Les femmes dans le Haut- Canada
Le Haut-Canada La plupart se définissaient d’après leur classe sociale. Elles avaient tendance a voir leurs propres succès et échecs au travers ceux de leur père ou de leur mari. Une société pionnière = toutes les femmes en âge de se marier était mariées. Les vieilles filles = femmes célibataires – étaient souvent prises en pitié, notamment parce qu’elles devaient compter sur le soutien de parents pour vivre et se loger.
Les classes Pour défricher des fermes dans la foret sauvage, les femmes des classes inferieures se joignaient les femmes des classes aisées. Aider a effacer les barrières sociales.
Le mauvais traitement Les mauvais traitements infliges aux épouses et aux enfants n’étaient pas rares. Pour les immigrants pauvres, les longues journées de dur labeur étaient la norme Les hommes ne s’occupaient jamais des taches ménagères. Les femmes effectuaient les travaux ménagers et elles s’occupaient en plus des plantations et des récoltes.
Toutes les pionnières travaillaient pour préserver la récolte et fabriquaient des bougies et du savon. Elles devaient avoir beaucoup d’enfants parce que c’était une société rurale qui donnait des corvées aux enfants des qu’ils étaient capables d’en assumer. Accoucher comportait des risques pour toutes les femmes a cause de la rareté des soins médicaux et du peu de connaissances sur l’hygiène a respecter pendant un accouchement.
Conditions plus pires pour les femmes plus pauvres. Les sages-femmes ou des domestiques était le cas pour les femmes des classes supérieures.