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Publié parGéraldine Alain Modifié depuis plus de 8 années
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Nellie JUSSEAU 15 décembre 2011 – CCI 39 1
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Notions de droits français ICPE Définition Régimes réglementaires Modification de la nomenclature Cessation d’activité 2
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Responsabilité de l’exploitant Auto-surveillance Focus sur le bilan de fonctionnement Sanctions Responsabilité civile Responsabilité pénale 3
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Autres textes Règles à valeur constitutionnelles Constitution Règles à valeur législative Règles à valeur réglementaire Lois Les Décrets Les Arrêtés Conformité Application Circulaires Ordonnances 5
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ICPE 6
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Les Installations Classées pour la Protection de l’Environnement sont des installations qui peuvent présenter des dangers ou inconvénients pour la commodité du voisinage la santé la sécurité et la salubrité publiques l’agriculture la protection de la nature et de l’environnement ou la conservation des sites et des monuments 7
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Elles font l’objet d’une réglementation spécifique dont les fondements datent de la loi du 19 juillet 1976 sur les installations classées, désormais codifiée dans des articles du titre I du livre V du Code de l’Environnement (partie législative) 8
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qui confère à l’Etat des pouvoirs d’autorisation ou de refus d’autorisation de fonctionnement d’une installation de réglementation (imposer le respect de certaines dispositions techniques, autoriser ou refuser le fonctionnement d’une installation) de contrôle de sanction 9
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Sous l’autorité du Préfet, ces opérations sont confiées à l’Inspection des Installations Classées agents assermentés de l’Etat 10
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Classification des ICPE un classement des substances en fonction de la nature et de la quantité des produits stockés et mis en œuvre hydrocarbures, explosifs, engrais… Numérotation en 1XXX un classement des activités en fonction des opérations et risques qu'elles présentent silos à grain, carrière d'exploitation... Numérotation en 2XXX 11
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ICPE 12
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Pour chaque niveau de danger, un régime réglementaire et des contraintes s’appliquent Les installations soumises à déclaration (D) Les installations soumises à la déclaration avec contrôle périodique (DC) Les installations soumises à enregistrement (E) Les installations soumises à autorisation préfectorale d'exploiter (A) Les installations soumises à autorisation préfectorale d'exploiter avec servitude d'utilité publique (AS) 13
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Les installations soumises à déclaration (D) pas de graves dangers ou inconvénients doivent néanmoins respecter des prescriptions générales édictées par arrêtés ministériels doivent faire l’objet d’un dépôt de dossier de déclaration, en Préfecture, par l’exploitant avant la mise en service de l’installation lors de modification d’installations existantes 14
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Les installations soumises à la déclaration avec contrôle périodique (DC) Nouveau régime créé par le décret n°2006-678 du 8 juin 2006 Impose aux exploitants de faire procéder à un contrôle de leurs établissements tous les cinq ans, 10 ans si certifié 14001, S’assurer que leurs installations fonctionnent dans les conditions requises par la réglementation Prendre les mesures correctrices nécessaires. Ne se substitue pas à celui de l’inspection des installations classées 15
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Installations souvent à l’origine de nuisances de voisinage L’application des nouvelles dispositions se traduira par une amélioration de la qualité de l’environnement, en général et de la vie des populations riveraines 16
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Les installations soumises à enregistrement (E) Régime d’autorisation simplifié introduit en 2009 Un premier décret de nomenclature daté du 14 avril 2010 introduit le régime d’enregistrement pour une série d’installations les stations services les entrepôts de produits combustibles, bois, papier, plastiques, polymères les entrepôts frigorifiques 17
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D’autres modifications de la nomenclature à venir 18
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Procédure d’instruction du dossier écourtée 5 mois Le dossier transmis au Préfet est soumis à l’avis du conseil municipal des communes concernées à une consultation du public en mairie et sur Internet pendant 4 semaines soit une durée identique à une enquête publique 19
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L’enregistrement est prononcé par le préfet par arrêté d’enregistrement En l’absence de mesures particulières Les sites soumis à enregistrement feront l’objet d’une première inspection dans les six mois ou dans l’année qui suit leur mise en service 20
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Basculement en procédure d’autorisation Dans la plupart des cas, l’exploitant a localisé son projet dans des zones en cohérence avec les schémas locaux d’aménagement durable et c’est la procédure d’enregistrement qui s’applique 21
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Le régime d’enregistrement donne au préfet la possibilité d’instruire la demande d’enregistrement selon la procédure d’autorisation Trois critères (non cumulatifs) à pendre en compte pour décider d’un tel basculement la sensibilité du milieu, le cumul d’incidences avec d’autres projets, l’importance des aménagements proposés par le demandeur aux prescriptions qui lui sont applicables 22
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Le basculement est prévisible dans certains cas projet dans une zone peu compatible avec l’urbanisme existant, projet dans une zone de protection spéciale, projet dont la compatibilité n’est pas établie avec les documents de planification « milieu » (SAGE…) 23
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projet dans une zone Natura 2000 avec une évaluation montrant une incidence significative moyens souhaités par le demandeur qui divergent significativement de ceux prévus par les arrêtés de prescriptions générales qui sont susceptibles de conduire à une augmentation des rejets dans l’environnement ou à des risques accidentels accrus par rapport au respect des prescriptions générales 24
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Les installations soumises à autorisation préfectorale d'exploiter (A) présentent de graves dangers ou inconvénients pour l’environnement. doivent faire l’objet d’un dépôt de demande d’autorisation d’exploiter au Préfet, comprenant une étude de dangers, une étude d'impact une notice d'hygiène et de sécurité 25
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Procédure d’instruction du dossier plus longue que la procédure de déclaration 12 mois comprend entre autres, une enquête publique L’autorisation préfectorale d’exploiter n’est pas automatique puisque le dossier est examiné par l’autorité une fois délivrée, assortie de prescriptions techniques précises servant de base au contrôle des inspecteurs des installations classées 26
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Les installations soumises à autorisation préfectorale d'exploiter avec servitude d'utilité publique (AS) La procédure administrative est identique à l’autorisation la nature des activités ou substances sont telles qu’elles présentent des dangers graves pour l’environnement doivent donc être éloignées des populations. D’où la servitude d’utilité publique outil du Code de l’Urbanisme permet d’interdire les constructions dans le périmètre défini 27
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De nombreuses contraintes s’appliquent : des études d’impact et de dangers des mesures préventives obligatoires un Plan de Prévention des Risques Technologiques (PPRT) un Comité Local d’Information et de Concertation (CLIC) 28
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ICPE 29
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La nomenclature s’adapte continuellement aux évolutions technologiques et à la connaissance des risques D’où des changements de régime de classement pour certaines installations La législation doit prendre en compte les activités antérieures, dorénavant soumises au contrôle de l’autorité publique 30
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Il protège des situations existantes qui ont été légalement constituées Il garantit une sécurité publique suffisante dans le principe de la non-rétroactivité des lois. Il prend en compte la préservation de l’ordre public qui justifie l’application des lois de police spéciale 31
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Sont concernées les installations non classées qui deviennent installations classées du fait d’une modification de la nomenclature nouvelle rubrique changement de seuil Elles conservent le bénéfice de leur antériorité droits acquis 32
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L’exploitant doit avoir effectué, une déclaration simplifiée d’existence auprès de l’autorité préfectorale dans un délai d’un an à compter de la publication du décret portant modification de la nomenclature 33
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L’administration peut Demander à l’exploitant des renseignements complémentaires Une étude d’impact Une étude de dangers Renforcer les prescriptions techniques au moyen d’arrêtés complémentaires 34
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Abaissement des seuils d’autorisation et de déclaration Sont concernées les installations qui étaient originellement soumises au régime de la déclaration et qui à la suite d’une modification de la nomenclature se retrouvent soumises au régime de l’autorisation Cette situation peut résulter d’un abaissement des seuils ou de leur harmonisation 35
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Si l’installation a été régulièrement déclarée, elle bénéficie du droit de poursuivre son activité L’administration peut demander à l’exploitant des renseignements complémentaires une étude d’impact une étude de dangers renforcer les prescriptions techniques au moyen d’arrêtés complémentaires 36
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Elévation des seuils de déclaration et d’autorisation Cas des installations passant de l’autorisation à la déclaration, pas de formalités spécifiques à accomplir Son arrêté d’autorisation constitue dès lors un arrêté individuel modifiant les prescriptions générales applicables aux installations soumises à déclaration 37
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Cas des installations sortant du champ d’application de la législation des installations classées, Plus soumises aux dispositions de polices spéciales L’exploitant reste cependant responsable civilement des dommages qui pourraient subvenir responsabilité au titre des troubles anormaux du voisinage responsabilité pour faute au titre de l’article 1382 du code civil 38
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L’exploitant est tenu de signaler : une nouvelle activité relevant de la nomenclature des installations classées une augmentation de stockage ou de production un déplacement dans l’établissement d’une chaîne de fabrication, d’un stockage peut entraîner des modifications de niveaux sonores, un déplacement des zones à risque… 39
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une modification des conditions de stockage les scénarii d’accident peuvent être modifiés en passant d’un stockage enterré à un stockage aérien une extension des plages horaires de fonctionnement peut avoir une influence sur le bruit, le trafic engendré, les durées d’exposition… un changement de matière première, de procédé nécessite un réexamen des risques associés 40
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un changement d’exploitant un accident industriel NB : une cessation partielle d’activité est aussi une modification 41
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ICPE 42
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Les droits nés de l’octroi de la déclaration ou l’autorisation cessent lorsque l’installation classée n’a pas été mise en service dans le délai de trois ans n’a pas été exploitée durant deux années consécutives 43
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Lors de la mise à l’arrêt de son ICPE l’exploitant doit notifier au préfet la date de cet arrêt trois mois au moins avant celui-ci ; six mois pour les installations de stockage de déchets et les carrières placer le site de l’installation dans un état tel qu’il ne puisse porter atteinte aux intérêts mentionnés à l’article L511-1 du code de l’environnement 44
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transmettre au maire et au propriétaire du terrain de l’installation les plans du site les études et rapports communiqués à l’administration sur la situation environnementale et sur les usages successifs du site, ses propositions sur le type d’usage futur du site qu’il envisage de considérer transmet dans le même temps au préfet une copie de ses propositions 45
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La notification de l’exploitant au préfet indique les mesures prises ou prévues pour assurer, dès l’arrêt de l’exploitation, la mise en sécurité du site l’évacuation ou l’élimination des produits dangereux, et celle des déchets présents sur le site ; hors installations de stockage de déchets des interdictions ou limitations d’accès au site la suppression des risques d’incendie et d’explosion la surveillance des effets de l’installation sur son environnement 46
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Les conditions de remise en état sont fixées par l’arrêté d’autorisation L’usage futur est déterminé conjointement avec le maire s’il ne s’agit pas de l’exploitant, avec le propriétaire du terrain sur lequel est sise l’installation En l’absence d’observations des personnes consultées dans un délai de trois mois à compter de la réception des propositions de l’exploitant, leur avis est réputé favorable 47
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L’exploitant informe le préfet et les personnes consultées d’un accord ou d’un désaccord sur le ou les types d’usage futur du site 48
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Le vendeur terrain sur lequel a été exploitée une ICPE à autorisation est tenu d’informer par écrit l’acheteur qu’une installation soumise à autorisation a été exploitée sur un terrain des dangers ou inconvénients importants qui résultent de l’exploitation si son activité a entraîné la manipulation ou le stockage de substances chimiques ou radioactives 49
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ICPE 50
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ICPE Responsabilités de l’exploitant 51
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L’exploitant est le seul responsable de son installation depuis sa création jusqu’à sa mise à l’arrêt ou son transfert doit démontrer qu’il respecte en permanence les exigences réglementaires applicables à son ICPE 52
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Bilan de fonctionnement Formation du personnel Vérifications périodiques obligatoires Autosurveillance air, eau, bruits Autosurveillance déchets Surveillance des effets sur l’environnement Déclaration annuelle des rejets Gerep Autres déclarations obligatoires 53
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Le bilan de fonctionnement doit permettre à l’inspection D’apprécier périodiquement les effets et les performances des installations vis-à-vis de l’environnement D’actualiser des prescriptions applicables à ces installations 55
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Décret n°77-1733 du 21 septembre 1977 (article 17-2) Arrêté du 29 juin 2004 Circulaire du 6 décembre 2004 56
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Installations soumises à autorisation et appartenant à la liste de l’annexe I de l’arrêté du 29 juin 2004 Attention aux seuils Même si une seule des installations soumises à autorisation est concernée, le bilan de fonctionnement portera sur l’ensemble des installations 57
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Installations autorisées après le 01/01/2000 Tous les 10 ans Installations autorisées avant le 01/01/2000 Puis tous les 10 ans 58 Année du dernier arrêté d’autorisation se terminant par Première échéance 1, 2, 3 ou 4Avant le 31/12/2004 5 ou 6Avant le 31/12/2005 7 ou 8Avant le 31/12/2006 9 ou 0Avant le 30/06/2007
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1 : Introduction Présentation succincte de l’entreprise Activité, effectif… Evolution sur les dix dernières années Présentation de la réglementation applicable au site Arrêtés préfectoraux Arrêtés ministériels (02 février 1998…) 59
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2 : Analyse du fonctionnement de l’installation Evolution des flux de pollution Canalisés et diffus Si possible, rapporté à un niveau de production Évolution de la gestion des déchets Catégories Volume Filières d’élimination 60
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2 : Analyse du fonctionnement de l’installation Conformité des rejets (concentrations et flux) Aux prescriptions de l’arrêté préfectoral Aux autres textes Synthèse des effets de l’installation sur son environnement Destinée à estimer l’évolution des principaux impacts de l’installation en fonction Des émissions de l’installation Des conditions de fonctionnement 61
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2 : Analyse du fonctionnement de l’installation Accidents /incidents Historique des accidents /incidents Mesures prises pour éviter leur réapparition Investissement en termes de surveillance, de prévention et de réduction des pollutions Investissements techniques Nature et coût Investissements organisationnels Systèmes de management Structure environnement 62
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3 : Actualisation de l’analyse des effets de l’installation sur l’environnement et la santé Réalisée à partir de L’évolution de l’environnement de l’installation La prise en compte de l’évolution des flux de pollutions La prise en compte de l’évolution des connaissances sur les dix dernières années 63
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4 : Analyse des performances des moyens de prévention et de réduction des pollutions Pour les principaux polluants émis par les installations Caractéristiques techniques des moyens mis en œuvre Performances obtenues Comparaison par rapport aux « meilleures techniques disponibles » http://aida.ineris.fr/bref/index.htm 64
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5 : Mesures envisagées pour supprimer, limiter ou compenser les inconvénients de l’installation Pour les émissions polluantes Solutions envisagées avec prise en compte de MTD Résultats attendus Coûts estimatifs et délais 65
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5 : Mesures envisagées pour supprimer, limiter ou compenser les inconvénients de l’installation Concernant l’utilisation rationnelle de l’énergie Description des sources d’énergie utilisées et des équipements Consommations d’énergie Flux d’émissions de gaz à effet de serre Justification du respect de la réglementation Les mesures éventuelles à mettre en place pour une utilisation rationnelle de l’énergie 66
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6 : Mesures envisagées en cas de cessation d’activité Les éléments suivants doivent être évoqués Elimination des produits et déchets Etat des sols et éventuelles surveillances Démantèlement des installations 67
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7 : Conclusion La conclusion doit contenir les éléments suivants Synthèse des faits marquants Synthèse des éventuelles propositions 68
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L’inspection des IC peut après étude du bilan Demander des informations complémentaires si elle juge le bilan incomplet Prescrire un arrêté complémentaire Demander la constitution d’un nouvel dossier d’autorisation Ne rien faire 69
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ICPE Responsabilités de l’exploitant 70
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Lorsqu’un inspecteur constate l’inobservation des conditions imposées à l’exploitant, le Préfet met en demeure ce dernier de satisfaire à ces conditions dans un délai déterminé A l'expiration de ce délai, il peut faire procéder d’office (aux frais de l’exploitant) à l’exécution des mesures prescrites Il peut, en dernier recours, demander de suspendre (par arrêté préfectoral) l’autorisation d’exploiter de (ou des) l’installation(s) en cause(s), jusqu’à mise en conformité 71
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ICPE Responsabilités de l’exploitant 72
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Il y a responsabilité civile lorsqu’un dommage a été causé par une personne privée Le juge civil peut être saisi soit par la victime, soit par des associations de protection de l’environnement 73
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La responsabilité civile n’exclut pas des sanctions pénales Pour engager la responsabilité civile, il faut prouver le lien de causalité entre le fait à l’origine du dommage le préjudice subi par la victime 74
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La responsabilité civile peut être engagée sur plusieurs fondements une personne peut être responsable en raison de la faute qu’elle a commise indépendamment de sa propre faute, elle peut être responsable en tant que gardien d’une chose (installation classée, déchet...) impliquée dans la réalisation du dommage 75
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Droit d’antériorité au profit de l’industriel les tiers qui se sont installés dans le voisinage d’une activité nuisante ne peuvent obtenir réparation de leur préjudice cette activité s’exerce en conformité avec les règlements et normes en vigueur elle n’a pas été modifiée depuis l’arrivée du voisin 76
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Le juge civil peut accorder au plaignant des dommages et intérêts prendre des mesures pour mettre fin aux nuisances mais ne peut pas ordonner la fermeture d’une installation pour faire cesser le dommage 77
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ICPE Responsabilités de l’exploitant 78
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La responsabilité pénale est engagée quand une infraction (contravention, délit ou crime) a été commise en réunissant trois éléments un élément légal texte législatif ou réglementaire définissant le fait répréhensible et la sanction encourue un élément matériel acte ou omission sanctionné un élément moral ou intentionnel la volonté consciente de réaliser l’élément matériel de l’infraction 79
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Un délit peut toutefois être constitué par une simple faute d’imprudence ou une négligence, sans qu’il y ait intention de commettre l’infraction L’action pénale est déclenchée soit par la victime de l’infraction, si elle se constitue partie civile, 80
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soit par le procureur de la République, suite à un dépôt de plainte ou à un procès-verbal dressé par les agents compétents 81
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La Cour de cassation a estimé que « la seule constatation de la violation en connaissance de cause d’une prescription légale [...] implique [...] l’intention coupable » Il n’existe pas de « crime ». Les infractions sont soit des contraventions soit des délits 82
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Homicides, coups et blessures involontaires Mise en danger d’autrui Terrorisme écologique Destructions, détériorations et dégradations de biens 83
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Non respect des prescriptions d’arrêtés ministériels ou d’arrêtés préfectoraux Exploitation sans déclaration d’une installation qui y serait soumise Non respect des modalités de cessation d’activité de l’installation 84
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Il s’agit de contraventions de 5ème classe. Les peines encourues peuvent atteindre 1 500 € d’amende pour les personnes physiques 7 500 € d’amende pour les personnes morales 85
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Exploitation d’une installation soumise à autorisation sans l’autorisation requise Non respect d’une mise en demeure Poursuite de l’exploitation malgré une mesure de suppression ou de suspension Obstacle aux fonctions de l’inspection des installations classées 86
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Les peines encourues sont l’amende (jusqu’à 150 000 €) et la prison (jusqu’à 2 ans) Pour les personnes morales, l’amende peut atteindre 750 000 € Le tribunal dispose également d’autres possibilités de sanction Astreinte interdiction d’utiliser l’installation remise en état des lieux 87
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Nellie JUSSEAU 06.27.50.24.44 nellie.jusseau@cap- qse.fr nellie.jusseau@cap- qse.fr 89
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