Opérations courantes Guillaume PHILIPPON. Sommaire Mise à jour des QWG Gestion des utilisateurs Ajout/Suppression d’un programme Préparation des « OS.

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1 Opérations courantes Guillaume PHILIPPON

2 Sommaire Mise à jour des QWG Gestion des utilisateurs Ajout/Suppression d’un programme Préparation des « OS errata »

3 Mise à jour des QWG Principes – Copier l’ensemble des fichiers présent dans le svn des QWG dans votre arborescence Précaution – Ne jamais commité tant qu’on n’a pas compris l’impact – Faire régulièrement des mises à jour permet de ne pas avoir de « grand soir »

4 Mise à jour des QWG Se fait directement à partir de SCDB Toujours que les modifications faites sont celles attendus svn co http://svn.lal.in2p3.fr/LCG/QWG/templates/trunk /path/to/qwghttp://svn.lal.in2p3.fr/LCG/QWG/templates/trunk export QWG_DIR=/path/to/QWG export SCDB_DIR=/path/to/scdb export REP_TO_SYNC=standard cd $SCDB_DIR/cfg find $REP_TO_SYNC -type d -not -path '*.svn' –exec../utils/misc/directory-sync {} $QWG_DIR \;

5 Gestion des utilisateurs 1 variable a définir pour activé la gestion des utilisateurs Une liste d’utilisateur variable USER_CONFIG_SITE = 'site/users'; variable USER_LIST = nlist( ‘foo’, nlist(‘uid’,700, ‘group’,’bar’, ‘passwd’,’openssl passwd -1’, );

6 Gestion des utilisateurs Liste des groupes Définition des machines sur lesquels ont crée les comptes variable GROUP_LIST = nlist( ’bar',nlist('gid',805), ); variable DB_MACHINE_GROUPS = nlist( 'box1.example.org', list(’bar'), );

7 Gestion des utilisateurs Possibilité de gérer les clefs SSH des utilisateurs – variable USER_SSH_KEYS Possibilité de créer le compte d’un utilisateur sur une machine – variable DB_MACHINE_USERS Possibilité de définir les comptes par défaut sur plusieurs machines – variable DB_MACHINE_DEFAULT_ENTRIES

8 Ajout suppression de logiciel Quattor ne gère que les RPMs Les QWG fournissent un jeu de commande pour gérer les RPMS – Pkg_add (ajoute un rpm : erreur si il est deja présent) – Pkg_repl (remplace ou ajoute un rpm) – Pkg_ronly (remplace un rpm) – Pkg_del (supprime un rpm)

9 Ajout suppression d’un logiciel Ajout d’un RPM – Privilegier pkg_repl Suppression d’un RPM Quattor ne résoud pas les dépendances – Garantie la cohérence des descriptions et des configurations ‘/software/packages’=pkg_repl(‘foo’,’version’,’arch’); ‘/software/packages’=pkg_del(‘foo’);

10 Ajout suppression de logiciel Ne pas hésiter à créer un template par logiciel – Intégrer les dépendances du logiciel dans le template – Toujours finir par ‘config/os/updates’ qui permet de gérer les « OS errata » – Le mot clef ‘unique’ permet de s’assurer que le template n’est chargé qu’une fois Unique template config/os/foo; ‘/software/packages’=pkg_repl(‘foo’,’1.0-1’,’noarch’); # foo need bar to runs ‘/software/packages’=pkg_repl(‘bar’,’1.0-1’,’noarch’); […] Include { ‘config/os/updates’ };

11 Préparation des « OS errata » L’activation des errata se fait à l’aide d’une variable PKG_DEPLOY_OS_ERRATA 2 variables pour contrôler le déploiement des errata – OS_ERRATA_TEMPLATE : contrôle les versions d’errata par défaut – NODE_OS_ERRATA_TEMPLATE : contrôle les versions d’errata machine par machine (permet un contrôle fin)

12 Exemple OS_ERRATA_TEMPLATE – nlist(‘sl550-x86_64’,’rpms/errata/20110830’); NODE_OS_ERRATA_TEMPLATE – nlist(escape(‘xxx.domain.com’), ‘rpms/errata/20110730’);

13 Préparation des « OS errata » 3 templates à générer pour créer les erratas – Cfg/os/*/config/errata/xxx-init.tpl (principalement pour définir la version de kernel) – Cfg/os/*/rpms/errata/xxx.tpl (contient la liste des packages à mettre à jour) – Cfg/os/*/rpms/errata/xxx-fix.tpl (permet de régler les problèmes)

14 Préparation des « OS errata » Les templates xxx-init.tpl et xxx-fix.tpl sont sensiblement les mêmes d’une version à l’autre. – Une copie de ces fichiers suffit Le template le plus important est cfg/os/*/rpms/errata/xxx.tpl – Généré automatiquement avec la commande utils/misc/rpmErrata.pl /path/to/sl550/rpm/directory > cfg/os/sl550-x86_64/rpms/errata/20111206.tpl

15 Préparation des « OS errata » Précaution – Toujours vérifier que ca se passe correctement sur une machine – Les mise à jour errata ne concerne jamais les configurations Peu de chance de « casser quelques choses » La variable NODE_OS_ERRATA_TEMPLATE permet de contrôler finement le déploiement des erratas

16 Préparation des « OS errata » Problèmes réguliers – Modifications des RPMS Architecture (x86_64 vers noarch) Dépendances (foobar décomposé en foo et bar) Nom (le package foo devient foobar) – rpmErrata.pl n’est pas parfait 4.6 est considéré plus récent que 4_7 – Toutes les situations ne peuvent pas être testé