La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Edouard REVEILLAUD 09/10/2013 Surveillance de la tuberculose bovine dans la faune sauvage en France : dispositif SYLVATUB.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Edouard REVEILLAUD 09/10/2013 Surveillance de la tuberculose bovine dans la faune sauvage en France : dispositif SYLVATUB."— Transcription de la présentation:

1 Edouard REVEILLAUD 09/10/2013 Surveillance de la tuberculose bovine dans la faune sauvage en France : dispositif SYLVATUB

2 1. Historique et contexte de mise en place du dispositif Sylvatub

3 Source : J. Hars

4 ● Infection faune sauvage uniquement dans secteurs où bovins infectés  Contamination faune sauvage est au départ toujours d’origine bovine ● Dans de nombreux cas, il s’est créé de véritables réservoirs de tuberculose dans la faune sauvage qui met du temps à s’installer car la maladie est chronique ● Maladie longue à s’installer dans la faune sauvage mais très difficile voire impossible à éradiquer une fois installée ● Grande variété des situations et spécificités d’espèces ● Problème du blaireau en GB : Prév= 16,6 % en 2007 Notions à retenir de la revue internationale Source : Rapport Anses, 2011

5 ● France : statut « Officiellement indemne » en 2001 ● Découverte d’animaux sauvages infectés dans plusieurs zones d’infection chez les bovins ‒ Forêt de Brotonne (2001) ‒ Côte d’Or et Corse (2003) ‒ Pyrénées-Atlantiques (2005) ‒ Dordogne (2010) Historique et contexte Source : DGAl, J. Hars Foyers bovins

6 Infected wild ungulates between 2001 and 2011 Source : Jean Hars

7 ● Infection faune sauvage uniquement dans secteurs où bovins infectés  Contamination faune sauvage d’origine bovine ● Maladie longue à s’installer dans la faune sauvage mais très difficile à éradiquer une fois installée ● Grande variété des situations et spécificités d’espèces  Surveillance faune sauvage 2001-2011 en France ‒ Découverte fortuite de lésions à l’éviscération ‒ Animaux morts ou mourants (réseau SAGIR) ‒ Surveillance programmée ‒ Recherche dans des zones connues d’infection de cheptels bovins ‒ Difficulté d’harmonisation des protocoles Historique et contexte

8 ● Mis en place fin septembre 2011 ● Objectifs ‒ Détection animaux sauvages infectés ‒ Suivi du niveau d’infection ‒ Liens épidémiologiques faune domestique / faune sauvage ‒ Harmoniser la surveillance ● Fonctionnement ‒ Définition de niveaux de surveillance départementaux ou locaux ▫ Présence de foyers bovins ? ▫ Dynamique de l’infection ? ▫ Présence d’animaux sauvages infectés ? ▫ Proximité géographique ? Dispositif Sylvatub Niveaux de surveillance pour la saison 2013- 2014

9 Evolution des niveaux de surveillance de 2011 à 2013 2011-20122013-2014

10 ● Objectifs ‒ Détection animaux sauvages infectés ‒ Suivi du niveau d’infection ‒ Liens épidémiologiques faune domestique / faune sauvage ‒ Harmoniser la surveillance ● Fonctionnement Dispositif Sylvatub Niveaux de risque pour la saison 2013-2014 Niveaux de surveillance estimés Eléments de l’analyse de risque Niveau 3 Elevé -Prévalence élevée tuberculose bovine -Présence d’animaux sauvages infectés (voire réservoir primaire) Niveau 2 Intermé- diaire -Détection régulière ou augmentation soudaine d’incidence de foyers bovins -Présence d’animaux sauvages infectés -Proximité géographique avec des zones de niveau 3 Niveau 1 Faible- Tous les autres départements

11 ● Fonctionnement ‒ Combinaison de diverses modalités de surveillance selon le niveau de risque estimé Dispositif Sylvatub Modalités de surveillanceNiveau 1Niveau 2Niveau 3 Surveillance évènementielle :  Examen de carcasse  Réseau SAGIR* XXX Surveillance programmée renforcée :  Renforcement du réseau SAGIR*  Cadavres de blaireaux bord de routes XX Surveillance programmée sur blaireaux XX Surveillance programmée sur blaireaux, cerfs et sangliers X *Animaux morts ou moribonds

12 2. Bilan intermédiaire des deux premières années de fonctionnement du dispositif

13 ● Les résultats présentés dans ce diaporama correspondent aux analyses effectuées dans le cadre de la surveillance évènementielle (dep. Niveau 1,2,3) et de la surveillance programmée (dep. niveau 2 et 3) ● Concernant la surveillance programmée sur les sangliers et les cerfs (département de niveau 3), les résultats présentés font référence aux saisons cynégétiques 2011-2012 et 2012-2013 ● Concernant la surveillance sur les blaireaux, les résultats présentés font référence aux années civiles 2012 et 2013 ● Les résultats présentés relatifs aux blaireaux sont PARTIELS pour l’année 2013 du fait d’analyses encore en cours Préambule

14 Les sangliers 1 sanglier infecté 8,1% (IC95% : [4,4 - 11,8]) 0,8% (IC95% : [0,3 - 2,7]) 6,9 % (IC 95% : [1,2 % - 12,2 %]) 2 infected subadultes 302 sangliers analysés 87 sangliers analysés 417 sangliers analysés 200 sangliers analysés 1 sanglier infecté 2 sangliers infectés 1,8 % (IC 95% : [0 % - 4,2 %]) 113 sangliers analysés 2,3% (IC95% : [0,5 - 4,0]) 261 sangliers analysés 210 sangliers analysés 8,5% (IC95% : [4,9 - 12,1]) 434 sangliers analysés 2011-2012 2012-2013

15 Les cervidés (cerfs et chevreuils) 1 cerf infecté 1 chevreuil infecté 212 cerfs analysés 1 chevreuil infecté 3 cerfs infectés 239 cerfs analysés 2011-2012 2012-2013

16 Les blaireaux 1 blaireaux infectés (n=22) 3 infected badgers (n=32) 2,9 % (IC 95% : [1 % - 4,8 %]) 3,8 % (IC 95% : [2,0 % - 5,6 %]) 1 blaireau infecté 754 blaireaux analysés 549 blaireaux analysés 164 blaireaux analysés 10 blaireaux infectés 20 blaireaux infectés 2 blaireaux infectés 9 blaireaux infectés 4 blaireaux infectés 3 blaireaux infectés (n=62) 299 blaireaux analysés 369 blaireaux analysés 264 blaireaux analysés 28 blaireaux analysés 2 blaireaux infectés (n=44) 20122013 (résultats intermédiaires) 74 blaireaux analysés 1 blaireau infecté 64 blaireaux analysés

17 Dordogne – Surveillance programmée 2010-2013

18 Blaireaux infectés : présence de « points noirs » d’infection CommuneNb analyséNb culture+ Nb culture + et/ou PCR+ Taux de prévalence culture+ IC95% Taux de prévalence culture+ et /ou PCR+ IC95% EYVIRAT133023% ST FRONT D'ALEMPS 133123%31% TOTAL266123%[7% - 39%]27%[10% - 44%] BIRAS41025% VALEUIL23114%9% TOTAL27217%[0% - 17%]11%[0% - 23%] BOUTEILLE ST SEBASTIEN 71014% LUSIGNAC61017% ST PAUL DE LIZONNE 8030%38% TOTAL212310%[0% - 23%]24%[6% - 42%] NEGRONDES122017% VAUNAC31033% TOTAL153020%[0% - 40%]20%[0% - 40%] GRAND BRASSAC 162113%[0% - 29%]19%[0% - 38%] Exemple : Dordogne

19 Blaireaux collectés sur le bord des routes Dordogne – surveillance 2010-2013 : En 2012-2013, la prévalence d’infection parmi les blaireaux collectés sur le bord des routes dans la zone infectée nord s’élève à 12,5% IC95% = [1,0% – 24%]. Dans la zone infectée nord du département, la prévalence apparente d’infection parmi les blaireaux collectés sur le bord des routes pendant la période allant de 2010-2011 à 2012-2013 s’élève à 21% IC95% = [8,0% – 34%]. 2010-2011 2011-20122012-2013 ZoneSecteur Blaireau x collectés Blaireau x infectés (culture +) Blaireau x collectés Blaireau x infectés (culture +) Blaireau x collectés Blaireau x infectés (culture +) Infectée Nord3133324 Sud-est0040 Bars- Fanlac 30 Indemne100050

20 ● Aucun cas de tuberculose dans la faune sauvage libre détecté hors des zones d’infection bovine Bovins : réservoir primaire de tuberculose ● 2012-2013 : découverte de blaireaux infectés (64, 40, 08, 16) ● 3 sangliers (dont des jeunes) infectés dans la forêt de Brotonne Persistance d’une source d’infection ● Cerfs et chevreuils infectés en Côte d’Or et en Dordogne Rôle épidémiologique des cervidés ? ● Blaireaux infectés : risque de transmission aux bovins existant surtout dans les zones avec de fortes prévalences Blaireaux Bilan 2011-2013 : principaux faits marquants soulevant des questions

21 Mise en place du dispositif Sylvatub Références : NS N2013-8129 du 29 juillet 2013 NS N2013-8118 du 17 juillet 2013

22 ● Fonctionnement ‒ Combinaison de diverses modalités de surveillance selon le niveau de risque estimé Dispositif Sylvatub Modalités de surveillanceNiveau 1Niveau 2Niveau 3 Surveillance évènementielle :  Examen de carcasse  Réseau SAGIR* XXX Surveillance programmée renforcée :  Renforcement du réseau SAGIR*  Cadavres de blaireaux bord de routes XX Surveillance programmée sur blaireaux XX Surveillance programmée sur blaireaux, cerfs et sangliers X *Animaux morts ou moribonds

23 Dispositif Sylvatub Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3 Niveaux de surveillance pour la saison 2013-2014

24 DDecPP FDC Référents Sylvatub Chasseurs FDC Référents Sylvatub Chasseurs GDS GTV Lieutenants de louveterie, … GDS GTV Lieutenants de louveterie, … Communica- tion Collecte Diagnostic Centralisation et archivage Analyse et traitement des données Laboratoire de proximité Laboratoire agréé tuberculose Laboratoire national de référence Référents Sylvatub Animaux trouvés morts ou mourants Animaux abattus à la chasse ou piégés et faisant partie d’un plan d’échantillonnage Chasseurs, agents de l’ONCFS, lieutenants de louveterie, piégeurs agréés, équipages de vénerie sous terre Anses DGAl Anses DGAl Anses DGAl ONCFS Anses DGAl ONCFS Animaux abattus à la chasse et présentant des lésions Logigramme simplifié du dispositif Sylvatub

25 P ARTENAIRES DU DISPOSITIF SYLVATUB FNC et ONCFS DGAl Anses Adilva DDecPP FDC (ONCFS) LDA -Organise les réunions de calage -Informe les FDC, référents si résultat positif et intervient sur les foyers -Informe les chasseurs du dispositif -Collecte les cadavres et/ou organes -Informe la FNC et l’animateur des interventions (registre) -Informe les chasseurs des résultats -Copilotage du dispositif -Informe FDC du dispositif -Paie FDC -Pilote du dispositif -Finance le dispositif -Instruit les DDecPP -Copilotage du dispositif -Animation du dispositif -Confirmation des résultats (LNR Maisons Alfort) -Bilan de la surveillance -Copilotage du dispositif -Paie laboratoires + GDS et GTV dans copilotage -Vérifie les prélèvements -Analyses bactériologiques des prélèvements -Informe la DDecPP, FDC, référents des résultats négatifs -Informe l’animateur national et la trésorière de l’Adilva des interventions réalisées et des résultats Conventions financières

26 P ARTENAIRES DU DISPOSITIF SYLVATUB ● DGAl / DDecPP ● Anses ● ONCFS ● FNC ● Adilva ● GDS France ● SNGTV Animateur national Edouard REVEILLAUD : 01 49 77 46 87 sylvatub@anses.fr Missions :  Aide à la mise en place technique et organisationnelle des dispositifs de surveillance  Réponse aux questions techniques sur la mise en place des dispositifs  Destinataire des fiches de commémoratifs, registres SAGIR et fiche d’examen initial de la venaison, fiches nécropsiques et comptes-rendus d’analyse  Restitution des résultats en collaboration avec les partenaires du réseau

27 ● Contexte ? ‒ Examen initial de la venaison : obligatoire dans le cadre du Paquet Hygiène lorsque la carcasse est remise au consommateur final ou consommée au cours d’un repas de chasse ou associatif ‒ MAIS examen de carcasse recommandé pour toutes les carcasses, quel que soit leur destination  Objectif général : différentier « l’anormal du normal » sur une venaison ● Qui ? ‒ Chasseurs formés à l’examen initial de la venaison (à défaut, un autre chasseur) ● Comment ? ‒ Plaquette technique -> diffusion à tous les chasseurs ‒ Mise en place d’une procédure à suivre en cas de découvertes de lésions évocatrices de tuberculose = ABCES 1 - Examen de carcasse (cerf, sanglier, chevreuil)

28 En cas de découverte de lésions suspectes lors de l’éviscération du grand gibier : ● Chasseur examinateur Contacte le/les référents FDC (à désigner) et convient d’un RDV pour la collecte de la carcasse ou des viscères suspectes Remplit la fiche d’examen initial de la venaison (fiche d’accompagnement du gibier) ∆ penser à l’identification de l’animal ∆ manipulation des carcasses : respecter les règles d’hygiène de base : port de gants 28 1 - Examen de carcasse (cerf, sanglier, chevreuil)

29 ● Référents Sylvatub ‒ Vérifie la suspicion, complète la fiche de commémoratifs avec la mention « SYLVATUB» (nécessaire à l’indemnisation) ‒ Organise la prise en charge de la carcasse ou des viscères dans un sac plastique, accompagnées de la fiche de commémoratifs jusqu’au laboratoire le plus proche sous 48h après l’abattage Possibilité de congélation si délai de transport >24h et température >8°C ‒ Si transport impossible : réalisation des prélèvements (bloc pulmonaire, tête, bloc digestif), acheminement au laboratoire: ▫ Support d’information théorique (demander à sylvatub@anses.fr)sylvatub@anses.fr ▫ Session de « formation » au LDA (déploiement en 2014) Tient à jour un registre des opérations effectuées et le transmet à la FNC (efaure@chasseurdefrance.com) et à l’animateur national (sylvatub@anses.fr) tous les deux mois environ 1 - Examen de carcasse (cerf, sanglier, chevreuil)

30 Examen de carcasse Chasseur référentCadavre ou lésion Chasseur « formé » Laboratoire d'analyse Culture = 3 mois 48 h max 24h si >8°C Commémoratifs Fédération départementale des chasseurs Résultat négatif Résultat positif Résultat Missions de chaque acteurs présentées sur les « fiches missions » diffusées par la FNC Support d’information à la reconnaissance de lésions tuberculeuses

31 ● Laboratoire Départemental d’Analyses (LDA) Vérifie si la fiche de commémoratifs est correctement renseignée : identité du préleveur, date, espèce, localisation… Si non agréé pour la culture/PCR : effectue les prélèvements sur la carcasse, pour envoi au laboratoire agréé le plus proche Si agréé pour la culture/PCR : effectue des analyses bactériologiques (culture et PCR si lésions) sur toute lésion suspecte + ganglions drainant l’organe lésé et sur un pool de ganglions standards. Renseigne un registre des opérations effectuées et le transmet à l’animateur tous les trois mois Peut être sollicité pour organiser des formations à la réalisation des prélèvements ● Laboratoire Agréé « Bactériologie tuberculose » Si R+  transmet le matériel biologique (ADN ou souche) au LNR (Maisons- Alfort) pour confirmation et typage  informe la DD(CS)PP et l’animateur national Si R-  transmet la fiche de commémoratifs renseignée à l’animateur du réseau, au référent, à la FDC et à la DD(CS)PP Délai d’obtention du résultat ~ 3 mois 1 - Examen de carcasse (cerf, sanglier, chevreuil)

32 AutopsiePrélèvementsAnalyses Cervidés organes collectés toutes lésions évocatrices de tuberculose (et des nœuds lymphatiques drainants les organes lésés Nœuds lymphatiques rétropharyngiens + pulmonaires (médiastinaux et trachéobronchiques ) PCR sur pool de lésions Cultures sur pool de lésions et NL drainant les organes lésionnels sangliers Nœuds lymphatiques rétropharyngiens PCR sur pool de lésions Culture sur pool de NL rétropharyngiens (+ sur lésions) Surveillance programmée sur le grand gibier Rôle du laboratoire départemental d’analyses :

33 Communication www.plateforme-esa.fr Onglet « dispositifs de surveillance » -> Faune sauvage -> Sylvatub « Boite à outils »

34 Lésions tuberculeuses observés dans la faune sauvage en France

35 Lésions sur les cerfs Nodules sur la plèvre pariétale et nœuds lymphatiques mésentériques hypertrophiés du cerf infecté de 2010

36 Lésions sur les chevreuils (a) (b) Figure 27: L é sions sur le chevreuil infect é de 2011 : pulmonaires (a) ; pulmonaires et pleurales (b) (Photos : LDAR 24) Figure 28: Coupe dans un tubercule pulmonaire avec foyers de ramollissement du chevreuil infect é de 2012

37 Lésions sur les chevreuils Coupe dans un n œ ud lymphatique trach é o-brochique avec foyers de ramollissement du chevreuil infect é de 2012 (Photos : LDAR 24) tubercules pulmonaires des chevreuils infect é s de 2012 et 2013 (Photos : E. R é veillaud, LDAR 24)

38 Dordogne – Surveillance 2010-2013 : Parmi les sangliers infectés ou possiblement infectés, 79% ± 13% présentaient des lésions évocatrices de tuberculose. Les nœuds lymphatiques rétropharyngiens sont les nœuds lymphatiques présentant le plus souvent de lésions (83% ± 13% des sangliers infectés ou possiblement infectés) avec des lésions majoritairement de type caséo- calcaire. Certains sangliers présentaient des abcès purulents au niveau des nœuds lymphatiques rétropharyngiens. 2010-20112011-20122012-2013 Localisation des lésions Nombre de sangliersTOTAL NL RP / TB / MED + poumons 1113 NL RP / MES1113 NL RP / TB123 NL RP58316 NL TB11 Poumons11 Localisation indéterminée 123 Absence de lésion 4128 Lésions sur les sangliers

39 (a) (b) Lésions sur des nœuds lymphatiques rétropharyngiens de sangliers analysés au cours de la campagne 2010-2011 : lésion caséo-calcaire (a) et lésions abcédée et caséo-calcaire (b) (Photos : LDAR 24) Lésions caséo-calcaires sur un nœud lymphatique rétropharyngien ; tubercules pulmonaires

40 Lésions sur les blaireaux Dordogne –Surveillance 2010-2013 : Parmi les blaireaux infectés ou possiblement infectés, 72% ± 15% présentaient des lésions évocatrices de tuberculose. L’appareil respiratoire (poumons, nœuds lymphatiques médiastinaux ou trachéo-bronchiques) est le plus souvent lésé, puisqu’il représente 81% ± 17% des sites lésionnels, avec des lésions souvent caséo-calcaires mais parfois évolutives purulentes. Sept blaireaux examinés (n=36) présentaient un tableau lésionnel généralisé avec de nombreux tubercules pulmonaires purulents et des lésions ouvertes sur les nœuds lymphatiques trachéobronchiques, rétropharyngiens et mésentériques.

41 Merci pour votre attention


Télécharger ppt "Edouard REVEILLAUD 09/10/2013 Surveillance de la tuberculose bovine dans la faune sauvage en France : dispositif SYLVATUB."

Présentations similaires


Annonces Google