Poème de Robert Serge Hanna Que toi Poème de Robert Serge Hanna
Quand tu berces mes jours ma tendre nostalgie je n'ai que de l'amour, l'émotion d'un instant J'entends chanter la vie par l'oiseau doucement.
Quand du peu de tes larmes tu frôles encore mes yeux, je succombe à ton charme, à mon rêve amoureux. J'entends, tu me dis viens et je ne suis plus seul.
Quand s'ouvre mon cœur à tes mots lumineux, que souffle ta jeunesse, laisse-moi caresser, je te ferai tendresse, de ma main tes cheveux.
Qu'enfin le jour se lève comme une farandole qui se jouerait d'émoi, charmante mélodie, tu porterais le temps pour que soit belle la vie.
Qu'un autre amour m'appelle, je resterai sans voix. Redis-moi des poèmes un peu comme autrefois. Dis-moi encore «je t'aime, » fais-moi pleurer de joie.
Qu'une pensée de toi et je fais un bouquet. Que nos regards se croisent, je n'ai déjà plus d'âge. Nous cueillerons l'armoise et la fleur d'oranger.
Quand je n'aurai plus rien Je n'aurai plus que toi à qui parler de nous. Tu me prendras la main Je crierai comme un fou : « je t'aime, je t'aime… Divine poésie ».
Que toi © Poème de Robert Serge Hanna Trame musicale : Violon en amour Illustration et Montage : www.imagileonation.com
Aucune reproduction, soit de l’écrit ou des images/photos/illustrations incluses dans ce diaporama n’est permise explicitement ni implicitement sans la permission de l’auteur. Léo Beaulieu leobeaulieu@videotron.qc.ca www.imagileonation.com