1 1. Isolation thermique 2. Gains solaires 3. Étanchéité à l’air 4. Ventilation 5. Systèmes et auxiliaires 6. Énergie primaire 7. Répondre à la réglementation Les données de surchauffe s’encodent en différents nœuds de l’arbre énergétique
2 Pour les bâtiments résidentiels neufs ou assimilés à du neuf, la surchauffe constitue un critère de la réglementation PEB. Indicateur de surchauffe Lorsque le risque de surchauffe n’est pas nul, l’indicateur passe à l’orange. Cela implique qu’une consommation fictive sera comptabilisée par le logiciel pour le refroidissement. Cette consommation fictive considère l’électricité comme vecteur énergétique. Ceci impactera donc d’autant plus fort le niveau E w et la consommation spécifique E spec du logement étudié. Dans cet exemple, le critère Espec n’est pas respecté.
3 Indicateur de surchauffe et consommation pour le refroidissement Le détail sur la surchauffe apparaît au niveau du nœud « secteur énergétique » et de la perspective « Résultats »
4 L’indicateur de surchauffe est exprimé en Kh (kelvin-heure) Les kelvin-heure de surchauffe sont les gains de chaleur excédentaires par rapport à la température de consigne de 18°C Indicateur de surchauffe 23°C 1000 Kh Kh 1000 Kh6500 Kh
5 Il est calculé sur base des information suivantes : Indicateur de surchauffe Parois vitrées les gains solaires les pertes par transmission les pertes par ventilation l’inertie thermique la ventilation intensive les gains internes Valeur forfaitaire basée sur le volume protégé Niveau K Type de ventilation, ventilation à la demande, présence d’un pré-refroidissement Par unité PEB : de légère à lourde Surfaces des fenêtres ouvrantes
6 Dans la méthode PEB, les apports solaires ne sont considérés qu’à travers les parois vitrées; ils sont calculés en tenant compte des caractéristiques suivantes Parois vitrées Caractéristiques des fenêtres Protections solaires éventuelles Ombrage (impact du relief environnant)