Autrefois, chez nos parents je la rencontrais souvent la Gratuité Telle un oiseau de bonheur elle ouvrait tout grand son cœur la Gratuité
Elle avait d ’aimables gestes Elle avait du temps de reste elle avait le temps d ’aimer la Gratuité, On pouvait compter sur elle,on ne la dérangeait pas; à la première nouvelle,elle était tout feu,tout bras
Son nom vous dit quelque chose, elle était de vos amis, et si je vante sa cause,c ’est qu ’elle est dans le pays, elle a changé ses offices; les temps ne sont plus pareils; elle est toujours de service et ses jardins sont vermeils.
L ’autre jour chez les enfants elle allait le cœur content la Gratuité Tel un oiseau de bonheur elle ouvrait tout grand son cœur la Gratuité
Malgré ses airs de caprices les temps ne sont plus pareils, elle veut rendre service et ses jardins sont vermeils
texte Cécile Bouchard Québec canada