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Publié parClaudette Duval Modifié depuis plus de 8 années
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CHAPITRE 3: Gagner sa vie au 19e siècle Les modes de vie des Terre- Neuviens et des Labradoriens au 19e siècle
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Dans ce chapitre, tu en apprendras plus sur… Les modes de vie autosuffisants au 19e siècle Les trois branches de l’industrie de la morue Le rôle des marchands de poissons La chasse au phoque Le piégeage, la construction des bateaux et d’autres professions
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2.3.1 - Décrire l’incidence du milieu physique et du climat sur le gagne- pain des habitants L’industrie principale était la pêcherie mais la plupart de la terre n’était pas bien pour l’agriculture. Les gens vivaient près de l’eau: Pour prendre avantage de la pêcherie C’était un moyen de transport principal
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2.3.2 / 2.3.3 - L’Économie de Subsistance / l’Économie de Consommation Subsistance: Les peuples sont plus autonomes et indépendants. Ils produisent, eux-mêmes, la plupart de ce dont ils avaient besoin. Consommation: Les gens utilisent de l’argent pour acheter ce dont ils ont besoin. * Note: Les différences entre les deux – p. 48
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2.3.4 – Comparer les principales caractéristiques de la pêche sur la côte et de celle sur les bancs 1. La pêche côtière : Près des côtes de Terre-Neuve et du Labrador. Les gens travaillaient dans les petits bateaux. Les gens commençaient à l’aube et continuaient pendant toute la journée. Les gens attrapaient la morue avec des hameçons (hooks) qu’ils abaissaient au fond de la mer à la main en utilisant des lignes. Chaque membre de la famille avaient des tâches divers.
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2. La pêche sur les bancs : Les grandes géolettes (schooners) transportaient des doris et des équipages sur les bancs (les Grands Bancs, le banc de Rose Blanche, et le banc de St. Pierre). Chaque matin, les équipes de deux hommes partaient de la géolette en doris pour pêcher. (Ils utilisaient des lignes et de hameçons). Des Risques: les ventes de tempête, naviguer dans le brouillard, les doris courraient le risque de se faire renverser ou de ne plus retrouver la géolette.
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La vie pénible: les hommes passaient 1 mois dans un espace réduit avec peu d’eau pour se laver, et le bateau bougeait sans arrêt. Est devenu un des principales industries dans la péninsule de Burin et le long des côtes sud et sud- est à la fin des années 1800. La saison de pêche s’est allongée (plus tôt au printemps et plus tard à l’automne).
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2.3.5 – Dresser la liste des principales caractéristiques de la pêche au Labrador Une pêche saisonnière des non résidents du Labrador. Tous les étés, des milliers de Terre-Neuviens (et dans de nombreux cas, des famillies entières) se rendaient au Labrador pour y pêcher. Ils commençaient au début de l’été et ils partaient au début de l’automne. Le voyage était difficile quand il faisait mauvais temps.
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La pêche au Labrador (continue) Il y avait 2 groupes : Les stationnaires Les flotteurs 1.Stationnaires – travaillent à partir du rivage (salaient et faisaient sécher le poisson). 2.Flotteurs – restaient sur leurs bateaux et se déplaçaient vers différents sites de pêche. (Ils salaient fortement le poisson car ils ne pouvaient pas le faire sécher avant le retour à Terre-Neuve)
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Une Journée Typique des Pêcheurs Cotières et leurs Familles/Les Responsabilités Diverses (p. 51-52) Les Hommes Commeçaient à pêcher à l’aube et continuaient pendant toute la journée. Si la morue était abondante, ils revenaient plusieurs fois par jour. Ils vidaient, coupaient, salaient, et faisaient sécher la morue sur le rivage.
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Les Femmes Il fallait s’occuper du potager (vegetable gardens), de volailles (poultry), et des animaux. Elles faisaient les routines quotidiennes qui prennaient beaucoup de temps. ex: laver la ligne
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Les Fillettes / Les Enfants Aidaient à préparer la morue et s’assuraient qu’elle était de bonne qualité pour recevoir la meilleure classement et pour être payée aussi cher que possible
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2.3.6 / 2.3.7 – Le système de paiement en nature (le troc) La méthode de l’échange entre les pêcheurs et les marchands. En échange pour le poisson, le pêcheur et sa famille recevaient un crédit dans le magasin du marchand. (L’équipement de pêche, de la nourriture, des vêtements) Il n’y avait pas d’échange d’argent.
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2.3.8 – Expliquer comment le système de troc a influé sur le mode de vie des personnes qui y participaient. Les Marchands : Les marchands controlaient le troc, le prix des poissons et aussi les prix des produits dans leurs magasins. Ils dependaient beaucoup sur le marché international parce que le plupart du poisson était envoyé aux pays comme Espagne, Portugal et Italie. Le prix du poisson à Terre-Neuve était basé sur le marché dans ces pays. Si le marché était bien, les marchands gagnaient beaucoup d’argent, mais si le marché était mauvais, les marchands vivaient des pêcheurs.
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Les Pêcheurs : Ils étaient dans une position difficile. Ils savaient que les marchands avaient les produits qu’ils avaient besoin pour survivre. Au même temps ils savaient que dans beaucoup des petites communautés il y avait seulement un marchand. Les pêcheurs ne pouvaient pas négocier un meilleur prix pour leur poisson ou les marchandises.
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Quelquefois, à la fin de la saison, les pêcheurs ont trouve qu’ils n’ont pas gagné assez d’argent pour payer leurs dettes. Dans ce cas, la dette a continué à la prochaine saison. Après quelque mauvaises saisons, les pêcheurs ne pouvaient pas repayer leur dettes.
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2.3.9 – Décrire l’importance de la chasse au phoque pour l’économie domestique (p. 58 – 60) La chasse au phoque s'est produite en deux domaines: le Front - qui était près du Labrador le Golfe – qui se trouve dans le golfe du Saint- Laurent Les gens utilisaient la chasse pour gagner de l’argent pour la famille. Le phoque était utilisé pour la nourriture, les vêtements et l’huile.
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2.3.10 – Décrire les connaissances et les habiletés nécessaires pour exercer la chasse au phoque. Chaque année les chasseurs devenaient mieux informé dans le domain de la chasse. Ils ont appris que: Les phoques donnaient naissance en février Les phoques les plus jeunes ont donné la meilleure huile Les phoques les plus jeunes étaient attrapé plus facilement
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Les chasseurs fabriquaient les meilleurs outils pour tuer et pour enlever la peau des phoques. Pour assurer qu’ils reçevaient le meilleur prix pour le phoque, c’était nécessaire de le guarder en bon état.
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2.3.11 – Évaluer les risques liés à la chasse au phoque. Le chasse au phoque était vraiment dangereux. Les hommes quittaient les bateaux dans le matin et ils passaient toute la journée sur la glace. Quelquefois, le temps a changé pendant la journée et les hommes étaient sur la glace dans les grandes tempêtes. La glace bougeait et brisait beaucoup, et il y avait des incidents où les gens ont tombés dans l’eau et ils sont morts.
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2.3.12 – Montrer que certaines occupations (p. ex : la construction de bateaux) tendaient à être exercées dans les principaux centres.
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Emplois# D’emploisCentre UrbainL’intérieurLa Côte Les commerçants et les marchands 767*** Les employés du magasin 1948* Les mécaniciens 2681* Les employés d’usine 1058* Les bûcherons et les mineurs 1923* Les pêcheurs 55 502** Les fermiers 1545* Les prêtres 180*** Les enseignants 601** Les avocats 43* Les médecins 62* Les employés du gouvernement 608**
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2.3.13 – Examiner l’incidence du trappage commercial sur les modes de vie des Labradoriens. Les Labradoriens ont changé d’un group indépendent à un group qui dépendait sur des autres personnes (la Compagnie de la Baie d’Hudson) et des autres forces (le prix de fourrures). Les gens chassaient des animaux pour les raisons commerciales plutôt que pour se nourrir. Les personnes mourraient du faim. Avec le trappage, les hommes quittaient les maisons pour des longues périodes et les femmes faisaient tout le travail chez eux.
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2.3.14 – L’influence de la Compagnie de la Baie d’Hudson et la Mission Moravienne sur les localités du Labrador La Compagnie de la Baie d’Hudson (sud du Labrador) : A eu des effets positifs et negatifs S’est agrandie rapidement et beaucoup des petits trappeurs ont fait faillite Les gens ne vendaient les peaux qu’à la CBH La CBH était aussi grande qu’elle peut changer les prix pour les échanges. Point positif: la compagnie était aussi grande qu’elle pouvait offrir plus des biens et prouduits au gens.
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2.3.14 - (continue) La Mission Moravienne (nord du Labrador) : A eu des effets positifs Offraient des services que les autres marchands ne pourraient pas (l’éducation, les soins de santé) Ont payé les Labradoriens des bons prix pour les biens N’ont pas vendu des mauvais produits comme l’alcool
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2.3.15 – Les principaux partenaires commerciaux de Terre-Neuve et des marchandises échangées Les partenaires d’échange principaux pour les Terre-Neuviens pendant le 19e siècle étaient Portugal, Espagne, et Italie. Ces pays ont reçu les meilleurs poissons parce qu’ils offraient le meilleur prix. Les Caraïbes ont reçu les pires poissons en échange pour le rhum.
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2.3.18 – Tirer des conclusions sur la participation des femmes à l’activité économique Pendant le 19e siècle, les femmes ont joué un rôle important. C’était une économie de subsistence et les femmes séchaient le poisson, s’occupaient des potagers, et fabriquaient des vêtements pour assurer que la vie était un peu plus simple. Elles faisaient aussi les routines quotidiennes qui prennaient beaucoup de temps. Lire l’histoire à la page 62.
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