Des combattantes kurdes envoient des jihadistes de l'État islamique en enfer Être tué par une femme serait la pire crainte des jihadistes de l'Etat islamique !

Les forces armées kurdes comptent plus de femmes soldats que la moyenne des pays musulmans du Moyen-Orient.

Nous sommes égales aux hommes», déclare Zékia Karhan, une combattante originaire de Turquie et membre du Parti des travailleurs du Kurdistan

Nupelda, une Française qui combat aux côtés des Kurdes Elle n’a que 28 ans et déjà trois ans de guerre derrière elle. Une guerre qu’elle mène dans le Rojava avec les YPJ, les unités combattantes de femmes kurdes de Syrie,

Elle s'appellerait "Rehana", cette jeune et jolie femme kurde basée à Kobané est devenue en quelques jours une icône de la guerre en Syrie, suite à la diffusion d'une photo d'elle brandissant le V de la victoire sur Twitter. Selon des informations reprises sur le réseau social, "Rehana" aurait tué plus de 100 combattants de l'EI.

Elles ont entre 17 et 30 ans. Elles font partie de la même brigade féminine baptisée « Sun Girls » (« Les filles du soleil »)

Les femmes kurdes, icônes de la lutte armée en Irak et en Syrie

Ces femmes sont donc de vraies peshmergas – terme qui signifie « ceux qui affrontent la mort » – et c’est ce qui les rend redoutables contre les djihadistes de l’armée islamique.

Ces femmes qui nous fascinent… tresses au vent et sourire aux lèvres manient avec habilité la kalashnikov et seraient même les meneuses des troupes contre les forces armées de Daech.

Portrait d'une femme Peshmerga dans le quartier militaire après un exercice

En Irak, les combattants kurdes peuvent compter sur l'engagement des femmes pour combattre les djihadistes de l'Etat Islamique. Par dizaines, elles s'entrainent à faire des prisonniers dans les camps spécialisés comme ici à Sulaimaniya dans le nord du pays.  

Voici le pire cauchemar des hommes à barbe de l’Etat Islamique… les commandos féminins kurdes (pas de paradis pour le soldat d’Allah abattu par une femme).

Ces soldates aux cheveux lâchés armées de kalachnikovs, impressionnent l’ennemi

Les filles du soleil dans leur planque contre les soldats de Daech

Xate Shingali, 30 ans et ancienne chanteuse yazidie, a formé sa brigade le 2 juillet dernier,

Selon les Yazidis, les djihadistes auraient peur d’être tués par une femme, ce qui les empêcherait de connaître les « 72 vierges au paradis ». « L’Etat islamique n’ira jamais au paradis ! »,

nous allons les tuer .

le Parti des Femmes Travailleuses du Kurdistan, qui par la suite devint le Parti de la Libération des Femmes Kurdes. Le mouvement armé kurde est né en 1992. C’est à cette même période que la participation active des femmes dans les rangs de la lutte armée prit une envergure plus large et plus représentative : tout de suite des unités de défense féminines ont été mises en place. Et dès 1999, les femmes ont eu leur propre armée avec leur propre commandement. Gulnaz Karatas Beritan fut l’une des premières commandantes d’unités non mixtes au sein du mouvement armé. Elle mena une résistance acharnée contre l’ennemi et utilisa jusqu’à sa dernière munition. Elle cassa sa kalachnikov afin qu’elle ne passe pas aux mains de ses adversaires et se jeta d’une falaise pour ne pas être arrêtée. En treillis ou en jeans, casquettes imprimé camouflage vissées sur la tête, cheveux lâchés, les femmes soldats kurdes libérées des diktats islamistes sont devenues des icônes. Elles revendiquent leur combat pour libérer les femmes «de l'emprise extrémiste» On les voit nettoyer leurs kalachnikovs les cheveux découverts et les ongles manucurés. Montrer ces jolies femmes donne une bien plus belle image qu'un homme barbu, c'est de la communication non artificielle »