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A la rencontre des cambodgiens à travers quelques légendes et contes de temples d’Angkor… 2ème partie / 3… Angkor Vat, Angkor Thom et Ta Prohm J’ai fait.

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2 A la rencontre des cambodgiens à travers quelques légendes et contes de temples d’Angkor… 2ème partie / 3… Angkor Vat, Angkor Thom et Ta Prohm J’ai fait un voyage au Cambodge en février 2011 et j’en ai ramené plein d’émotions et d’images… qui illustrent ces 3 diaporamas et vous pourrez ainsi ressentir un peu ce qu’est le Cambodge… Cliquez tout au long du diaporama pour avancer

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15 Racontez nous les légendes et contes d’Angkor

16 Et bien voilà la légende de Kétoméaléa et du temple d'Angkor Vat

17 Autrefois, en 544 de l'ère bouddhique (an 1 de l'ère chrétienne), année du Singe, Néak Vong et Néang Téav, couple d'origine roturière possédant des mérites divins, âgé de trente et un ans, fut ondoyé et monta sur le trône. Le monarque prit le nom de règne de Préah-Bat-Sâmdach- Tévavong-Aschar, c'est-à-dire « Merveilleux-Souverain-de-la-Lignée-Divine». Il s'installa dans le palais royal de Mohanokor, la « Grande-Cité».Le couple royal régna paisiblement sans qu'aucun ennemi n'osât venir le déranger. Les mandarins, les brahmanes ainsi que le peuple vivaient calmement grâce aux mérites merveilleux et à la puissance des souverains.

18 Le roi Tévavong-Aschar n'avait aucun enfant. Il ordonna à la reine d'observer les préceptes bouddhiques afin d'obtenir un fils. Elle accepta et prépara le rituel de demande d'un fils. Au bout de sept jours, la reine rêva qu'Indra, le suprême roi des dieux, descendait du ciel, venait toucher son ventre et lui offrait une guirlande de fleurs. Ensuite, il était retourné à sa résidence céleste. A son réveil, elle apprit à son auguste époux ce rêve. Le grand monarque fit venir un devin pour l'interpréter. Ayant réfléchi, il dit : - La reine va avoir un fils comblé d'une puissance qui vaincra tous les ennemis de toutes les directions.

19 Peu de temps après, la reine fut enceinte. Quand la grossesse fut à terme, elle donna naissance à un fils d'une grande beauté. Le roi, l'excellent père, lui donna le nom de Kétoméaléa, c'est-à-dire « Lumineuse-Guirlande-de-Fleurs », en raison du songe de la reine.

20 Quand Kétoméaléa eut grandi et atteint l'âge de six ans, Indra ordonna au dieu Méatolei de prendre le char divin Pichayon pour aller le chercher et le conduire au Ciel des « Trente- Trois ». Kétoméaléa, en effet, dans l'existence antérieure, avait été le fils d'Indra : celui-ci l'avait envoyé renaître en être humain afin qu'il protégeât la religion bouddhique et qu'il prit soin du royaume dans la gloire, la prospérité et la paix.

21 A la tombée de la nuit, le dieu Méatolei monta sur le char divin Pichayon, descendit du ciel, entra dans le palais et prit avec soin dans ses bras Kétoméaléa. Puis il le déposa dans le char divin Pichayon qui s'envola. Il l'emmena devant Indra au Ciel des « Trente-Trois ».

22 Le matin, le roi Tévavong-Aschar et la reine se réveillèrent et ne virent pas leur fils. Ils furent très affligés, ils firent venir un devin pour faire des calculs magiques. Celui-ci prédit : - En ce qui concerne l'auguste enfant qui a disparu, il suffit que le peuple, les mandarins, les brahmanes de tout le royaume observent les préceptes bouddhiques pendant sept jours ; alors on retrouvera l'auguste enfant dans le palais. Le souverain ordonna donc à toute la population du royaume, pour retrouver son auguste fils, d'observer les préceptes bouddhiques. Le peuple tout entier fit selon l'ordre du roi.

23 Quant à Indra, le suprême souverain, il enseigna à Kétoméaléa les dix devoirs royaux. Il le baigna sept fois par jour pendant sept jours dans un bassin parfumé de son jardin. Ensuite il invita sept brahmanes divinisés à venir réciter des formules magiques et asperger d'eau merveilleuse Kétoméaléa afin qu'il eût une vie de plus de cent ans.

24 Tous ces rituels achevés, Indra ordonna au cocher d'atteler l'auguste char divin, y fit monter Kétoméaléa et survola ses palais pour que celui-ci en appréciât toute la beauté. Quand Kétoméaléa eut regardé en détail les palais d'Indra, le cocher l'emmena visiter encore les écuries célestes.

25 Ensuite, Indra lui demanda : - Est-ce que tu es content de ce que tu viens de voir ? - J'en suis émerveillé, répondit-il. Indra ajouta : - Bien ! Je te confierai le royaume du Cambodge. Pour cela, si un de mes palais que tu viens de voir te plaît et si tu souhaites en faire bâtir un au Cambodge de la même beauté, tu n'as qu'à en formuler le vœu. Je vais t'envoyer un architecte afin qu'il le construise immédiatement dans ton royaume. Le jeune prince, très émerveillé et très impressionné par Indra, réfléchit : - Il ne faut pas que je fasse construire dans mon royaume un palais plus beau ou aussi beau que les palais d'Indra. Cela risque de provoquer le mécontentement de ce dernier. Kétoméaléa, ayant ainsi réfléchi, répondit : - J'aimerais faire bâtir un palais qui ait une beauté comparable à celle de vos écuries. Le souverain des dieux dit en souriant : - La beauté de mes écuries te plaît-elle ?

26 Indra convoqua alors Pisnouka. Celui-ci était le fils de la danseuse céleste nommée Tip-Soda- Chan, « Fille-Divine-de-la-Lune » et du vieux Lim-Séng ; sa mère l'avait emmené au ciel chez un dieu, le grand maître des arts plastiques et de l'architecture. Ce jeune homme s'était efforcé d'apprendre à dessiner, à sculpter, à jouer de la musique auprès de son divin maître. Ayant assimilé toutes les matières enseignées par lui, il savait construire un bateau pouvant se déplacer sur la terre ferme, sculpter sur l'argent et sur l'or, faire fondre tous les métaux et mélanger de l'eau avec de l'argile pour les transformer en pierre... Quand Pisnouka fut arrivé, Indra dit : - Toi, tu es de naissance humaine, tu ne peux pas demeurer éternellement au paradis. Je vais t'envoyer au Cambodge et tu y bâtiras, pour mon fils Kétoméaléa, un palais aussi beau que mes écuries. Quand tu en auras achevé la construction, je descendrai présider la cérémonie du couronnement de mon fils afin qu'il monte sur le trône.

27 Au bout de sept jours, grâce à la puissance des mérites des habitants de tout le royaume qui avaient suivi les préceptes bouddhiques, Indra ordonna à Méatolei d'atteler son char divin et d'emmener Kétoméaléa et Pisnouka en direction du Cambodge. Le roi Tévavong-Aschar et la reine furent très contents de revoir leur fils.

28 Pisnouka commença à construire le palais d'Angkor-Vat. La construction terminée, il peignit chacun des bas-reliefs des différentes couleurs qui leur convenaient afin que la beauté de ce palais fût comparable à celle des écuries d'Indra.

29 Kétoméaléa, très satisfait de ce palais, combla de louanges Pisnouka et lui demanda d'en bâtir beaucoup d'autres, décorés également de superbes bas-reliefs.

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33 Indra, le suprême souverain, accompagné en cortège par de nombreuses divinités, descendit dans le monde inférieur afin de donner l'ondoiement à son auguste fils et de lui conférer le nom de sacre de Arittha-polapéa- hano, c'est-à-dire « Destructeur-puissant-des- ennemis ». Enfin il donna à notre pays khmer le nom de Kampuchea (Cambodge) qui reste encore de nos jours.

34 Racontez nous le « barattage de la mer de lait »

35 Et bien voici… le barattage de la mer de lait (l'amritamanthana) est un des mythes fondamentaux de l'hindouisme.

36 A Angkor Vat la 3e enceinte du Temple est une galerie périphérique rectangulaire de 177 m sur 212 m. Tout le long de ses murs, elle déploie de magnifiques bas-reliefs qui sont sculptés dans le grès sur une hauteur de 2 m et l'ensemble des panneaux représente une surface d'environ 1 km2. L’histoire du barattage y occupe une longueur de 47 m.

37 Au début des temps, les dieux ou deva et les démons ou asura, qui étaient alors tous mortels, étaient en lutte pour la maîtrise du monde. Les deva, affaiblis et vaincus, demandèrent l'assistance de Vishnu qui leur proposa d'unir leurs forces à celles des asura dans le but d'extraire l'amrita, le nectar d'immortalité de Kshirodadhi, la mer de lait. Pour ce faire, ils devaient jeter des herbes magiques dans la mer, renverser le mont Mandara de façon à poser son sommet sur la carapace de la tortue Kurma, deuxième avatar deVishnu, et utiliser le serpent Vasuki, le roi des Naga, pour mettre la montagne en rotation en tirant alternativement.

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39 Après mille ans d'effort, le barattage produisit alors un certain nombre d'objets extraordinaires et d'êtres merveilleux : Kalakuta ou Hala-Hala, un poison violent que Shiva but avant qu'il ne se répande et détruise le monde. Il en conservera une marque bleue à la gorge. Cependant quelques gouttes s'échappèrent et furent léchées par les serpents et les scorpions et sont à l'origine de leur venin ; Surabhi, la vache d'abondance, source perpétuelle de lait et de beurre, qui satisfait tous les besoins ; Varuni, la déesse du vin, roulant des yeux, fille de Varuna; Parijata, l'arbre du paradis parfumant le monde de la fragrance de ses fleurs ; Chandra, la lune dont Shiva para sa chevelure Ucchaisshravas, le cheval blanc, l'ancêtre de tous les chevaux, dont les sept bouches symbolisent les sept couleurs de l'arc-en- ciel ; Airavata, l'éléphant blanc qui devint la monture d'Indra …

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41 … les Apsara ou nymphes célestes…

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47 … Shri Lakshmi, la déesse de la beauté et de la fortune, que Vishnu prendra comme épouse …

48 Kaustubha, la conscience sans défaut, le joyau qui orna ensuite la poitrine de Vishnu, mais aussi de Krishna ; et enfin Dhanvantari, le médecin des deva - souvent considéré comme un avatar mineur deVishnu et futur roi de Kashi - tenant dans ses mains une coupe, kumbha, pleine d'amrita, le nectar d'immortalité. Dès qu'ils virent l'amrita, les asura se précipitèrent et s'emparèrent de la coupe avant que les deva ne puissent intervenir.

49 Vishnu prit alors la forme de Mohini, la femme la plus belle au monde…

50 …et tandis que les asura étaient subjugués, il s'empara de la coupe et la remit aux deva. Rendus maintenant immortels, les deva ne pouvaient plus être vaincus et ils précipitèrent les asura aux enfers.

51 Cependant, au cours de cette dernière lutte, quelques gouttes d'amrita tombèrent en quatre endroits de l'Inde : dans le fleuve Godâvarî à Nasik, dans la Shipra à Ujjain, et dans le Gange à Hardwar et à Prayag. Ces quatre villes, bénies par le nectar devinrent des lieux majeurs de pèlerinage où se tiennent les rassemblements nommés kumbhamel

52 Racontez nous l’histoire d’Angkor Thom (La Grande Citée).

53 Et bien voilà… C’est une cité fortifiée qui couvre quelque 10Km². Elle fut construite par le plus grand souverain d’Angkor, Jayavarman VII.

54 Organisée autour du Baphuon, Angkor Thom est entourée de murailles, hautes de 8 m. Les murailles sont elles mêmes ceinturées par une douve de 100 m de largeur, dont les eaux, selon certaines légendes, auraient été infestées de crocodiles. Cinq portes monumentales donnent accès à la ville. Devant chaque porte, se dressaient les statues gigantesques de 54 dieux (à gauche de la chaussée) et de 54 démons (à droite de la chaussée), thème extrait de la légende du barattage de l’océan de lait, illustré sur le célèbre bas-relief d’Angkor Vat..

55 Chaque porte haute de 20 m, est décorée de trompes d’éléphants en pierre…

56 … et surmontée d’une tour sur laquelle sont encastrés quatre visages du Boddhisattva Avalokitésvara, un être qui, dans la tradition bouddhiste, a renoncé à la divinité afin de porter assistance à l’humanité; chaque visage est tourné vers l’un des points cardinaux.

57 Au cœur de l’enceinte, sont regroupés les principaux monuments de la ville : le Bayon, le Baphuon, le Phimeanakas, la Terrasse aux Eléphants et la Terrasse du Roi Lépreux.

58 Le Bayon construit par Jayavarman VII à la fin du XIIè siècle est composé de 54 gigantesques tours gothiques décorées de plus de 216 visages au sourire d’Avalokitesvara.

59 On dit que le roi Jayavarman VII s’est fait identifier au Boddhisattva Avalokitésvara. Le royaume khmer comptait alors 54 provinces. Les 54 tours aux 54 x 4 visages souriants symboliseraient le contrôle total du roi sur son territoire. On est fasciné par l’énigmatique sourire de tous ces visages. Tous se ressemblent mais tous sont différents.

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63 Le temple forme ainsi un ensemble de couloirs voûtés, de cages d’escaliers escarpées, de portes et fenêtres à travers lesquelles se dressent toujours les « visages » d’ Avalokitésvara …

64 Et la terrasse des Éléphants?

65 D’une longueur de 350 m, elle servait de tribune géante pour les audiences royales et cérémonies publiques. Le roi l’utilisait également comme grande salle d’audience. Imaginez le faste et la grandeur de l’empire Khmer à son apogée, avec le grand déploiement de l’infanterie, la cavalerie, les attelages et les éléphants à la parade sur la place centrale.

66 Cette terrasse compte cinq avancées vers la place centrale. La partie centrale du mur de soutènement est parée de garudas (oiseau fabuleux de la mythologie hindouiste)…

67 … et de lions grandeur nature…

68 …en plus à chaque extrémité, est représentée une parade d’éléphants.

69 Et la terrasse du Roi Lépreux?

70 C’est une plate-forme située juste au nord de la précédente, elle est haute de 7 m. Une statue nue, mais asexuée, occupe le sommet de cette plate-forme. Selon une légende, Angkor aurait été gouverné, à deux reprises, par des souverains qui souffraient de la lèpre, cette statue représenterait l’un d’eux. Si l’on en croit une autre explication, cette statue représenterait Yama, le dieux des morts, car cette terrasse aurait fait office de crématorium royal pour un souverain atteint de la lèpre.

71 Les sculptures sur les murs de soutènement de la terrasse sont très belles. Elles représentent des rois, des princesses, et des « naga ».

72 Ainsi que des apsara assises…

73 Parlez nous de Ta Prohm…

74 Et bien voilà… Connu aujourd’hui sous le nom de Ta Prohm ou « Ancêtre Brahma », le monument portait initialement le nom de « Râjavihâra », à savoir « Monastère royal ».

75 Une fois passée la porte surmonté d'une tour à quatre visages, une longue allée de 350 m tracée dans la forêt conduit à une terrasse cruciforme, longue de 30 m franchissant les douves.

76 En 1186 Jayavarman VII fit consacrer ici plusieurs statues, dont la principale fut Prâjnapâra mitâ, personnifica tion de la « Perfection de la Sagesse », à laquelle le roi identifia sa mère.

77 Le Ta Prohm était un vaste monastère bouddhique qui couvrait 60 h. Il se composait de deux parties : ▪ La première, la plus importante avec une surface de 55 h, permettait, si l'on en croit l'inscription trouvée dans le monument, de loger 12 640 servants. ▪ L'autre partie, avec moins de 5 h, était réservée au Temple proprement dit.

78 Ici les fromagers sont rois. Ils sont partout, impressionnants par leur hauteur et leur ampleur.

79 Les racines de ces arbres immenses envahissent petit à petit la pierre.

80 Le nom de cet arbre, le fromager, remonte à l'Indochine, lorsque la France occupait le Cambodge. On utilisait le bois de cet arbre pour en faire des boites à fromage, d'où le nom de fromager.... Les racines de ces arbres sont vraiment caractéristiques, l'extrémité de celles-ci font penser à des doigts d'aliens.

81 Chaque fois qu'un nouveau roi accédait au trône, le temple du roi précédent était laissé à l'abandon.

82 Quand les rois partirent de la région d'Angkor vers celle de Phnom Penh au XVè sicèle, les temples d'Angkor furent envahis par la végétation et oubliés. Seuls les villageois habitants autour en connaissaient l'existence mais les considéraient souvent comme des endroits où habitaient les esprits maléfiques.

83 Dites nous un poème sur Angkor…

84 Et bien voici le poème « Angkor »…

85 Temple mystérieux, merveille d'autrefois Brillant comme un joyau serti dans la forêt Qui depuis si longtemps étouffé dans les bois Depuis plus de mille ans, commence à respirer Voulant garder pour eux ces superbes merveilles Les fromagers géants, pieuvres tentaculaires Étouffent ces beautés en étreintes mortelles En voulant conserver ces pierres séculaires…

86 D'imposantes allées menant à chaque porte Sont bordées de Bouddhas, comme pour inviter A entrer dans le temple, et que l'on y apporte Le respect, les offrandes,et aussi pour prier

87 L'on est surpris de voir,au fond d'un couloir sombre Se dresser devant nous,telle une apparition La statue d'un Bouddha, lequel sortant de l'ombre Attend de ses fidèles: don et adoration

88 Les danseuses Asparas, sont gardiennes du temple Belles comme des déesses dans leur voile aérien Dont le regard figé dans la pierre, nous contemple

89 Gardant le souvenir de chefs-d'oeuvre anciens Les têtes de Bouddhas,toujours omniprésentes Figures énigmatiques, imposant le respect Elles ont su résister à l'odieuse tourmente Regardant l'avenir et son oeuvre de paix

90 Et quel plus beaux spectacle, quand le soleil couchant Embrase les hautes tours comme un grand incendie Où tout est silencieux dans le jour déclinant Sauf le chant des oiseaux qui rentrent dans leur nid.

91 Les photos ont été faites lors de mon voyage au Cambodge en février 2011 Musique: « Apsara danse » à Phnom Penh Daniel, La Roche-Posay le 13/04/2011 danielvillaperla@gmail.com Ce diaporama « Diaporama littéraire N°78 A la rencontre des cambodgiens partie 2 sur 3, Angkor Vat, Angkor Thom et Ta Prohm» est strictement privé (je n’ai pas de site, donc si vous souhaitez recevoir un de mes précédents diaporamas littéraires envoyez moi un @mail). Tous mes diaporamas sont à usage non commercial.


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