La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Jean Baptiste Say et la politique d’assistance. “On n’est jamais mieux gouverné que lorsqu’il n’y a pas de gouvernement”. Jean Baptiste Say, Oeuvres morales.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Jean Baptiste Say et la politique d’assistance. “On n’est jamais mieux gouverné que lorsqu’il n’y a pas de gouvernement”. Jean Baptiste Say, Oeuvres morales."— Transcription de la présentation:

1 Jean Baptiste Say et la politique d’assistance

2 “On n’est jamais mieux gouverné que lorsqu’il n’y a pas de gouvernement”. Jean Baptiste Say, Oeuvres morales et politiques

3 Auteur Jean Baptiste Say né à Lyon (1767-1832) Famille de négociants protestants Voyage de formation en Angleterre Fonde la revue Décade pphilosophique, littéraire et politique Son soutien au coup d’État lui permet d’entrer au Tribunat de Bonaparte Il en est écarté en 1804

4 Oeuvre Publiée en 1803, celle qui le fait connaître en tant qu’économiste, réedition seulement en 1826 Celle qui attire sa disgrâce politique par refus du compromis. Un livre qui entend se faire le porte-voix des idées de Smith, même si Say s’en écarte sur plusieurs points

5 Contexte Idée depuis le XVIe siècle que la pauvreté repose sur la responsabilité individuelle A la fin du XVIIIe siècle on observe, un début de politique sociale envers eux. (1795 Spenhamland system et Soupkitchens en Angleterre, hospices, bureaux de charité, sociétés philantropiques) Les penseurs libéraux sont opposés à toute forme d’assistance. Ici Say reprend les arguments de Smith et de Malthus.

6 Problématique En quoi l’instauration de politiques sociales étatiques est-elle mauvaise pour la société?

7 I. Les effets pervers des politiques sociales II. Une assistance parcimonieuse et rationnalisée III. La doctrine libérale: rempart contre la pauvreté

8 I. Les effets pervers des politiques sociales 1. Des pauvres responsables de leur sort 2. Un appauvrissement de la société 3. Une prime à la paresse et à l’imprévoyance

9 1. Des pauvres responsables de leur sort L. 22 “Les sourds muets et les aveugles nés n’ont pas à se reprocher leur malheur” L. 36 : “les hommes s’exposent d’autant plus à être secouru que les secours sont à leur portée” “imprudences” “filles repentantes” Un “judicieux publiciste”, son futur gendre. La défense d’un ordre moral qui nie les logiques sociales.

10 2. Un appauvrissement de la société Des salaires et des profits qui vont diminuant Une pauvreté qui augmente Reprise de l’argumentaire de Malthus

11 3. Une prime à la paresse et à l’imprévoyance l. 37: la douleur du pauvre est salutaire Seul le travail permet d ‘éviter la gêne Chacun doit avoir le droit de trouver les moyens de gagner sa subsistance Coup de semonce contre les poor laws déjà porté par Malthus, Bentham,Ricardo.

12 II. Une assistance parcimonieuse et rationnalisée 1. La charité plutôt que l’assistance 2. Des allocataires triés sur le volet 3. Les dangers d’une gestion étatique systématique

13 1. La charité plutôt que l’assistance “L’humanité ne saurait perdre ses droits” l. 32 Une organisation confiée aux personnes qui ont du loisir et de l’aisance. (émergence des sociétés de philanthropie)

14 2. Des allocataires triés sur le volets Invalides de naissance et de guerre De nature à ne pas proliférer Une dette sociale

15 3. Les dangers d’une gestion étatique Un État qui se sert lui même avant de servir l’intérêt général Un monopole dangereux pour son efficacité

16 III. La doctrine libérale: rempart à la pauvreté 1. Les vertus du travail 2. Les bienfaits de la concurrence 3. La responsabilité individuelle

17 1. Les vertus du travail Promotion d’un droit au travail plutôt qu’un droit à l’assistance. Référence aux Workhouses et aux plus rares ateliers de charité

18 2. Les bienfaits de la concurrence Contre le monopole de l’État sur l’assistance Création d’une “saine émulation” entre divers organismes d’aide.

19 3. La responsabilité individuelle L’État n’a pas à gérer la pauvreté qui relève de la responsabilité individuelle Car chacun doit se prendre en charge

20 Conclusion Avec l’industrialisation et la paupérisation qui en découle, la question de la responsabilité individuelle ne suffit plus à expliquer la pauvreté. Il devient évident que le libéralisme produit de la pauvreté plus qu’il n’en prévient. Le débat sur les politiques d’assistance est au coeur de l’opposition entre la pensée libérale et la pensée socialiste


Télécharger ppt "Jean Baptiste Say et la politique d’assistance. “On n’est jamais mieux gouverné que lorsqu’il n’y a pas de gouvernement”. Jean Baptiste Say, Oeuvres morales."

Présentations similaires


Annonces Google