Leçon 6 pour le 7 novembre 2015 DES ACTES SYMBOLIQUES

« Le potier n’a-t-il pas autorité sur l’argile, pour faire avec la même pâte un objet pour un usage noble et un objet pour un usage vil ? » (Romains 9.21) Étude de la semaine : Genèse 4.3-7 ; Nombres 21.1-9 ; Esaïe 29.16 ; Romains 9.18-21 ; Hébreux 5.14 ; Jérémie 13.1-11.

LA VÉRITÉ DANS LES SYMBOLES « J'ai parlé aux prophètes, j'ai multiplié les visions, et par l'intermédiaire des prophètes j'ai proposé des paraboles » (Osée 12.11). Dans la Bible, nous trouvons beaucoup de symboles – des scènes ou des objets qui enseignent une vérité spirituelle. CAÏN ET ABEL (Genèse 4:3-5; Hébreux 11.4) Salut par les œuvres Salut par la foi

« Très tôt dans la Bible, nous voyons la différence qu’il y a entre la tentative de gagner son chemin jusqu’au ciel (dans l’offrande de Caïn) et la compréhension que le salut n’est que par grâce, rendue disponible pour nous uniquement à travers les mérites d’un Sauveur crucifié (l’offrande d’Abel). » EDS, dimanche 1er novembre 2015

LA VÉRITÉ DANS LES SYMBOLES « J'ai parlé aux prophètes, j'ai multiplié les visions, et par l'intermédiaire des prophètes j'ai proposé des paraboles » (Osée 12.11). Dans la Bible, nous trouvons beaucoup de symboles – des scènes ou des objets qui enseignent une vérité spirituelle. Le symbole du serpent élevé fait comprendre la mission du Sauveur. (Jean 3.14-15) LE SERPENT DE BRONZE (Nombres 21.4-9)

Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut, de même, que le Fils de l'homme soit élevé, pour que quiconque croit ait en lui la vie éternelle. « Les Israélites eurent la vie sauve en regardant le serpent élevé. Ce regard impliquait la foi. Ils ont survécu car ils croyaient la parole de Dieu, et ils ont fait confiance aux moyens prévus pour leur guérison. » EDS, dimanche 1er novembre 2015

LA VÉRITÉ DANS LES SYMBOLES « J'ai parlé aux prophètes, j'ai multiplié les visions, et par l'intermédiaire des prophètes j'ai proposé des paraboles. » (Osée 12.11) Dans la Bible, nous trouvons beaucoup de symboles – des scènes ou des objets qui enseignent une vérité spirituelle. LE SANCTUAIRE Le sacrifice substitutif de Jésus L'œuvre de Jésus comme médiateur Le jugement préalable au retour L'élimination finale du péché

LA VÉRITÉ DANS LES SYMBOLES Dans tout l’Ancien Testament, le service du sanctuaire terrestre constituait la représentation symbolique la plus détaillée du plan du salut. LE SANCTUAIRE En fait, par le service du sanctuaire, nous avons reçu des symboles non seulement de la mort de Jésus… mais aussi de son ministère de grand-prêtre au ciel,… du jugement qui précède son retour,… et de l’éradication finale du péché à la fin des temps. EDS, dimanche 1er novembre 2015

L’argile du potier: LA SOUVERAINETÉ DE DIEU « Ne puis-je pas agir envers vous comme ce potier, maison d'Israël ? — déclaration du SEIGNEUR. Comme l'argile dans la main du potier, ainsi vous êtes dans ma main, maison d'Israël ! » (Jérémie 18.6). Dieu est le potier; nous, le pot dans ses mains … un pot entêté et obstiné. Ce symbolisme permet de dégager quelques enseignements : Dieu est souverain et a le pouvoir sur sa création (Romains 9.20) Il attribue à chacun une fonction (Romains 9.21) Il nous laisse la liberté d'accepter ou de gâcher son œuvre en nous (Jérémie 18.6) Les objectifs de Dieu pour ce monde s'accompliront avec ou sans nos "pots" (Jérémie 18.7-11)

« Maintenant, je te prie, dis aux hommes de Juda et aux habitants de Jérusalem : Ainsi parle le SEIGNEUR : Je façonne un malheur pour vous, je prépare un plan contre vous. Que chacun de vous revienne de sa voie mauvaise ! Réformez vos voies et vos agissements ! Mais ils disent : À quoi bon ? Nous suivrons nos pensées, chacun de nous agira selon l'obstination de son cœur mauvais. » (Jérémie 18.11-12). L’image du potier et de l’argile présente d’autres vérités, mais elle enseigne avant tout la souveraineté ultime de Dieu. Nous pouvons être rassurés : malgré la réalité du libre arbitre et des libres choix de l’homme, et les conséquences souvent calamiteuses qui résultent de l’abus de ce libre arbitre, nous espérons à la fin en la souveraineté absolue de notre Dieu, aimant et qui a révélé son amour lors du sacrifice à la croix. Le mal ne triomphera pas. Mais Dieu et son amour, oui. Quelle merveilleuse espérance nous avons ! EDS, lundi 2 novembre 2015

La cruche brisée: UNE NATION DÉGÉNÉRÉE « Ainsi parle le SEIGNEUR : Va acheter une cruche chez un potier, et prends avec toi des anciens du peuple et des anciens des prêtres. » « Tu briseras ensuite la cruche, sous les yeux des hommes qui seront allés avec toi, et tu leur diras : Ainsi parle le SEIGNEUR (YHWH) des Armées : C'est ainsi que je briserai ce peuple et cette ville, comme on brise une poterie qui ne peut plus être réparée. Et on ensevelira même au topheth, faute de place pour ensevelir » (Jérémie 19.1; 19.10-11). Ils seraient cassés, comme le pot que Jérémie a cassé. Dieu les repoussait.

Pour représenter cette parabole, Jérémie doit prendre avec lui les dirigeants de la nation (Jérémie 19.1). Ils étaient dans une large mesure responsables de la dégénérescence du peuple de Juda. Ils allaient être représentés comme un pot déjà cuit qui ne peut plus être modelé. Ils avaient ajusté leurs habitudes aux coutumes des peuples voisins et avaient perdu leur relation avec Dieu. Ils avaient durci leur conscience de telle manière qu'ils n'entendaient plus Dieu. « Qui peut réparer une cruche brisée ? Le Seigneur avait certes donné au pays une espérance pour l’avenir, mais pour le moment, le destin des habitants de Juda et de leurs enfants était scellé, à moins de faire demi-tour. Tous les endroits qu’ils avaient profanés avec leurs abominations et leurs actes impies seraient bientôt souillés par leurs cadavres. » EDS, mercredi 5 novembre 2015

Quelle est aujourd’hui la condition du monde? La Bible est battue en brèche par la “haute critique” et les hypothèses scientifiques, autant qu’elle l’était au temps du Christ par la tradition et le rabbinisme. L’avidité, l’ambition et l’amour du plaisir ont une emprise sur les cœurs aussi forte que jadis. Dans le monde soi-disant chrétien, au sein même des églises, ils sont rares ceux qui sont régis par des principes religieux.

LA CEINTURE DE LIN: S’ELOIGNER DE DIEU « Ce peuple mauvais qui refuse d'écouter mes paroles, qui va selon l'obstination de son cœur et qui suit d'autres dieux pour les servir et se prosterner devant eux, qu'il devienne comme cette ceinture, qui n'est plus bonne à rien ! » « En effet, comme un homme attache une ceinture à ses reins, ainsi je m'étais attaché toute la maison d'Israël et toute la maison de Juda — déclaration du SEIGNEUR — pour qu'elles soient mon peuple, mon nom, ma louange et ma splendeur. Mais ils n'ont pas écouté. » (Jérémie 13.10-11).

LA CEINTURE DE LIN: S’ELOIGNER DE DIEU EDS, jeudi 5 novembre 2015 «Quoi qu’il en soit, la ceinture symbolise à la fois la maison d’Israël et la maison de Juda, pures et sans taches, au moment de leur appel. L’homme qui porte la ceinture, c’est Dieu lui-même. Cela montre, entre autres, combien Dieu s’était attaché à son peuple.» «Tout comme la ceinture était abîmée, l’orgueil de la nation le serait également. Comme une ceinture s’attache à la taille d’un homme, ces gens s’étaient autrefois attachés au Seigneur, et ils étaient sa source de louange et de gloire. Mais ils étaient à présent détruits et pourris par les cultures voisines. »

LA CEINTURE DE LIN: S’ELOIGNER DE DIEU SYMBOLE Jérémie devrait acheter une ceinture de lin (d’utilisation sacerdotale), l'utiliser, mais pas la mouiller. (Jérémie 13.1). Il ôta sa ceinture, alla à l'Euphrate pour l'enterrer là-bas, et retourna à Jérusalem. (Jérémie 13.2-5). Après plusieurs jours, il retourna à l'Euphrate, déterra la ceinture et constata qu’elle avait pourri ; il retourna à Jérusalem. (Jérémie 13.6-7). INTERPRETATION La ceinture est le peuple d'Israël. Dieu porte Israël comme un homme attache une ceinture à ses reins. Celle-ci ne se mouille pas, car Dieu ne provoque pas la pourriture. (Jérémie 13.11) Israël sera déporté à Babylone. (Jérémie 13.19) Après s'être éloigné du Dieu, le peuple s’est corrompu. Il est devenu comme ses voisins et s’était ruiné. (Jérémie 13.10) 1 1 2 2 3 3

Jamais on ne sondera les profondeurs de Dieu Jamais on ne sondera les profondeurs de Dieu. Que nul ne tente de soulever d'une main présomptueuse le voile derrière lequel il dissimule sa majesté. « Ô profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu !» s'écrie l'apôtre. « Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles ! » (Romains 11.33-34). Ce qu'on peut comprendre des voies de Dieu et de ses mobiles envers nous, c'est une miséricorde et un amour infinis, unis à sa toute-puissance.

JE REFLECHIS Notre Père céleste ordonne toutes choses avec sagesse et justice: aussi nous convient-il de ne témoigner ni mécontentement ni méfiance, mais de nous incliner avec une soumission respectueuse. Il nous révélera de ses desseins tout ce qui pourra concourir à notre bien; pour le reste, ayons confiance en sa main puissante et en son amour. E. G. White, La tragédie des siècles, p. 574-575 Amen!