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1 Colloque « Evaluation » - Session « pollutions / chimie » - Onema – 21 avril 2011 C. Halkett Agence de l’eau Artois-Picardie Substances dans les eaux.

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1 1 Colloque « Evaluation » - Session « pollutions / chimie » - Onema – 21 avril 2011 C. Halkett Agence de l’eau Artois-Picardie Substances dans les eaux de surface du bassin Artois-Picardie et diagnostics sur l’état des eaux

2 2 Introduction 1- Etat des eaux de surface du bassin Artois-Picardie 2- Les difficultés rencontrées pour diagnostiquer l’état des masses d’eau Conclusion Plan de l’intervention

3 3 matière organique eutrophisation micropolluants I (métaux, PCB, HAP) micropolluants II (pesticides, autres µpolluants organiques) grille 1971 SEQ Système d’Évaluation de la Qualité DCE Etat chimique et état écologique nombre de paramètres pour déterminer la qualité Substances émergentes Années 70Années 90 Années 2000 2008 Introduction La manière d’appréhender la qualité de l’eau évolue continuellement… (Source : T. Pelte, AERM&C)

4 4 Annuaire micropolluants :  Règles du Guide Technique (mars 2009)  Résultats par station et par substance  Données 2007 – Support EAU Etat des eaux du bassin AP Annuaire micropolluants

5 5 A Prop ’Eau 2011, Villeneuve d’Ascq, 3 février 2011 Etat chimique 14 % de masse d’eau en bon état chimique Etat chimique Hydrocarbures Aromatiques Polycyliques (HAP) :  A l’origine de 28% des déclassements à eux seuls  Origine diffuse et atmosphérique

6 6 A Prop ’Eau 2011, Villeneuve d’Ascq, 3 février 2011 Etat chimique 48 % de masse d’eau en bon état chimique (hors HAP) PBDE Nonylphénols Cd?, Hg?, Pb? Diuron Lindane Isoproturon Etat chimique Hors HAP

7 7 Nom de la substance NQE-MA (µg/L) Polluants spécifiques non synthétiques Arsenic dissousFond géochimique + 4,2 Chrome dissousFond géochimique + 3,4 Cuivre dissousFond géochimique + 1,4 Zinc dissous Dureté > 24 mg CaCO 3 /L : Fond géochimique + 7,8 Etat écologique Polluants spécifiques non synthétiques

8 8 Suivi des substances DCE = Approche réglementaire basé sur un nombre limité de molécules, et visant à évaluer avant tout un niveau de contamination Des stations réputées ou supposées « polluées » apparaissent en bon état chimique et écologique : - Problème lié au support analytique - Difficultés liées aux prélèvements et aux analyses - Non prise en compte de toutes les substances pouvant être présentes dans le milieu ni de leurs interactions Annuaire de la qualité des micropolluants 2007 du bassin Artois-Picardie Les difficultés à surmonter http://www.eau-artois-picardie.fr/Les-micropolluants-dans-les-eaux.html

9 9 Problème lié au support analytique Suivi des substances hydrophobes non pertinent sur le support eau  Métaux, HAP, PBDE, …  Support sédiment  Nécessité de disposer de NQE

10 10 Problème lié au support analytique Suivi des substances hydrophobes non pertinent sur le support eau  Métaux, HAP, PBDE, …  Support sédiment  Support biote  Bryophyte, poisson, … Méthylmercure : 20 μg/kg de poids frais 100% de dépassement pour l’anguille en Artois-Picardie Plus de 95 % de dépassements pour les autres espèces (gardon, perche, chabot…) en Artois-Picardie En supposant que l’essentiel de Hg est sous forme MeHg  Pertinent, raisonnable, discriminant pour les aspects environnementaux ?  Nécessité de disposer de NQE  Nécessité de protocoles de prélèvement

11 11 Suivi des substances hydrophobes non pertinent sur le support eau Nouvelles technologies :  Echantillonneurs passifs : SBSE, SPMD, LDPE (organiques hydrophobes), POCIS (hydrophiles), DGT (métaux),…  Modélisation : BLM, … Problème lié au support analytique  Obligation de rapporter les résultats des échantillonneurs passifs à des concentrations dans l’eau  Besoin de données pour alimenter les modèles (rapport coûts/bénéfice à évaluer)  Besoin d’organiser la surveillance

12 12 Prélèvements :  Ils doivent être le plus représentatif possible  Ils sont à l’image de l’eau à un instant donné Difficultés liées aux prélèvements et aux analyses  Prescriptions techniques sur les prélèvements à retranscrire dans les cahiers des charges des marchés  Suivi du prestataire (Source : IPL)

13 13 Analyses :  Absence de méthodes d’analyse pour certains composés (chloroalcanes)  Nécessité de disposer de méthodes d’analyse performantes  Exemple du TBT : la concentration à mesurer est passée de 0,020 μg/L à 0,0002 μg/L (valeur de la NQE) sachant qu’il est demandé que la limite de quantification (LQ) soit à 30% de la NQE donc 0,00006 μg/L !!  14 substances où LQ > 30% NQE Difficultés liées aux prélèvements et aux analyses  Pour certains composés, les techniques mises en œuvre ne permettent pas de conclure sur le bon état ou non du milieu  « Effets laboratoires »

14 14 Approche chimique  Substances non prises en compte dans l’évaluation de l’état des eaux  Exemple : PCB  Substances émergentes hormones perturbateurs endocriniens nouveaux pesticidescomposés pharmaceutiquesproduits de beauté  Il s’agit notamment de substances chimiques type : hormones, perturbateurs endocriniens, nouveaux pesticides, composés pharmaceutiques, produits de beauté,… Non prise en compte de toutes les substances ni de leurs interactions

15 15 Recherche de résidus médicamenteux dans les cours d’eau du bassin Artois-Picardie  Une campagne exploratoire en juin 2010,  38 sites étudiés  54 substances analysées à usages humain et/ou vétérinaire

16 16  8 substances quantifiées sur un total de 20 stations,  Concentrations observées entre 0.02 et 7.6 µg/l selon les composé,  Des résultats comparables aux autres bassins  Résultats en étroite corrélation avec la densité urbaine Recherche de résidus médicamenteux dans les cours d’eau du bassin Artois-Picardie Nom de la substance Concentrations observées (µg/L) Litterature (µg/L) ACIDE FENOFIBRIQUE1,45 - 1,45- ATENOLOL0,1 - 0,5 0,02 - 0,56 (Bagnati et al., 2006 ; Dinsdale et al., 2008) CARBAMAZEPINE0,05 - 20,03 - 2 (Ferrari et Garric, 2005) DICLOFENAC0,02 - 0,20,001 - 1,2 (Ferrari et Garric, 2005) ERYTHROMYCINE0,09 - 0,25 0,03-3,7 (Bagnati et al., 2006 ; Levi et Renaudeau, 2006) METFORMINE2,08 - 7,6- PROPRANOLOL0,02 - 0,140,01 - 0,6 (Ferrari et Garric, 2005) SULFAMETHOXAZOLE0,02 - 0,2 0,03 - 1,9 (Ferrari et Garric, 2005 ; Algros et Jourdain, 2005)

17 17 Approche chimique Non prise en compte de toutes les substances ni de leurs interactions  Etat de traces dans les cours d’eau (ng/L)  Effets à long terme d’un cocktail de substances présentes en faibles concentrations ?  Nécessité d’utiliser des indicateurs biologiques spécifiques afin d’identifier la nature de la contamination et d’orienter les analyses chimiques à réaliser

18 18 Conclusion Première évaluation DCE de l’état des masses d’eau :  Un diagnostic à prendre avec précaution  Des analyses complémentaires sont nécessaires  Croiser ces informations au regard des données pression (RSDE1, RSDE2, STEU, …) et en cas d’anomalie :  Identifier les pressions  Mettre en œuvre des contrôles d’enquête En perspective :  Nécessité de rendre les diagnostics plus fiables :  Suivi des supports sédiment et biote  Suivi des effets (biomarqueurs, …) et des impacts  Organiser la surveillance de manière efficiente Réflexions engagées dans le cadre du Plan National Micropolluants

19 19 Merci de votre attention !


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