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Education, enseignement: le système scolaire.. ÉDUCATION: PRÉSENTATION Dans les comparaisons internationales sur la formation des élèves, la France se.

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1 Education, enseignement: le système scolaire.

2 ÉDUCATION: PRÉSENTATION Dans les comparaisons internationales sur la formation des élèves, la France se situe à un niveau honorable par rapport aux autres pays avancés. Le système scolaire français a conservé les principes qui ont fait son originalité et sa force depuis la fin du XIXème siècle. L’école est le lieu privilégié de la socialisation des jeunes, et ce dès l’âge de trois ans. Par elle, la Nation assure l’accès égal de tous les enfants à la formation et à la culture quelle que soit leur condition d’origine. Elle est soumise au principe de neutralité et de laïcité. Voilà pour les principes.

3 De fait, et à tous les niveaux de l’enseignement obligatoire, école primaire, collège, lycée, ces missions sont confrontées aux transformations sociales et économiques du pays. Le système éducatif ne peut plus fonctionner sans se préoccuper de la diversité des élèves et des difficultés rencontrées par certains, ni de l’adéquation des formations pour l’emploi. Le processus est largement engagé avec le développement dans les lycées des filières professionnelles et technologiques menant au baccalauréat, à côté des filières générales.

4 LES GRANDES HEURES DE LA DÉMOCRATISATION DE L’ ÉCOLE Pour démocratiser l’accès de tous les jeunes à l’enseignement secondaire, l’école aprofondément transformé son organisation pédagogique. Citons tout particulièrement :  La loi d’orientation de 1975 (qui crée le collège unique pour donner à tous les adolescents le même tronc commun de formation à l’issue de la scolarité obligatoire et, ainsi, augmenter et démocratiser le taux d’accès aux études longues), celle de 1989 (qui fixe des objectifs ambitieux à l’école, organise l’ensemble de la scolarité en cycles et qui instaure le projet d’établissement), et celle de 2005 (dont l’article 9 institue le socle commun de connaissances et de compétences à l’issue de la scolarité obligatoire, et qui favorise les initiatives et l’expérimentation).

5  La politique de l’éducation prioritaire mise en place à partir de 1981 et qui vise à donner « plus à ceux qui ont moins ».  La diversification des voies d’enseignement. La création en 1985 du baccalauréat professionnel qui donne une égale dignité aux formations générales, technologiques et professionnelles, et l’extension à tous les niveaux de diplôme de la voie de formation par l’apprentissage, ont élargi considérablement les possibilités de poursuite d’études.  La mise en place d’un processus de formation tout au long de la vie (confirmé à l’échelle européenne par le sommet de Lisbonne en 2000) permet à toute personne déjà engagée dans la vie active d’accéder à une formation selon des modalités diversifiées. Depuis 2004 existe un Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie.

6  L’aide aux élèves en difficulté. Des enseignements adaptés sont proposés à l’école et au collège pour répondre aux besoins spécifiques des élèves connaissant des difficultés scolaires graves et durables.  La scolarisation des élèves handicapés est une priorité nationale. La loi du 11 février 2005 pour « l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » fait de l’intégration scolaire des élèves handicapés une priorité nationale. Des classes d’intégration scolaire dans l’enseignement primaire et des unités pédagogiques d’intégration dans le collège existent à cet effet. Des emplois spécifiques ont été créés (lesauxiliaires de vie scolaire) pour assurer les fonctions d’aide à l’accueil et à la scolarisation.

7 L’ ÉCOLE PRIMAIRE: L’ ÉCOLE MATERNELLE En France, l’école maternelle est destinée aux enfants qui ont entre 2 et 6 ans. Gratuite, elle accueille 23 % des enfants de 2 ans et la quasi- totalité des enfants de 3 à 6 ans. Elle constitue un élément important du système éducatif français qui se donne pour but d'assurer l'éveil et la socialisation des jeunes enfants.

8 L'école maternelle est destinée aux jeunes enfants de 3 (parfois 2) à 5 ans. Elle comprend traditionnellement trois classes : la petite (PS), la moyenne (MS) et la grande (GS) sections, et compte aussi parfois une très petite section (TPS) pour les enfants de moins de 3 ans. Sa fréquentation est optionnelle, l'accueil des enfants n'étant obligatoire qu'à partir de 6 ans. Elle est ouverte à tous les enfants résidant en France, indépendamment de leur nationalité.

9 Bien que facultative, l'école maternelle française accueille environ 23 % des enfants de deux ans, 95 % des enfants de trois ans et la quasi totalité des enfants de quatre et cinq ans. Les classes de très petite (TPS), petite (PS), moyenne (MS) et grande (GS) sections forment le « cycle des apprentissages premiers ». Depuis la Loi d'orientation de 1989, la classe de grande section appartient à la fois au « cycle des apprentissages premiers » se déroulant à l'école maternelle et au « cycle des apprentissages fondamentaux » qui regroupe aussi le cours préparatoire (CP) et le cours élémentaire 1re année (CE1) de l'école élémentaire.

10 ORGANISATION Depuis le décret du 6 septembre 1990, suite à la loi d'orientation de 1989, l'enseignement primaire est organisé en trois cycles pluri-annuels, des objectifs devant être atteints non plus à la fin d'une année scolaire, comme auparavant, mais en fin de cycle. La maternelle est concernée par deux cycles : son ensemble avec le cycle 1 ou cycle des apprentissages premiers, et uniquement la GS avec le cycle 2 ou cycle des apprentissages fondamentaux, qui inclut aussi les deux premiers niveaux de l'école élémentaire : les cours préparatoire et élémentaire niveau 1 (CP-CE1).

11 Cycle 1 ou cycle des apprentissages premiers Niveaux concernés : l'ensemble de la maternelle (TPS-PS-MS-GS). Ce cycle est organisé autour de cinq domaines fondamentaux :  S'approprier le langage (premiers apprentissages du langage, premières expériences de l'écriture...).  Découvrir l'écrit  Devenir élève (échanger et communiquer avec les camarades et les adultes, participer aux activités du groupe...).  Agir et s'exprimer avec son corps (activités physiques sous forme de jeux, langage du corps, articulation avec d'autres activités).  Découvrir le monde (découvertes sensorielles, observation du monde vivant...).  Percevoir, sentir, imaginer, créer (activités visuelles, dessin, activités vocales, jouer avec l'image et la voix, activités musicales avec des instruments simples : triangle, rond, carré...).

12 Cycle 2 ou cycle des apprentissages fondamentaux Niveaux concernés : la GS de maternelle, plus les deux premières classes de l'école élémentaire (CP et CE1). Ce cycle est organisé autour de sept domaines fondamentaux :  Maîtrise du langage et de la langue française (dialogue, apprentissage de la lecture et de l'écriture...).  Vivre ensemble (apprentissage des règles de vie, discipline, première approche de la citoyenneté...).  Mathématiques (nombres, calcul, formes géométriques de base...).  Découvrir le monde (découverte et compréhension de l'espace, du temps, de la vie, de la matière, des technologies de l'information...).  Langues étrangères ou régionales.  Éducation artistique (dessin, chant, arts plastiques, travaux manuels...).  Éducation physique et sportive.

13 CONTROVERSES L'école maternelle fait l'objet de critiques, notamment : Sur le plan éducatif : un rapport du Haut conseil de l'éducation, publié vers 2007, met en cause l'école maternelle dans l'échec scolaire à l'école primaire. Sur le plan économique, le 3 juillet 2008, le ministre de l'Éducation nationale Xavier Darcos a déclaré devant la Commission des finances du Sénat, concernant la préscolarisation des enfants de moins de trois ans : « Est-ce qu'il est vraiment logique, alors que nous sommes si soucieux de la bonne utilisation des crédits de l'État, que nous fassions passer des concours à bac +5 à des personnes dont la fonction va être essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches ? Je me pose la question, ces personnes ayant la même compétence par exemple que si elles étaient institutrices en CM2 ». Ce qui a entraîné un débat, relayé par la publication d'au moins un ouvrage, sur l'éventuelle suppression de l'école maternelle.

14 Les défenseurs de l'école maternelle mettent en avant plusieurs arguments : D'un point de vue éducatif : ils mettent en avant la qualité de l'enseignement apporté (socialisation, langage, développement de compétences, etc.). D'un point de vue physiologique : pour entrer en maternelle, l'enfant ne porte en général plus de couches. Les enseignants n'ont donc pas à les changer. Les enfants « peuvent également être admis dans la limite des places disponibles s'ils ont atteint l'âge de 2 ans au jour de la rentrée scolaire, à condition qu'ils soient physiquement et psychologiquement prêts à la fréquenter ». La propreté peut être un élément de refus de l'enfant en maternelle (mais en aucun cas le seul). D'un point de vue économique : ils mettent en avant le coût de garde des enfants, qui serait moindre pour la collectivité à l'école qu'avec d'autres modes de garde.

15 L’ ÉCOLE PRIMAIRE: L’ ÉCOLE ÉLÉMENTAIRE  L'école élémentaire est l'école qui accueille les enfants à partir de six ans, âge auquel commence l'instruction obligatoire en France. Cependant, l'école élémentaire représente pour beaucoup d'entre eux la suite de la maternelle, avec laquelle elle forme l'école dite primaire.  L'École publique est gratuite et laïque. Elle a obligation d'accueillir les enfants habitant dans la zone qui lui est attribuée par la carte scolaire, qu'ils soient de nationalité française ou pas. Elle accueille aussi des enfants dont le handicap a été reconnu par la MDPH situés hors carte scolaire, lorsqu'ils ne trouvent pas de structure d'accueil dans l'école la plus proche, école dite de rattachement (c'est le cas principalement pour les élèves accueillis en CLIS).  Un secteur privé coexiste avec l'enseignement public.

16 ORGANISATION L'importance des différents enseignements varie progressivement selon les cycles, qui sont eux-mêmes subdivisés en années et qui sont les suivants : Cycle II : cycle des apprentissages fondamentaux – Première année: Grande section de maternelle ou GS (5 ans). – Deuxième année : Cours préparatoire ou CP (6 ans). – Troisième année : Cours élémentaire 1re année ou CE1 (7 ans). Cycle III : cycle des approfondissements – Première année : Cours élémentaire 2e année ou CE2 (8 ans). – Deuxième année : Cours moyen 1re année ou CM1 (9 ans). – Troisième année : Cours moyen 2e année ou CM2 (10 ans).

17 L'enseignement est généralement dispensé par un (ou une) professeur des écoles polyvalent (statut remplaçant progressivement celui d'instituteur). Celui-ci est chargé d'organiser l'enseignement des différentes matières en respectant notamment leur répartition horaire moyenne prévue dans les programmes : maîtrise du langage et de la langue française qui comprend notamment l'expression orale, la lecture, la production d'écrits, la littérature, l'étude de la langue française (grammaire, orthographe, vocabulaire, conjugaison), l'éducation humaine : vie collective, histoire, géographie, l'initiation à une langue étrangère ou régionale, l'éducation scientifique qui comprend les mathématiques, les sciences expérimentales, la technologie, l'éducation physique et sportive, l'éducation artistique : l'éducation musicale, arts visuels l'éducation civique ou le vivre ensemble.

18 EMPLOIS DU TEMPS Le modèle national est basé sur quatre journées travaillées: lundi, mardi, jeudi et vendredi. En 2007 (avant le passage de la semaine de quatre jours et demi à celle de quatre jours), la semaine de quatre jours touchait 24,30 % des élèves, dans 26 % des écoles, notamment dans la quasi-totalité des écoles de 13 départements. Les cours sont transférés du samedi matin au mercredi matin pour 6,5 % des élèves au niveau national. Le gouvernement a supprimé les cours du samedi matin en 2008.

19 PROGRAMMES Depuis le décret du 06/09/1990, suite à la loi d'orientation de 1989, l'enseignement primaire est organisé en trois cycles pluri- annuels, des objectifs devant être atteints non plus à la fin d'une année scolaire, comme auparavant, mais en fin de cycle.  Le cycle 1 ou cycle des apprentissages premiers comprend une partie de la maternelle, soit la toute petite section (TPS), la petite section (PS), la moyenne section (MS) et la grande section (GS) de maternelle.  Le cycle 2 ou cycle des apprentissages fondamentaux concerne à la fois la maternelle et l'école élémentaire puisqu'il inclut la GS de maternelle, à cheval sur deux cycles, le CP et le CE1.  Les CE2, CM1 et CM2 correspondent au cycle 3 ou cycle des approfondissements.

20 Cycle 3 ou cycle des approfondissements Niveaux concernés : CE2, CM1 et CM2. Les matières enseignées dans ce cycle s'inscrivent dans la continuité du cycle 2. Ainsi « vivre ensemble » devient « éducation civique »… Ces matières sont les suivantes : Maîtrise du langage et de la langue française (savoir communiquer à l'oral et à l'écrit). Éducation civique (participer à la vie de l'école, être citoyen dans sa commune et en France, découvrir l'Europe et s'ouvrir au monde…). Littérature (littérature de jeunesse, lecture, écriture). Observation réfléchie de la langue française (grammaire, conjugaison, orthographe, vocabulaire).

21 (Suite) Langues étrangères ou régionales (cet enseignement n'est pas toujours assuré par manque de financement des intervenants nécessaires). Histoire (de la Préhistoire à nos jours). Géographie (regards sur le monde, l'Europe, la France, introduction à la France dans la mondialisation). Mathématiques (calcul, fractions, espace et géométrie, angles, grandeurs et mesures). Sciences expérimentales et technologie (matière, monde vivant, environnement, hygiène et santé, énergie, ciel et terre, monde construit par l'homme, technologies de l'information…). Arts visuels (dessin…). Éducation musicale (chant, musique). Éducation physique et sportive.

22 LE COLLEGE Dans le système éducatif français, « le collège » est l’appellation courante du premier cycle des études du second degré. C’est un enseignement de quatre ans, qui fait suite à l’école élémentaire. La fourchette d'âge est, généralement, de 10-11 ans (début de la sixième) à 14-15 ans (fin de la troisième). Par extension, « collège » est le nom de l’établissement où se fait cet enseignement.

23 LES ENSEIGNEMENT DU COLLEGE La formation dispensée repose sur un ensemble de disciplines qui, toutes, reposent sur le Socle commun de connaissances et de compétences. La formation est découpée en trois cycles: Le cycle d’adaptation La classe de sixième est considérée comme un temps d’adaptation au collège. L’accueil et l’intégration des élèves fait l’objet d’une attention particulière et une évaluation nationale est faite au début de l’année. Le cycle central Lors de ce cycle de deux ans apparait l’itinéraire de découverte (2 heures hebdomadaires interdisciplinaires; semblables au Travaux personnels encadrés du lycée) Le cycle d’orientation Au cours de l’année, les élèves effectuent une «séquence d’observation en milieu professionnel» (stage de courte durée) et se préparent au Diplôme national du brevet.

24 Diplômes et certifications Le diplôme national du brevet se compose d’un contrôle continu en classe de troisième et d’examens à la fin de celle- ci. Le certificat de formation générale est destinés aux élèves de sections adaptées. L’attestation scolaire de sécurité routière se passe en cinquième et en troisième. Le brevet informatique et internet.

25 Formations spécifiques Sections de langues régionales Classes bilingues Sections européennes et internationales Collèges franco-allemands Classes à projet artistique et culturel Classes à horaires aménagés (par exemple Classe à horaires aménagés musique) Sections sportives scolaires

26 CAS PARTICULIERS Scolarisation des élèves handicapés Les unités pédagogiques d’intégration permettent de scolariser les élèves handicapés dans les collèges, le recours à des établissements spécialisés ou à des services médico- sociaux n’interviennent que de façon subsidiaire Élèves en difficulté grave Les élèves dont les difficultés d’apprentissage sont graves et durables suivent des enseignements aménagés en SEGPA, ou dans des établissements particuliers : les établissements régionaux d’enseignement adapté Enseignement par alternance En classe de troisième et de quatrième, les élèves de plus de 14 ans peuvent avoir une formation partagée entre collège et lycée professionnel ou entre collège et entreprise ou encore entre les trois entités

27 Le collège en tant qu’établissement Il existe 7 031 collèges en France en 2008 (5 260 publics et 1 771 privés). Les collèges publics Les collèges publics sont des établissements de type EPLE. Les bâtiments appartiennent au département. L’équipe de direction du collège est constitué du principal, de son adjoint, du gestionnaire et des conseillers principaux d’éducation. Le conseil d’administration est composé de 30 membres et règles les affaires de l’établissement (projet, budjet…) Les collèges privés

28 LE LYCÉE  Le lycée actuel correspond aux trois dernières années de l'enseignement secondaire (seconde, première et terminale), pour des adolescents âgés, généralement, de 14-15 ans à 17-18 ans. Les enseignements au lycée aboutissent à des examens finaux et nationaux : le baccalauréat, le BEP (brevet d'études professionnelles) ou le CAP (certificat d'aptitude professionnelle). Néanmoins, un certain nombre de filières relevant de l'enseignement supérieur, comme les BTS (brevet de technicien supérieur), les CPGE (classes préparatoires aux grandes écoles) et les classes préparatoires au DCG (diplôme de comptabilité et de gestion), sont en partie prises en charge par les lycées. En 2008, il y avait :  2 626 lycées d'enseignement général et technologique,  1 687 lycées professionnels,  218 lycées agricoles,  6 lycées de la défense.

29 Les différents cursus du lycée Jusqu'en 1994, les filières du lycée s'appelaient A (littérature, philosophie, langues), B (économique et sociale), C (mathématiques), D (biologie), E (mathématiques & technique), F1, F2, F3, F4… F12 (regroupe les sections technologiques actuelles parmi lesquelles musique et danse, STI, SMS), G1, G2, G3 (tertiaire : secrétariat, commerce, comptabilité) et H (Techniques informatiques). Ces filières sont à présent regroupées en trois voies : générale, technologique et professionnelle

30 LA VOIE GENERALE  La classe de seconde générale et technologique est dite indifférenciée : indépendamment de la filière à laquelle ils se destinent, les élèves suivent le même enseignement de tronc commun, complété par deux enseignements d'exploration obligatoire et s'ils le souhaitent une option facultative.  À son entrée en première, l'élève choisit la série dans laquelle il va préparer le baccalauréat : - Première littéraire - Première économique et sociale - Première scientifique, à profil Sciences de la vie et de la terre ou Sciences de l'ingénieur (Bac S - SI) ainsi que le profil Agronomie ( lycée agricole uniquement).

31 (suite)  La classe de terminale est celle du baccalauréat. L'élève qui y entre choisit un enseignement de spécialité (les L doivent l'avoir choisi en première mais les ES, qui ont eux aussi une option obligatoire en première, peuvent en changer entre les deux années) parmi ceux proposés dans sa série : - Terminale littéraire : Langues anciennes, langues vivantes (LV1 / LV2 renforcée ou LV3), arts (un parmi : arts plastiques, théâtre, musique, histoire des arts, cinéma-audiovisuel ou arts du cirque), mathématiques. - Terminale économique et sociale : mathématiques, sciences économiques et sociales, langue renforcée. - Terminale scientifique : mathématiques, physique-chimie, sciences de l'ingénieur, SVT, biologie-écologie (en lycée agricole) et dès la rentrée 2012, informatique et sciences du numériques.

32 LA VOIE TECHNOLOGIQUE Elle débouche sur le bac technologique qui comprend plusieurs séries : Sciences et technologies de la santé et du social (anciennement SMS) Sciences et technologies industrielles (STI) – Arts appliqués (peu répandu) – Génie civil – (GeL) Génie électronique – (GeT) Génie électrotechnique – (GMm, GMp) Génie mécanique – Génie optique – Génie énergétique – Génie des matériaux

33 (SUITE) Sciences et technologies de laboratoire (STL) – biochimie-génie biologique, – physique de laboratoire et procédé industriels, – chimie de laboratoire et procédés industriels Sciences et technologies de la gestion (STG) (anciennement STT) – (CGRH) Communication et Gestion des Ressources Humaines – (CFE) Comptabilité et Finance d'Entreprise – (GSI) Gestion des Systèmes d'Information – (M) Mercatique Sciences et Technologies de l'Agronomie et du Vivant (STAV, remplace les anciens bacs STAE et STPA) Hôtellerie Techniques de la musique et de la danse, option – musique ou danse

34 LA VOIE PROFESSIONNELLE La voie professionnelle est la troisième possibilité offerte après le collège. L'enseignement est dispensé en lycée professionnel et débouche sur un CAP, un bac professionnel en trois ans, un BT (brevet technique) voire un bac technologique (qui se faisait par le biais d'une classe de première d'adaptation maintenant supprimée). Le BEP n'existe plus. En général les lycées professionnels regroupent des sections cohérentes entre elles au niveau des formations. Ainsi certains LP (Lycée professionnel) concentrent des sections tertiaires, d'autres des sections industrielles etc. Les lycées des métiers sont des établissements dont l'identité et la formation sont construites autour d'un ensemble cohérent de métiers. Ces lycées s'engagent à se conformer pendant 5 ans renouvelables à un cahier des charges.

35 Les filières post-bac Certains lycées comprennent aussi des sections de techniciens supérieurs ; des classes préparatoires aux grandes écoles ; des classes préparant au diplôme de comptabilité et de gestion. Le lycée en tant qu’établissement Il existe environ 2 500 lycées en France (1 500 publics et 1 000 privés).

36 Les lycées publics Les lycées publics sont des établissements de type EPLE. Les bâtiments appartiennent à la région. L’équipe de direction du lycée est constituée du proviseur, de son adjoint, du gestionnaire et des conseillers principaux d’éducation. La démocratisation de l'enseignement secondaire s'est appuyée sur un accroissement considérable des ressources allouées à cet enseignement. La dépense a crû de 5% par an de 1987 à 1993, soit 5 fois plus vite que dans les périodes antérieures et postérieures. Le coût annuel moyen d'un lycéen est d'environ 10 000 euros, et les dépenses ont augmenté de 50 % entre 1990 et 2004

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