Les chevaliers Quentin Romain Ulysse

Origine La chevalerie est considérée comme un ordre supérieur crée par Dieu pour mener une guerre juste et devant se garder de toute souillure. En effet, seul le plus pure chevalier pourra conquérir le Graal, un vase sacré aillait contenue le sang du Christ verser sur la croix. Perseval entreprend cette longue sans y parvenir, malgré ces vertus chevaleresque.

Education Se comporter élégamment à table et en société fait aussi partie de son éducation ; le futur chevalier s’exerce à servir les dames, à porter leurs affaires lorsqu’elles vont au jardins, à leurs jouer de la musique. Cela ne l’empêche pas de batailler dans la cour avec les autres garçons et de passer de longues heures à l’écurie. Il grandit, acquiert des forces et se prépare peu à peu au grand départ.

Croisade Le 27 novembre 1095, à Clermont en Auvergne, le pape Urbain II prend la parole pour demander la libération de Jérusalem. En 1291, Acre est reprise par les musulmans. Ainsi s’achève la présence chrétienne en palestine.

Armures La plupart des chevaliers n’ont pas connu les armures complètes que nous avons plaisir à imaginer. Ces magnifiques carapaces de fer n’apparaissent que vers 1430. Faites d’écaille ou, d’anneaux de fer cousus sur du cuir, cette tunique renforcé permettait d’économiser le métal, encore rare et Couteu.

L’armement Les autres armes Les sortes d’épée: Dagues; Sabre; Stylet; Poignard; Rapière; épée a deux main. L’armement La lance longue de 2,50 m à 3,50 m la lance pèse 15 à 18 kg et ne cesse de s’alourdir. Depuis le début du XII siècle elle a pris la première place sur les champs de bataille. L’épée longue de 1 m environ, allégée par une rainure centrale au milieu d’une large lame, l’épée pèse jusqu’à 2 kg. Emblème de la chevalerie, elle se porte sur le côtés gauche, fixée au baudrier, et vaut plus cher qu’un destrier. L’arbalète est un arc très rigide muni d’un arbre central sur lequel la flèche-ou carreau-glisse le long d’une rainure. Pour tendre l’arbalète il faut remonter la corde au moyen d’une manivelle. Le grand arc principalement utilisé à pied, l’arc mesure environ 1,50 m. La corde en nerf de bœuf permet de lancer la flèche, terminer par une pointe en fer, jusqu’à une centaines de mètres. Les autres armes La masse d’arme est une version en fer du gourdin paysan. Elle est formé d’un manche, prolongé par une tête de métal parfois hérissée de pointes. D’origine danoise, visible au XI siècle sur la tapisserie de Bayeux, la grande hache reste employée pendant plusieurs siècles par les Allemands et les Scandinaves.

Tournoi Les premiers tournois datent de la fin du X siècle. Apparu au XI siècle en même temps que la lance, le tournoi permet de s’entraîner au combat, d’expérimenter les nouvelles méthodes et de tester sa propre audace. Plus palpitant que la chasse, il canalise l’énergie des chevaliers qui cherchaient facilement querelle s’ils n’étaient réunis pour jouer à la guerre. Pour certains tournoie un chevalier qui réussit à vaincre un adversaire en combat singulier (organisé après la mêlée) en devient propriétaire. Il pourra lui confisquer ses armes, son cheval, et exiger une forte somme d’argent pour le libérer. Sinon, il peut le tuer.