SEPTEMBRE 1939-MAI 1940: la « drôle de guerre » ou comment les Français sont entrés en guerre ?
Roland Dorgelès.I. LES DONNÉES MILITAIRES 1)L’écrasement de la Pologne (septembre 1939) La Wehrmacht Times Magazine lightning war, Blitzkrieg
2) Le choix des Français et des Anglais d’attendre Ligne Siegfried
André Maginot
3) Des mois d’efforts inouïs de réarmement
général Maurice Gamelin ( )
Plans Dyle et Breda Martin Alexander Raoul Dautry Jean-Louis Crémieux-Brilhac
.II. LES DONNÉES POLITIQUES OU LE GOUVERNEMENT DU PAYS PENDANT LA « DRÔLE DE GUERRE ». 1)L’absence d’une véritable « Union sacrée » contre l’ennemi au Parlement
Edouard DALADIER ( ), radical-socialiste, chef du gouvernement d’avril 1938 à mars 1940
2) Les communistes refusent l’ « Union sacrée » et sont mis au ban de la nation Maurice Thorez ( ) Jacques Duclos ( )
3) L’absence d’union nationale dans le gouvernement Georges Bonnet Paul Reynaud Georges Mandel Joseph Paul-Boncour Léon Blum ( )
Paul Reynaud ( ), centre-droit, chef du gouvernement du 22 mars au 16 juin 1940
4) L’opinion publique face à la « drôle de guerre » Haut-Commissariat à la Propagande Jean Giraudoux
.III. LES DONNÉES ALLEMANDES: DE LA FRAYEUR À LA PRÉPARATION DE L’ATTAQUE 1)La frayeur allemande de septembre 1939
2) A la recherche d’une solution Général Halder
général von Manstein
3) Les risques du plan allemand pour écraser la France généraux von Bock et von Rundstedt général Halder
Mai-Juin Défaite française, victoire allemande, sous l’œil des historiens étrangers, Maurice Vaïsse (dir.), Paris, 2000, éd. Autrement, coll. « Mémoires », n° 62 (à consulter sur CAIRN)