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Publié parVictoire Marois Modifié depuis plus de 8 années
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Les piliers indispensables au bon déroulement du processus analytique classique sont : le cadre, la libre association, la neutralité de l'analyste et l'interprétation (surtout en ce qui concerne le transfert)
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Le silence du thérapeute peut provoquer une inquiétude chez le sujet qui le renvoie aux contenus latents. Les premières séances d’une analyse sont pauvres en matériel car l’alliance thérapeutique prend du temps à s’établir et à dépasser les défenses du sujet Puisque le sujet est invité à parler, à verbaliser, le dispositif mis en place dans la cure analytique favorise surtout les pensées secondaires.
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Le complexe d’Oedipe est universel.
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Le symptôme, dans l’optique psychanalytique, est considéré comme une création psychique qu’il ne faut pas « attaquer ».
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La situation analytique recrée nécessairement une relation de dépendance à laquelle il convient de répondre par un cheminement vers un terme et un regain de désir d’autonomie pour l’analysant.
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L'universalité du complexe d'oedipe est aujourd'hui remise en question aux vus des transformations des configurations familiales actuelles. La triangulation reste le socle sur lequel se structure le sujet.
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Chez une personnalité de structure perverse, l'emprise sur l'autre a une importance majeure, la satisfaction de la pulsion n'étant que secondaire.
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Chez le sujet pervers, la satisfaction du plaisir prime sur l’emprise qu’il peut avoir sur l’autre.
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Lorsqu’un patient présente un conflit interne, on peut postuler avec certitude d’instances structurées et de l’existence d’un tissu représentatif. L’outil privilégié du thérapeute pour permettre au patient de faire des liens qui lui manquent est l’interprétation
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Selon Freud, une des raisons qui déterminent l’installation de la névrose de transfert est le fait qu’au cours de l’analyse se manifeste la recherche d’une satisfaction de tension interne, encore jamais atteinte mais qui reste active parfois depuis l’enfance
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Selon Freud la frontière entre le normal et le pathologique est si poreuse qu’elle pourrait être franchie jusqu’à cinq fois par jour.
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Une névrose de caractère est notamment marquée par une absence de conflit interne
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La répétition peut être traumatique, dans ce cas elle n’est pas sous tendue par le principe de plaisir mais elle vise à donner une issue favorable au trauma Dans la névrose obsessionnelle, la pensée semble avoir remplacé le sexuel
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Les acouphènes (tinitus) dans la névrose obsessionnelle peuvent être envisagés comme une protection permettant de ne pas entendre certaines choses à l’intérieur de soi. Dans la névrose obsessionnelle, il y a un contre-investissement de la sexualité.
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Il est important d'améliorer l'épreuve de la réalité chez un patient psychotique, ce qui est antinomique avec la régression qui prend place lors de la cure psychanalytique. La perversion est une aberration sexuelle permanente et indispensable à la jouissance sexuelle
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Les rêves ne peuvent être interprétés que sur base des associations libres du patient lui- même au sujet de son rêve.
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Il est important de proposer au patient plusieurs interprétations différentes, de les proposer pas à pas, et de déceler ce qui parle le plus au patient au sein de ces hypothèses.
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La différence entre la psychose et la névrose peut s’établir dans la distance que l’individu prend par rapport à la réalité. Il existe trois grandes psychoses : obsessionnelle, maniacodépressive et perverse.
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Dans la clinique avec les états- limites, on retrouve souvent un transfert vide.
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L’excitation interne débordante peut amener au développement d’un cancer.
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