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Schéma de base de données Présentation. Conception du schéma logique  Transformation du schéma conceptuel en structures de données supportées par les.

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1 Schéma de base de données Présentation

2 Conception du schéma logique  Transformation du schéma conceptuel en structures de données supportées par les SGBDR.  Les structures de données des SGBDR sont les tables.  Étape pouvant être automatisée.

3 Conception du schéma logique  Règle générale :  Tout objet du schéma conceptuel devient une table ou relation.  Cas des entités.  Une entité devient une relation (table) de même nom ayant pour colonnes la liste des attributs de l'entité. L'identifiant devient la colonne clef primaire (primary key) de la table.

4 Conception du schéma logique  Cas des associations ( binaires et n aires)  Rappel : une association est une relation faible entre des entités qui sémantiquement ont besoin d'être en relation mais qui ont besoin d'un médiateur pour cela.  Une association est représentée par une relation ou table de même nom ayant pour colonnes clé primaire les identifiants des entités participantes. Les attributs de l'association, si il y en a, constituent les autres colonnes.

5 Conception du schéma logique  Cas des relations non associatives (binaires)  Rappel : une relation non associative est une relation forte entre deux entités (DF, CIF).  La table issue de l'entité source de DF hérite d'une colonne supplémentaire (clé étrangère) qui correspond à la clef primaire de la table issue de l'autre entité.  clé étrangère (foreign key)

6 Conception du schéma logique  Cas particuliers  Relation forte porteuse d'attributs  Les attributs migrent dans la table issue de l'entité source de dépendance fonctionnelle.  Relation relative  La table issue de l'entité faible hérite d'une colonne supplémentaire participant à la clef primaire correspondant à la clef de la table provenant de l'entité forte.

7 Conception du schéma logique  Cas particuliers (suite)  Relation de spécialisation  Plusieurs solutions  Tous les objets conceptuels deviennent des tables. Si pas d'automatisation de l'héritage alors création de vues pour palier à ce défaut.  Seules les entités dérivées deviennent des tables.  Tous les objets conceptuels sont agrégés en une seule table avec création d'une typologie pour différencier les occurences.

8 Types de relation  Les relations non identifiées  Une relation non identifiée qualifie une relation entre des tables dont la clef primaire correspond à un identifiant qui leur est propre. ● Les relations identifiées ● Une relation identifiée qualifie une relation entre des tables dont l'une a sa clef primaire qui correspond à tout ou partie des clefs primaires des autres tables.

9 Conception du schéma logique

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17  Génération de contraintes d'intégrité Toute association représentée par une table donne naissance à des contraintes référentielles sur les tables participant à l'association. Toute entité participant à une association représentée par une table et dont la cardinalité minimale est 1 donne naissance à une contrainte référentielle additionnelle. Pour toute instance de cette entité il existe au moins une instance de l'association. Une relation forte de type CIF donne naissance à une contrainte référentielle. Une fois établie la valeur de clé étrangère, celle-ci ne peut plus changer.

18 Affinement du schéma logique  Une étape d'affinement du schéma relationnel est parfois nécessaire pour réduire les problèmes soulevés par une mauvaise perception du réel:  Anomalies d'insertion, de mise à jour et de suppression  Perte d'informations  Solutions :  Approche par décomposition  Approche par synthèse

19 Affinement du schéma logique  La normalisation  Les trois premières formes normales ont pour objectif de permettre la décomposition des relations sans perdre d'informations.  Première Forme Normale  Une relation R est en première forme normale si tout attribut contient une valeur atomique et si R possède une clef.

20 Affinement du schéma logique  Deuxième Forme Normale  Une relation R est en deuxième forme normale si et seulement si :  Elle est en première forme normale.  Tout attribut n'appartenant pas à une clef ne dépend pas d'une partie de la clef.

21 Affinement du schéma logique  Troisième Forme Normale  Une relation R est en troisième forme normale si et seulement si :  Elle est en deuxième forme normale.  Tout attribut n'appartenant pas à une clef ne dépend pas d'un autre attribut non clef.  Forme Normale de Boyce-Codd  Une relation est en BCNF si et seulement si les seules dépendances fonctionnelles élémentaires sont celles dans lesquelles une clef entière détermine un attribut.

22 Affinement du schéma logique Axiomes d'Amstrong Réflexivité  Tout ensemble d'attributs détermine lui même ou une partie de lui même. (triviale) Augmentation  Si x -> y alors x,z -> y,z Transitivité  Si x -> y et y -> z alors x -> z

23 Affinement du schéma logique Clé minimale Une clé minimale est un ensemble minimum d'attributs qui détermine tous les autres. Détermination 1.L'ensemble des attributs est une clé. Il faut enlever les attributs en trop pour obtenir la clé minimale. 2.Tous les attributs n'apparaissant dans aucune DF appartiennent à toutes les clés. 3.Les attributs n'apparaissant qu'en partie droite des DF n'appartiennent à aucune clé. 4.Les attributs n'apparaissant qu'en partie gauche des DF appartiennent à toutes les clés minimales. 5. Les attributs qui apparaissent tantôt en partie droite et tantôt en partie gauche peuvent appartenir à certaines clés.

24 Architectures autour des SGBDR Client A Application Services O/R Médiateur Client B Application Services O/R Client C Navigateur Serveurs de bases de données O/R ORBMédiateur Serveur métier Serveur Web Médiateur Services O/R CGI, ISAPI, JAVA

25 Conclusion  Le passage du MCD au MLD ou du modèle statique des classes persistantes au modèle de conception de la base de données relationnelle peut être pris en charge par un logiciel :  AMC Designer, PowerDesigner (Sybase)  Designer 2000 (Oracle)  Rose (Rational Software)  Ces ateliers de génie logiciel proposent le langage UML comme langage de notation

26 Bibliographie (1)« The Unified Modeling Language: Reference Manual» James Rumbaugh (2)« UML for Database Design » Eric J. Nailburg & Robert A. Maksimchuk (3)« Bases de données, Les systèmes et leurs langages » Georges Gardarin (4)« Bases de données Objet &Relationnel » Georges Gardarin (5)« Modélisation dans la conception des systèmes d'information » groupe ACSIOME


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