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« Des plans pour l’avenir ? » Des éléments sur le processus d’élaboration des projets des étudiants inscrits depuis 3 ans dans l’établissement - Premières.

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1 « Des plans pour l’avenir ? » Des éléments sur le processus d’élaboration des projets des étudiants inscrits depuis 3 ans dans l’établissement - Premières analyses Une étude 2011 de l’OVE de Tours Observatoire de la Vie Etudiante 1

2 Sommaire de la présentation 1.Méthodologie et caractérisation des répondants à l’enquête 1.Rappel des objectifs 2.Méthodologie -Données d’appui de l’analyse, taux de participation, redressement 3.Caractéristiques des étudiants utiles pour l’analyse -Socio-économiques, parcours pédagogiques, situation à la date de l’enquête 2.Perspectives d’avenir : l’évolution des projets étudiants 1.Evolution du projet d’avenir depuis l’entrée dans l’établissement 2.Existence ou non d’un projet professionnel 3.Des pistes concrètes d’emploi 4.Le lien avec les disciplines étudiées à l’université 5.Nécessité d’une nouvelle formation ? 3.Une évaluation des apports de la formation dans la définition du projet 1.Les apports de la formation aux pistes de réflexion des étudiants (formation/emplois possibles) 2.L’importance de la formation par rapport aux pistes de réflexion est proportionnelle à l’évolution du projet 3.D’autres facteurs d’explications : type de filière, discussions particulières, moments difficiles… 4.Les actions menées par le SUIO 5.L’importance des conférences métiers, SIP, Ateliers CV-Lettres : des critères distinctifs surprenants ? 4.Les poursuites d’études en 2011 – 2012 5.Repérer des publics particuliers : l’exemple des « 3 ème année de licence non réinscrits en 2011-2012 » « Des plans pour l’avenir ? » - Sommaire de la présentation 2

3 3 1.Méthodologie et caractérisation des étudiants

4 Objectif principal du suivi de la cohorte des Rabelaisiens 2008 : –à l’heure de la diversification des publics étudiants, –tenter de mieux les connaître afin d’aider les équipes pédagogiques et administratives à produire des réponses adaptées. Méthodologie - Depuis juillet 2008, suivi annuel par questionnaires et enquêtes : –de l’ensemble des étudiants entrants en 1 ère année en 2008-2009 –au fil de leur parcours d’études : passant en année supérieure, redoublant, quittant l’université… Présentation aujourd’hui des résultats de l’enquête « Des plans pour l’avenir ?», diffusée aux Rabelaisiens en avril-mai 2011 –majoritairement inscrits en 3 ème année d’université en 2010-2011 –également inscrits en 2 ème ou 1 ère année pour ceux qui ont redoublés ou se sont réorientés –Enquête diffusée en ligne –Campagne de communication par affichage, relance par mail des étudiants et des enseignants –Soutien au taux de réponse par un concours pour faire gagner des netbooks –Résultats présentés statistiquement « très significatifs » (en majorité) « Des plans pour l’avenir ? » - Rappel des objectifs 4

5  Les données d’appui pour l’analyse 1.Les différents thèmes traités par le questionnaire diffusé en avril 2011 o Situations à la date de l’enquête o Perspectives d’avenir o Voyages au cours de l’année 2010-2011 o Place de la formation dans les plans d’avenir o Travail salarié en marge des études o Les rencontres et discussions importantes pour les pistes de réflexion o Des moments difficiles dans les dernières années o Prévision d’une mobilité pour l’année 2011-2012 o Conditions de vie 2.Les données socio-administratives de la base APOGEE 3.Les résultats aux examens - Session 2011 4.La réinscription ou non à l’université en 2011-2012 5.Les données de l’enquête diffusée en juillet 2008 « Projet à l’entrée de l’établissement « Des plans pour l’avenir ? » - Les données d’appui 5

6 « Des plans pour l’avenir ? » - Taux de participation 6 1059 répondants : 21% de réponse parmi l’ensemble des Rabelaisiens 2008 Taux de réponse par année d’études : –784 / 3370 en 3 ème année : 23,3 % de réponse –229 / 1243 en 2 ème année : 18,4% de réponse –46 / 316 en 1 ère année : 14,6% de réponse Taux de réponse par composante :

7 « Des plans pour l’avenir ? » - Redressement des données 7 L’UFR ou Composante L’obtention ou non d’une mention au bac Le genre  En raison d’un très faible taux de réponse des stagiaires de formation continue, les analyses présentées ne portent que sur les étudiants inscrits en formation initiale Caractéristiques de l’échantillon différentes de celles de la population étudiante concernée  REDRESSEMENT de l’échantillon sur 3 critères

8 8 Caractéristiques socio-économiques La PCS du chef de famille Les dépenses mensuelles « logement » (uniquement pour un logement principal hors domicile familial) Les dépenses mensuelles « alimentation » (uniquement pour un logement principal hors domicile familial) « Des plans pour l’avenir ? » - Caractéristiques liées à l’analyse Le statut de boursier  La moitié travaille moins de 8 heures par semaine L’activité salariée en marge des études

9 « Des plans pour l’avenir ? » - Caractéristiques liées à l’analyse 9 Le type de formation suivie en 2010-2011 Sont-ils réinscrits en 2011-2012 ? Résultats aux examens Session Juin 2011 L’année d’études en 2010-2011 Caractéristiques « parcours pédagogiques »  28,4% ont redoublé au moins une fois depuis 2008 Projet de poursuite d’études l’année suivante (au moment de l’enquête)  7,4% ne se prononcent pas

10 « Des plans pour l’avenir ? » - Situation à la date de l’enquête 10 Situations des étudiants à la date de l’enquête Quelques informations sur les 9% d’étudiants qui poursuivent leurs études dans un autre établissement au moment de l’enquête -41% sont à l’étranger au moment de l’enquête (dont parcours Erasmus) -81% déclarent avoir passé des moments difficiles sur le plan financier au cours de l’année -59 % déclarent qu’ils ne poursuivront pas à Tours l‘an prochain -3% seulement souhaitent intégrer le marché du travail en 2011-2012 -et 28% d’entre eux sont effectivement réinscrits à l’université de Tours en 2011-2012. Concernant les étudiants qui ont interrompu leurs études -la majorité d’entre eux est en recherche d’emploi, en emploi ou en création d’activité.

11 11 2.Perspectives d’avenir : l’évolution des projets étudiants

12 « Des plans pour l’avenir ? » - Perspectives d’avenir 12 Des liens très significatifs pour comprendre l’évolution du projet d’avenir Le type de formation suivie en 2011-2012 -licence disciplinaire / licence professionnelle, le projet d’avenir a plus souvent « tout à fait évolué » (35,8%) -filières ingénieurs, le projet d’avenir a plus souvent « plus ou moins évolué » (51%) -filière de santé, plus souvent leur projet n’a pas du tout évolué (12,5%) Etre en échec sur le plan de la formation : progression ou non du projet initial -quand ils ont redoublé au moins une fois depuis 2008, 58% déclarent que leur projet a « tout à fait évolué » -Quand ils sont en échec en 2011 et qu’ils avaient déjà redoublé préalablement, 29% d’étudiants « n’ont pas vraiment » vu leur projet évoluer Exercer une activité salariée en marge de ses études : l’impact d’une expérience professionnelle dans un secteur « proche » -quand ils occupent en 2011 un job « plus ou moins » en lien avec les disciplines étudiées à l’université, 58% ont vu leur projet « plus ou moins » évoluer Aucun lien observé avec la catégorie sociale d’origine (du chef de famille)ou le genre  Depuis votre entrée à l’université, avez- vous vu évoluer votre projet d’avenir ?

13 13  Pour aller plus loin, considérant votre projet professionnel, diriez-vous … ? « Des plans pour l’avenir ? » - Un projet professionnel o L’absence d’idée sur le projet professionnel (12,5% en moyenne) est plus fréquente chez les étudiants : o de licence disciplinaire (17%) o des secteurs disciplinaires Sciences éco. (42%), Lettres (30%), AES (24%) Sciences juridiques (20% o Qui n’ont pas eu de mention au bac (17,5%) o Qui sont en échec aux examens de juin 2011 en ayant déjà redoublé au moins 1 fois depuis 2008 (30%) o Qui se posent encore la question d’une réorientation o vers une licence pro. (30%), o vers une autre licence (28%), o ou d’ une intégration du marché du travail (21%) o Qui, concernant l’existence de discussions importantes pour leur projet o N’en ont pas eu avec « des enseignants de l’université » (17%), o Ou au contraire en ont eu avec « des amis de la famille » (16%) o Et qui semblent avoir des conditions de vie assez précaires o pas de domicile stabilisé (34%) o dépenses mensuelles alimentation / logement les plus faibles (respect. 90€ pour 108 moy., 187 € pour 230 moy.)

14 14 « Des plans pour l’avenir ? » - Un projet professionnel  Définition d’un projet professionnel (suite) o En revanche, l’absence de projet professionnel est plus rare chez les étudiants o de l’IUT de Tours (4,9%), de l’EPU (2,4%), et de l’IUT de Blois (5,9%) et de Médecine (7,3%) o qui ont eu des discussions particulières pour leur choix de formation o avec des enseignants de l’université de Tours (9,4%) o ou avec des enseignants d’autres établissements (8,6%) o Enfin, le projet professionnel est plus fréquemment précisément « défini » quand les étudiants : o déclarent avoir eu des discussions particulières importantes pour leurs réflexions : o tout au long de leur parcours d’études, depuis le lycée (44% contre 33% en moyenne) o avec des professionnels du secteur dans lequel ils aimeraient travailler (41%) o avec des enseignants d’autres établissements (41%) o avec des enseignants de l’université (35%) o ont l’habitude d’avoir une activité salariée o de 2 mois chaque été (37%) o Le projet est plus fréquemment « à préciser » quand les étudiants travaillent 1 mois chaque été (55%) o considèrent que l’expérience des jobs d’été o a été l’occasion d’acquérir des compétences professionnelles différentes et complémentaires de celles développées dans le cadre de la formation universitaire (41%) o Enfin, dans une toute autre perspective, le projet est également plus souvent « défini » quand les étudiants ne souhaitent pas poursuivre d’études : o Soit ils prévoient une intégration du marché du travail en 2011-2012 (45%) o Soit ils ont d’ores et déjà interrompu leur formation en 2010-2011 au profit d’une activité salariée (60%)

15 15  Aujourd’hui, avez-vous des pistes concrètes pour un (ou des) emploi(s) que vous aimeriez occuper ? Question posée uniquement aux étudiants ayant déclaré avoir « un projet professionnel précis » ou « plusieurs idées à préciser »  plus de 6 étudiants sur 10 déclarent avoir « une piste concrète » ou « des pistes d’emploi » o Une majorité de ces étudiants (83%) a prévu de « tester » ces pistes d’emploi : o 57% dans le cadre d’un stage (cette année 2010 – 2011, ou l‘année prochaine) o 15% dans le cadre d’une activité salariée (actuelle, recherchée, ou d’été) o 2% dans le cadre d’une activité associative ou bénévole o 8% dans un autre cadre. o Des différences selon les composantes o Plus nombreux à déclarer « une piste concrète d'emploi » : o en Lettres Langues (40% contre 24% en moyenne), en Médecine (32%), en ASH (27%) o Plus nombreux à déclarer « plusieurs pistes d'emploi » : o en Sciences et Techniques (41% contre 38% en moyenne), et en Médecine (41%) o Plus nombreux à ne déclarer « aucune piste concrète d'emploi » (attention, tout en ayant un projet professionnel) : o à l’IUT de Tours (47,6% contre 38% en moyenne), l’EPU (47%), l’IUT de Blois (41%) o Enfin, des différences selon le niveau d’études visé à l’entrée en 1 ère année à l’université de Tours en 2008 o « Une piste concrète d’emploi » plus fréquente au printemps 2011 quand visaient un « bac+3 » en 2008 (27%) o « Plusieurs pistes d’emploi » plus fréquente quand visaient « bac+5 » ou « au-delà » (resp. 40 et 42% contre 37% moy.) o « Pas de piste concrète d’emploi » très surreprésentée quand ne « savaient pas quel niveau viser » en 2008 (53%) « Des plans pour l’avenir ? » - Pistes concrètes d’emploi

16 16 « Des plans pour l’avenir ? » - Pistes concrètes d’emploi  L’activité salariée en marge des études (jobs) semble avoir une influence diversifiée sur les pistes concrètes d’emploi selon la proximité entre emploi et études o Quand les étudiants ont une activité salariée la plupart du temps « en lien avec les disciplines étudiées à l’université », ils déclarent plus souvent « une piste concrète d’emploi » : o 48% pour des jobs en 2008-2009 (contre 24% en moyenne) o 36 % pour des jobs occupés en 2009-2010 o Quand les compétences acquises dans les jobs sont « différentes et complémentaires de celles acquises dans la formation », les réponses « une » ou « plusieurs pistes d’emploi » sont plus fréquente s : o 77% pour des jobs occupés en 2010-2011 (contre 62% en moyenne) o 71% pour des jobs d’été o En revanche, il semble ensuite qu’il vaut mieux pour l’élaboration de pistes d’emploi que l’activité salariée ne soit « pas du tout en lien » avec les disciplines étudiées, plutôt que seulement « plus ou moins » en lien. Ainsi, pour des jobs occupés en 2009-2010, les étudiants déclarent : o plus fréquemment « plusieurs pistes d’emploi » quand l’activité salariée n’est pas du tout en lien avec les disciplines étudiées (47% contre 38% en moyenne ) o plus fréquemment « n’avoir aucune piste concrète d’emploi » quand l’activité est « plus ou moins » en lien avec disciplines étudiées à l’université (45% contre 38% en moyenne).

17 17 « Des plans pour l’avenir ? » - Secteur d’activité prévu  Le secteur d'activité que vous envisagez dans le futur est-il en lien avec les disciplines étudiées depuis votre entrée à l'université ? o « tout à fait » en lien avec les disciplines étudiées à l’université » o très fréquent chez les étudiants inscrits dans une formation sélective (87% contre 68,5% en moyenne), o sous-représentée en licence disciplinaire (59%) o plus souvent donnée par les garçons (73,7%) que par les filles o lien très significatif avec l’obtention d’une mention au bac (75%) o plus fréquente quand les étudiants ont fait un voyage à l’étranger depuis le début de l'année universitaire o « plus ou moins » en lien avec les disciplines étudiées, plus fréquent : o en licence disciplinaire (34,5% contre 26% en moyenne) o Quand exercice d’une activité salariée plus de 8 heures par semaine (42% ) o Quand des difficultés financières ont entrainé un découvert bancaire au cours des derniers mois (32% ) o « pas du tout en lien avec les disciplines étudiées », quand les étudiants : o Ont décidé de s'inscrire dans leur filière, en 2008, seulement très peu de temps avant de le faire (16% contre 5% en moy. ) o déclarent ne pas avoir eu de discussion importante pour leur projet au cours de leurs parcours de formation : o ni avec d’autres étudiants (11,3% ) o ni avec des enseignants de l’université de Tours (7,5%)

18 18 « Des plans pour l’avenir ? » - Nécessité nouvelle formation  Pensez-vous qu'il soit nécessaire de suivre une nouvelle formation pour envisager ces emplois ? o La nécessité d’une nouvelle formation est plus fréquemment invoquée par les étudiants : o de licence disciplinaire (47,2% contre 35,2% en moyenne) o Inscrits en ASH (53,8%), o qui ne se réinscrivent finalement pas en 2011-2012 à l’université de Tours (53,1%), o qui affichent un « salaire du père » inférieur à la moyenne de 220 € (1827 € contre 2054 € en moyenne) o Pas nécessaire de suivre une nouvelle formation, déclaré plus fréquemment quand : o Inscrits dans une filière o de santé(79%) o d’ingénieur (75%) o de licence professionnelle (59%) o Détenteurs d’une mention au bac (46,2%) o Réinscrits à l’université de Tours en 2011-2012 (44%) o Enfin, les étudiants qui ne savent pas se prononcer sur la nécessité d’une nouvelle formation : o Sont plus souvent encore inscrits en 1 ère année en 2010-2011 o sont plus souvent en échec aux examens 2011 tout en ayant au préalable déjà redoublé au moins une fois depuis 2008 (48% contre 26% en moyenne) o Ont plus souvent obtenu leur baccalauréat sans mention (31%) o Déclarent plus souvent que les autres ne pas avoir eu de discussion importante avec des professionnels du secteur d’activité envisagé

19 19 « Des plans pour l’avenir ? » - Première conclusion  Une première conclusion : appréhender le processus d’élaboration du projet professionnel nécessite de faire appel à une grande diversité de dimensions (liste non exhaustive)  Des dimensions pédagogiques  Le type sélectif ou non de la formation suivie  Les spécificités des disciplines (observées ici à travers les composantes)  La caractérisation des parcours universitaires (redoublements, réussite aux examens, réinscription)  La caractérisation des parcours infra-universitaires (mention au bac…)  Le niveau d’élaboration des projets étudiants à l’entrée en 1 ère année de l’enseignement supérieur  Les relations entretenues avec les enseignants  La rencontre de professionnels ……  Des dimensions extérieures à la filière ou à l’établissement  Les expériences de jobs dans des univers professionnels plus ou moins en lien avec les disciplines étudiées  Les conditions de vie, en particulier les situations de précarité  Les moments ou expériences difficiles dans les dernières années  Les rencontres importantes avec des personnes extérieures à l’établissement (d’autres enseignants, d’autres professionnels…) …… o La diversité de ces dimensions, qui peuvent également être combinées entre elles, autorise à penser la grande diversité des publics étudiants et de leurs attentes.

20 20 3.Une évaluation des apports de la formation dans la définition du projet

21 21 « Des plans pour l’avenir ? » - Les apports de la formation  Selon vous, la formation suivie depuis votre entrée à l’université de Tours est-elle importante pour vos pistes de réflexions actuelles (formation / emploi possibles) ? o Cette évaluation globale révèle à l’analyse des différences très significatives en fonction de nombreux critères o Tout d’abord, en fonction du niveau personnel des étudiants (connaissances, compétences, …) qu’ils nous ont eux-mêmes déclarés : o Quand leur niveau est « bon », ils sont 59% à penser que la formation est « tout à fait importante » pour leurs réflexions actuelles o Les étudiants qui se disent « moyens » sont 53% à déclarer que la formation est « plus ou moins importante » (contre 46,7% en moyenne) o Et les étudiants qui pensent que leur niveau est faible sont presque 34% à déclarer que la formation n’est pas importante pour leurs pistes de réflexion (contre 9,6% en moyenne)

22 o L’importance de la formation dans la réflexion des étudiants est proportionnelle à l’évolution de leur projet o « Formation tout à fait importante », réponse plus fréquente o quand ils ont « tout à fait vu évoluer leur projet d’avenir » depuis l’entrée à l’université (54% contre 43,7% en moy.) o Formation « plus ou moins importante » : o Plus fréquent chez ceux qui n’ont pas encore d’idée précise de leur projet professionnel (58,5% contre 46,7% en moyenne) o tendance encore plus marquée chez les étudiants ayant redoublé au moins une fois depuis 2008 avec 73,3%) o Formation « pas importante » pour la réflexion, quand les étudiants : o n’ont pas vraiment vu évoluer leur projet d’avenir depuis 2008 (17% contre 9% en moyenne) o n’ont pas d’idée précise sur leur projet professionnel (18%) o Lien avec la perception de l’insertion professionnelle future et la hâte d’arrêter ses études o Parmi les étudiants qui pensent que leur insertion professionnelle future sera facile, o 58% d’entre eux considèrent que la formation est « tout à fait importante » (contre 43,7% en moyenne) o Tandis que les étudiants qui pensent que leur insertion professionnelle future sera difficile o sont plus nombreux à évaluer négativement l’importance de la formation (13,2% contre 9,3% en moyenne) o Enfin, les étudiants qui ont « tout à fait » hâte d’arrêter leur études o Pensent plus fréquemment que la formation universitaire n’est pas importante pour leurs réflexions actuelles (14,4% contre 9,3% en moyenne) 22 « Des plans pour l’avenir ? » - Les apports de la formation

23 o D’autres critères de différenciation = les mêmes que pour l’évolution du projet o Type de filières o La formation est plus fréquemment déclarée « tout à fait » importante pour la réflexion dans les filières sélectives o 61% dans les filières de santé (contre 44% en moyenne), o 54% dans les filières de DUT o 48% dans les filières d’ingénieurs o 46,8% dans les filières de licence pro o et elle l’est moins souvent pour les étudiants de licence disciplinaire (38%) o Discussions particulières avec des enseignants de l’université o 51% d’étudiants qui pensent la formation « tout à fait » importante pour leur réflexions (contre 44% en moyenne) o déclarent en parallèle avoir eu une discussion particulièrement déterminante avec des enseignants de l’université o Tandis que 14% d’étudiants qui pensent la formation « pas du tout » importante (contre 9,3% en moyenne), o déclarent dans le même temps ne pas avoir eu de discussion particulière avec leurs enseignants de l’université. o Des moments difficiles dans les dernières années o la formation est plus fréquemment déclarée « pas importante pour la réflexion» quand les étudiants ont : o rencontré des problèmes de relations avec les enseignants - incompréhensions, indisponibilités… (15,7% contre 9,6% en moyenne) o rencontré des difficultés de manque de temps d’études pour des raisons extérieures (14,2% ) o vécu des moments difficiles sur le plan de leurs relations amoureuses (13,5%) 23 « Des plans pour l’avenir ? » - Les apports de la formation

24  Selon vous, quels sont les éléments de la formation suivie à l'université de Tours qui sont importants pour vos pistes de réflexion actuelles (formations/emplois possibles) ? o On retrouve ici une évaluation assez positive de l’importance des différents éléments de la formation o On note que les éléments évalués comme « les plus importants pour les pistes de réflexions » sont ceux qui mettent les étudiants en relation avec les univers professionnels (stages, enseignements appliqués, intervention de professionnels) 24 « Des plans pour l’avenir ? » - Eléments de la formation

25  L’importance de la mise en relation avec les « univers professionnels » varie en fonction  des critères déjà rencontrés : parcours pédagogiques, situation économique,  mais également selon des critères supplémentaires : le genre, d’autres évènements vécus… o L’importance générale des stages - obligatoires et optionnels – varie en fonction : 1.du type « sélectif ou non » de la filière o Stages obligatoires « très importants » ou « assez importants » dans les filières sélectives o Stages optionnels o « très importants pour la réflexion », plus fréquent en licences disciplinaires (Lettres Langues, ASH, Droit) o « peu importants » dans les filières sélectives (EPU, IUT de Tours, Médecine) 2.du genre o les filles les considèrent plus fréquemment comme « tout à fait importants » o stage obligatoire, 77% contre 71% en moyenne o stage optionnel, 54% contre 45% en moyenne o tandis que les garçons déclarent plus fréquemment o les stages obligatoires « assez importants » (24,6% contre 21,5 en moyenne) o et les stages optionnels « peu importants » (20% contre 14% en moyenne) 25 « Des plans pour l’avenir ? » - Eléments de la formation  D’autres analyses sont possibles pour les autres éléments de la formation (enseignements théoriques, appliquées, les langues, etc. ) mais ne sont pas présentées dans ce diaporama

26  L’importance des interventions de professionnels (pour les réflexions des étudiants) o varie en fonction des composantes o « Très importantes » en ASH, en Pharmacie, à l’IUT de Tours, o « Assez importantes » à l’EPU, en Sciences et Techniques, en Médecine o mais varie aussi en fonction de la prévision d’une mobilité en 2011-2012 o Plus souvent « peu importantes » quand les étudiants ont prévu un départ ailleurs en France o Plus souvent « pas importantes du tout » quand les étudiants ont prévu un départ pour l’étranger  Des spécificités pour les stages obligatoires, dont l’importance varie 1.en fonction du moment où a été prise la décision de s’inscrire dans la filière avant la rentrée 2008 : o le stage obligatoire n’est que « peu important » quand les étudiants ont fait le choix de s’inscrire en 1 ère année très peu de temps avant de le faire (18% contre 5,3% en moyenne) 2.très différemment selon les moments difficiles vécus dans les dernières années : o Stages obligatoires « très importants » quand moments difficiles o dans leur entourage familial (relations aux proches, séparations, deuil,…) o dans les relations étudiantes o Stages obligatoires « peu importants » quand difficultés o dans les relations avec les enseignants o sur le plan de la situation financière  Des spécificités pour les stages optionnels, o Dont l’importance varie selon le redoublement depuis 2008 o Stages optionnels « assez importants » pour les inscrits en 2 ème année (ayant redoublé une fois) o Stages optionnels « très importants » pour les inscrits en 1 ère année (ayant redoublé deux fois) 26 « Des plans pour l’avenir ? » - Eléments de la formation

27  Depuis votre entrée à l'université, avez-vous suivi des actions du SUIO qui, selon vous, sont importantes pour vos pistes de réflexion actuelles (formations/emplois possibles) ? o Une analyse croisée de la fréquentation montre que : o 44% des étudiants ont participé au moins à une de ces actions du SUIO o 30% des étudiants en ont suivi au moins deux… 27 « Des plans pour l’avenir ? » - Actions menées par le SUIO

28  L’importance des « forums-conférences métiers », de la « SIP », des ateliers CV- Lettres : des critères distinctifs surprenants ? o Les « Forum / carrefours / conférences des métiers » et la SIP : des avis similaires selon l’année d’études o plus fréquemment « très importants » et « assez importants » quand les étudiants sont en 3 ème année o « peu » ou « pas important du tout » quand ils sont inscrits en 2 ème ou en 1 ère année (ont redoublé au moins une fois) o Des spécificités pour les « Forum / carrefours / conférences des métiers » o « très importants » quand les étudiants déclarent « le nombre d’heures de cours hebdomadaires au S2 le plus élevé » (26 heures) o « assez importants » quand les jobs occupés en 2011 leur ont apporté des compétences différentes et complémentaires de celles acquises à l’université o « pas importants du tout » quand les étudiants déclarent « avoir l’habitude de travailler 2 mois chaque été » o Une importance des ateliers CV / Lettres qui varie selon le nombre d’heures d’activité salariée o « très importants » par les étudiants qui sont salariés moins de 8 heures hebdomadaires o « assez importants » par les étudiants qui sont salariés plus de 8 heures par semaine o « peu importants » par les étudiants qui n’ont aucun job en 2011 28 « Des plans pour l’avenir ? » - Actions menées par le SUIO

29 29 4.Les poursuites d’études en 2011-2012

30 « Des plans pour l’avenir ? » - Les projets 2011-2012 30 Qui est finalement réinscrit pour l’année 2011-2012 à l’université de Tours ? -la quasi-totalité de ceux qui voulaient poursuivre à Tours (96%) -30% de ceux qui souhaitaient poursuivre dans une autre université -les deux tiers de ceux qui souhaitaient intégrer le marché du travail

31 « Des plans pour l’avenir ? » - Repérer des publics particuliers 31  Exemple de repérage d’un public particulier : les étudiants de 3 ème année de licence disciplinaire non réinscrits à l’université en 2011-2012  Ce qui distingue ces « non réinscrits » des « L3 réinscrits à l’université de Tours en 2011-2012 ». -Pistes concrètes d’emploi -Les non-réinscrits pensent plus fréquemment qu’il est nécessaire de suivre une nouvelle formation pour envisager ces pistes d’emploi (61,6% contre 44% des réinscrits) -Le secteur d’activité visé est moins fréquemment en lien avec les disciplines étudiées à l'Université (48,5% contre 63,3% des réinscrits) -Discussions particulières avec des enseignants -Les non réinscrits évoquent plus souvent des discussions avec des enseignants d’autres établissements que l’université (26% contre 17,3% des réinscrits) -Expérience de jobs d’été -Ils sont 87% à travailler au moins 1 mois chaque été (contre 74% des réinscrits) -Ils sont moins de 4% à déclarer n’avoir jamais travaillé l’été (contre 12% des réinscrits) -L’entrée en 1 ère année dans l’établissement -en 2008, ils déclaraient moins fréquemment que leur père soutenait leur choix d’inscription (54% contre 62% des réinscrits) -Ils avaient plus souvent tenté une filière sélective avant l’inscription dans cette filière (39,3% contre 26% des réinscrits) -Ils étaient seulement 19% à envisager que leur formation se déroulerait en totalité dans cette université (contre 36% des réinscrits).  Si nécessaire, il est possible de repérer les particularités d’autres publics spécifiques  Exemples :  les étudiants ayant redoublé au moins 1 fois depuis 2008 et réinscrits en 2011-2012  les étudiants en grande précarité  Les étudiants salariés  etc.

32 32 Fin du diaporama, merci de votre attention…


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