstruites Marie Legendre.
Présentation des exercices de Travaux Dirigés: Structure du proton par la recherche de Bosons W Sylvie Dagoret-Campagne MasterClasses 2011, Orsay-LAL,
Xavier Camard - Réunion PHENIX-France
Peut-on remonter le temps jusqu’au big bang ?. Peut-on remonter le temps jusqu’au big bang ? Particules et interactions (forces) fondamentales de la.
Stéphanie Beauceron Thèse soutenue le 28 Mai 2004 réalisée sous la direction de Gregorio Bernardi au sein du groupe DØ du LPNHE sur le sujet.
30 nov-5 déc 2003Journées Jeunes Chercheurs1  Les oscillations de neutrinos  Le faisceau de neutrinos CNGS  L’expérience OPERA : motivations et principe.
1 Little Higgs - JJC 2003 Test du Modèle du Little Higgs dans ATLAS Matthieu LECHOWSKI Journées Jeunes Chercheurs 2003 Journées Jeunes Chercheurs 2003.
SFP – 10 juillet La Physique au Tevatron Sophie Trincaz-Duvoid  Le Tevatron et les détecteurs D0 et CDF  Thèmes de recherche au Tevatron  Physique.
COMMENT ON OBSERVE LES PARTICULES ELEMENTAIRES
du boson de Higgs du modèle standard
HZbb avec l’EXPERIENCE D
La physique des particules.
CALORIMETRE ELECTROMAGNETIQUE
Stephanie Beauceron These soutenue le 28 Mai 2004 realisee sous la direction de Gregorio Bernardi au sein du groupe DØ du LPNHE sur le sujet.
Calorimètres électromagnétiques et hadroniques
Mesure de la section efficace top anti-top au Tevatron
Localisation et identification des interactions neutrinos dans le détecteur OPERA. Carole HERITIER Journées Jeunes Chercheurs 2003 Directeurs de thèse.
Bob Olivier LPNHE - Paris 13 décembre 1999 Bob Olivier 1 Recherche du Stop a D0 L’expérience D0 La Recherche du Stop Désintegrations en 4-corps du Stop.
La recherche de vertex dans CMS : le recuit déterministe Nicolas Estre – IPN Lyon – Journées Jeunes Chercheurs 2003.
1/42 Recherche du boson de Higgs du modèle standard dans les canaux pp  WH et pp  H  WW dans l'expérience DØ du Tevatron Stéphanie Beauceron Thèse au.
Production des événements ttbar dans l’expérience D0 Stefania Bordoni (Master 1) et Chloé Gerin (Magister 1)
Les détecteurs des mésons B Y.Karyotakis Novembre-Décembre 98 Lausanne.
Création et détection des particules : LHC et CMS
Atlas au LHC Deuxième partie: l ’expérience ATLAS
1 Thèses proposées par le LPSC pour débuter en Arnaud Lucotte : Mesure des sections efficaces de production de quarks top et recherche de bosons.
Et sujets de stage et thèse proposés
1 La sonde  -jet dans ALICE  Jets /  -jets : Comparaison RHIC - LHC. Observables.  Moyens : Détecteurs. Algorithmes.  Identification des particules.
Stéphanie Beauceron Thèse sera soutenue le 28 Mai 2004 sous la direction de Gregorio Bernardi dans DØ - LPNHE : Recherche du boson de Higgs dans.
Julien MOREL - GRD SUSY - Lyon 12/07/06 1 Recherche de Z’  e + e - avec ATLAS auprès du LHC Fabienne LEDROIT Julien MOREL LPSC - Grenoble.
JJC 2002 Stéphanie Beauceron LPNHE- Paris 1 L’expérience DØ I. Fermilab et le Tevatron II. Le détecteur 1- Les principaux sous détecteurs 2- La calibration.
1 Travaux pratiques des MasterClasses : « Analyse des événements du détecteur DELPHI au LEP» Sylvie Dagoret-Campagne
Mesure des rapports de branchement du Z 0 C. Vander Velde IIHE (ULB-VUB) 2009.
Recherche des bosons W et Z dans les données du détecteur CMS
La physique au LHC au-delà du boson de Higgs Fabienne Ledroit – LPSC Grenoble Directrice de Recherche, CNRS.
1 Reconstruction des événements Top enregistrés avec le détecteur ATLAS Apport des techniques multi-variables Diane CINCA Stage de Master 2 ème année.
1 Bertrand Martin D ø France Grenoble 24/06/2008 Mesure de la section efficace σ(pp → tt →e + e - ) en p17 e+e+ e-e-
Présentation des résultats du stage de DEUG 1 Analyse des données électrons/pions du test en faisceau combiné 2004 de l'expérience Atlas Eva Dahan Stage.
Préparation des études sur les premières données de l’expérience Atlas : reconstruction des leptons du boson Z° Anne Cournol Stage de Master 1, sciences.
Pr é sentation du stage effectu é au LPNHE du 28 Mai au 29 Juin 2007 Participation à l'étude du quark top dans l'expérience ATLAS située sur le collisionneur.
Morzine, 8 sept Vincent Poireau 1 La situation de la physique des saveurs aujourd’hui Vincent Poireau.
Détection de nouvelles particules massives via l’utilisation des traces, de l’énergie transverse manquante et des jets dans le détecteur CMS Loïc Quertenmont.
Etude des algorithmes de reconstruction des jets dans le détecteur CMS Loïc Quertenmont V. Lemaître, G. Bruno, K. Piotrzkowski Université Catholique de.
Efficacité de reconstruction des électrons de bas pt Fany Dudziak Réunion de physique ATLAS LAL le 13 décembre 2007.
Transcription de la présentation:

1 Détermination de la section efficace de production de paires de quarks top avec le détecteur ATLAS au LHC Monitoring du détecteur à pixels Cécile Lapoire Centre de Physique des Particules de Marseille Sous la direction de A.Rozanov et L.Vacavant Journées Rencontres Jeunes Chercheurs 1 er Décembre 2008

2 PLAN  Introduction  Cadre théorique  Intérêts de l’étude de σ ttbar  Dispositif expérimental : LHC et ATLAS  Monitoring du détecteur à pixels  Le détecteur  Monitoring  Canal ttbar  Production au LHC  Choix du canal de désintégration  Analyse  Conclusion : à faire prochainement

3 Cadre Théorique  Top du modèle standard  Très grande masse → temps de vie très petit  M(t) = ± 2.1 GeV/c 2  τ (t)~ s  Rapport de branchement (t → Wb) = 0.98

4 Intérêt d’une mesure de précision de σ ttbar au LHC  1 paire de top produite par seconde (à 14 TeV et à une luminosité de cm -2 s -1 ) :  Signal observable dès les premières données  Bruit de fond dominant à d’autres analyses (Single Top, Higgs (ttH, WH,...), SUSY,...)  Test de la théorie électrofaible :  Vérification de l’élément de matrice CKM (Vtb)  Recherche de nouvelle physique :  Section efficace supérieure à la valeur attendue  Existence d’autres mécanismes de production de ttbar  BR (t → Wb) inférieur à la valeur attendue  Nouveaux mécanismes de désintégration : t → H + +b,

5 Dispositif expérimental

6 Le LHC  Collisionneur protons-protons  14 TeV au centre de masse  27 km de circonférence  Fréquence des collisions : 40MHz  4 expériences : ALICE, ATLAS, CMS, LHCb  Démarrage : prévu pour juillet 2009

7 ATLAS (A Toroidal Lhc ApparatuS)  42 m de long  20 m de haut  7000 tonnes  cm 2 s -1 (3ans)  cm 2 s -1 Détecteur interne Chambres à muons Calorimètres Solenoïde Toroïde  Détecteur à pixels  SCT  TRT  Electromagnétique  Hadronique Luminosité

8 Détecteur à pixels

9 CARACTERISTIQUES  Situé au plus près du point d’interaction  Contraintes :  Résistant aux fortes radiations  Le plus transparent possible aux particules  3 couches concentriques  A 5.05, 8.85 et cm de l’axe du faisceau  Constituées d’échelles (staves) formées de 13 modules  3 disques de chaque côté (48 modules chacuns)  1744 modules au total z RφRφ

10 DESCRIPTIF  de pixels de dimensions 50 (R φ ) x 400 (z) μ m  1 pixel = diode de détection (jonction PN) + électronique complète de traitement associée reliées par une soudure à bille  Traces des particules chargées reconstruites très précisement :  Très peu de hits par rapport au nombre total de pixels (occupation = ) : reconnaissance des schémas des traces facilitée  Granularité très grande (résolution de 8 μ m en R φ ) : très bonne résolution du paramètre d’impact d 0 (distance d’approche minimale entre la trace et le vertex primaire)

11 MONITORING  Principe : déceler rapidement un mauvais fonctionnement du détecteur pendant la prise de données en observant des histogrammes judicieusement choisis  But : corriger le problème au plus vite pour perdre le moins de données possible  Mes activités dans le monitoring :  Développement du code (online et offline) assurant la génération des histogrammes  Implémentation des contrôles effectués sur ces histogrammes  Configuration des softwares de monitoring affichant les histogrammes

12 SRUCTURE DU MONITORING  Monitoring Online :  Reconstruction d’une partie des événements triggés  Remplissage, affichage et et tests automatiques des histogrammes de monitoring  Shifter pixel informé en temps réel d’éventuels problèmes  Monitoring Offline :  10% de reconstruction officielle des données  Histogrammes publiés sur une page web observés par le shifter “data quality”  Si les données sont validées, la reconstruction de tous les événements débute Monitoring online Monitoring offline Détecteur à Pixels Caverne d’ATLASTier 0 Reste du monde... Affichage Online (Pixel shifter) Affichage offline (ATLAS DQ shifter)

13 Optoboard* désactivé Boucle de refroidissement** défectueuse MONITORING  Exemple de plot utile pour le monitoring du détecteur à pixels  Nombre de coups par modules : *Optoboard : système transformant le signal électrique en signal optique situé au niveau du détecteur à pixels - 1 pour chaque demi-stave **Boucle de refroidissement : 1 pour 2 staves

14 Canal ttbar

15 Production de paires ttbar au LHC ~10% ~90%  ttbar attendue à 14 TeV ~833 pb

16 Désintégration du top  t → Wb dans ~100% des cas  τ (t) très petit : temps de désintégration < temps d’hadronisation* → top observable à l’état libre grâce à ses produits de désintégration :  b :  sous forme de jets**  W :  W leptonique → l ν ~ 30% des cas  W hadronique → qq’ ~ 70% des cas *hadronisation : processus de formation de hadrons à partir de quarks et gluons (ne pouvant exister individuellement à cause de leur charge de couleur) par la combinaison avec des quarks et des antiquarks créés spontanément à partir du vide **jet : ensemble de hadrons et d’autres particules produites par l’hadronisation d’un quark ou d’un gluon

17  Selon le mode de désintégration des 2 W : 3 canaux de désintegration possibles :  Di-leptonique  Sélection la plus propre  MAIS faible BR  Hadronique  BR le plus grand  MAIS environnement avec 6 jets  Difficile à extraire du bruit de fond QCD  Semi-leptonique  “golden channel”  1 lepton isolé → trigger !!!  1 neutrino → énergie transverse manquante  2 jets légers  2 jets issus de quarks b Choix du canal

18 Analyse : Stratégie  Méthode pour la détermination de la section efficace  “cut and count”  Simple* et efficace  Mon analyse :  Sur le Monte-Carlo 10 TeV (le LHC tournera à 10 TeV pendant 1 an)  Evénements semi-leptoniques, W → τν exclus  Avec btagging  Bruits de fond : Wbb, Wjj, Single top (t → Wb), Z → ll + jets ε : efficacit é totale (prend en compte l’acceptance géometrique, l’efficacité de trigger et l’efficacité de sélection des événements). L : luminosité integrée *Simple comparée à la méthode du likelihood dans la phase du commissioning – nécessite de recalibrer le Monte-Carlo à partir des données

19 Analyse : Btagging  Propriétés des hadrons (mésons+baryons) B :  Volent dans le détecteur avant de se désintegrer (E(B)~50GeV, d=5mm)  Présence d’un vertex secondaire  Grand paramètre d’impact des traces (d 0 )  Distance de vol mesurable grâce à la très bonne résolution du détecteur à pixels  Toutefois 2 problèmes rendent l’etiquetage difficile :  Grande densité de particules  Quarks c  Algorithmes de btagging :  Ceux qui requièrent un lot pur de jets b ne seront pas utilisables avec les premières données  Utilisation de JetProb

20  JetProb :  Basé sur la distribution de S d 0 de toutes les traces (provenant des jets légers et b indifféremment)  Distribution gaussienne (sauf les queues) des jets b et légers pour d 0 < 0  d 0 symétrique pour les légers - larges distributions à grand d 0 pour les b  Retourne un poids évaluant la probabilité qu’un jet donné soit léger :  Pic à 0 pour les b  Distribution plate pour les légers Analyse : Btagging : JetProb

21  Coupures :  électron (muon) trigger EF_e22i_tight (EF_mu20)  1 seul électron (muon) passant les coupures dans les événements électron (muon)  Energie transverse manquante (MET) > 20 GeV/c 2  4 jets avec Pt > 30 GeV/c  3 jets avec Pt > 40 GeV/c  3 jets avec 150 GeV/c 2 < masse invariante < 190 GeV/c 2 (Fenêtre de masse du top)  au moins 1 jet etiqueté comme b avec le tagger jet prob  au moins 2 jets etiquetés comme b avec le tagger jet prob  Nombre d’événements (efficacité %) passant les coupures indépendamment les unes des autres : Analyse : Présélection totaltriggerleptonMETJets1Jets2MTopbtag1btag2 Electron (53) 8041 (61) (91,5) 5924 (45) 7716 (59) 2851 (22) (80) 5172 (39) Muon (61) 9594 (74) (91,5) 5318 (41) 7131 (55) 2876 (22) (79) 4969 (38)

22 Analyse : Efficacite de Présélection (Electrons)  | η | > 2,5 et 1,37 ≤ | η | ≤ 1,52 rejetés  pt > 20 GeV/c  Isem : coupures d’identification basées sur les caracteristiques de la gerbe électromagnétique (discrimination électrons – pions)  isolation : énergie dans un cône de deltaR = 0.2 < 6 GeV

23 Analyse : Efficacite de Présélection (Muons) Zone non instrumentée  | η | < 2,5  pt > 20 GeV/c  isolation : énergie dans un cône de deltaR = 0.2 < 6 GeV

24 Analyse : Reconstruction de l’événement  Top hadronique :  Sans btagging  3 jets de plus grands pt pour le top OU 3 jets donnant une masse invariante totale la plus proche du top (artificiel)  Avec btagging  2 jets dont la masse invariante est la plus proche de celle du W et le jet b donnant une masse invariante totale la plus proche de celle du top  A partir des produits de désintégrations détectés, on doit reconstruire les 2 tops et les 2 W

25 Analyse : Reconstruction de l’événement  Moyenne du fit gaussien (fenêtre de masse : 140 – 200 GeV/c 2 ) : ١. 3 jets de plus grands pt : GeV/c 2 ٢. W + btag : GeV/c 2 ٣. 3 jets avec la masse la plus proche : GeV/c 2 (Top généré à 175 GeV/c 2 ) ١ ٢ ٣

26 A faire prochainement  Monitoring :  Utilisation d’une interface graphique permettant de visualiser les parties posant problème du détecteur à pixels  Ttbar :  Reconstruction de tous les objets de l’événement  Utilisation du bruit de fond  Utilisation des algorithmes de btagging plus sophistiqués (IP3D+SV1)

27 Back Up

28 Analyse : Résolution des jets

29  JetProb :  Se base sur la distribution de la significance S d du paramètre d’impact de toutes les traces (provenant des jets legers et b indifferemment) – partie negative de la distribution  Distribution gaussienne (sauf les queues) des jets b et legers pour d0 < 0  d0 symetrique pour les legers cas seulement du aux effets de resolution gaussiens light and b jets have a quite similar gaussian distribution (except for the tail) of d0 when it’s negative d0 symmetrical for light jets (no time of flight, d0 supposed to be =0 but resolution effects (toujours gaussien) and contamination for other particles in the positive side due to kaons lambda (long lifetime → queues gaussiennes))) whereas it is big in the positive side for bjets  Retourne un poids evaluant la probabilite qu’un jet donne soit leger :  Pic a 0 pour les b  Distribution plate pour les legers Analyse : Btagging : JetProb