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Publié parJacques David Modifié depuis plus de 8 années
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DIE GROSSTÄDTE UND DAS GEISTESLEBEN METROPOLE ET MENTALITE 1903 METROPOLE ET MENTALITE 1903
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Examen des deux pôles de la contradiction I - Ville et objectivation ville et impersonnalité II - Ville et personnalisation 2
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Ville et économie monétaire L’ARGENT Argent et calcul « combien » et objectivation « Dans les rapports rationnels, les hommes sont réduits à des nombres, à des éléments qui, par eux-mêmes, sont indifférents et n'ont d'intérêt que du point de vue de leur production objectivement comparable ». 3ville et impersonnalité
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Argent, marché et objectivation Impartialité et impersonnalité des échanges sur le marché comme lieu spécifique et comme rapport social. « une production destinée à des acheteurs tout à fait inconnu » Objectivation et calcul Diversité, déterminations numériques et ponctualité « L'esprit moderne est devenu de plus en plus calculateur ». 4Ville et impersonnalité
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Ville et rationalisation Répression des traits irrationnels et instinctifs Caractère supra-subjectif de la temporalité urbaine Répression « des impulsions à définir par soi- même son mode de vie » Impersonnalité des relations dans le monde urbain 5Ville et impersonnalité
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Ville et indifférence Diversité, sollicitation et « attitude blasée » « L'incapacité de réagir à de nouvelles excitations avec l'énergie qui leur serait adéquate est précisément cette attitude blasée qu'à la vérité montre déjà chaque enfant de la grande ville en comparaison d'enfants issus de milieux plus calmes et moins variés ». « l’indifférence aux différences » 6ville et personnalisation
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Ville et distanciation La réserve « posture mentale de l’habitant des grandes villes » « droit à la méfiance » « Nous ne connaissons souvent même pas de vue celui qui, à longueur d'année, est notre voisin » « une légère aversion », « une mutuelle étrangeté » 7ville et personnalisation
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Ville et liberté « l'habitant de la grande ville est « libre » par contraste avec les mesquineries et les préjugés qui enserrent l'habitant de la petite ville. En effet, la réserve et l'indifférence mutuelles qui conditionnent la vie psychique des grands cercles ne sont jamais plus fortement ressenties, quant à leur conséquence pour l'indépendance de l'individu » 8
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Ville et liberté (II) * Anonymat * Élaboration d’un mode de vie Revers : la solitude « On ne se sent nulle part aussi seul et abandonné que dans la foule de la grande ville » 9
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Ville et monde « une ville ne subsiste que de la somme des actions qui étendent son empire au-delà de ses confins immédiats. C'est là seulement la dimension véritable où son être s'exprime ».
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Spécialisation et singularité Concurrence Spécialisation Séduction Singularisation
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Extravagance « En raison de la difficulté de mettre en valeur sa personnalité dans les dimensions de la vie métropolitaine, on a recours à la singularisation pour séduire d'une manière quelconque la conscience du cercle social. Ce qui par, la suite, pousse finalement aux bizarreries les plus, tendancieuses, aux extravagances spécifiquement citadines de l'être à part, du caprice, de la préciosité »
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Extravagance et singularité « Sortir de soi et, par suite, de devenir remarquable - pour beaucoup de personnes, c'est encore finalement je seul moyen de sauvegarder par le détour de la conscience des autres, une certaine estime de soi et le sentiment de tenir une certaine place ».
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Esprit objectif vs Esprit subjectif (conclusion) Développement de la culture comme développement de l’esprit objectif comme esprit incorporé Ecart, distance de l’individu à l’égard de cette culture incorporée. « l’homme réduit à un grain de poussière » face aux organisations et aux institutions « sauver ce qui est le plus personnel » « forcer la note » !
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Métropole et dialectique de l’esprit Deux tendance de la modernité dont la ville est le lieu : Indépendance, autonomie, liberté, universalité (Philosophie des Lumières) Différenciation, singularité, « unicité irremplaçable » (Romantisme) La ville comme lieu du combat de ces deux tendances
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TRAGIQUE ET SOCIOLOGIE ALLEMANDE trois traitements dialectiques distincts CONCLUSION GENERALE
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Le jeune Marx : réification et aliénation du travail L’expropriation du travail et son devenir étranger au travailleur. Devenir réifié du travail, si l’on entend par là son devenir objectivé, cristallisé et sans vie Devenir ennemi du travail qui finit par faire face au travailleur.
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Le jeune Marx et le caractère antagonique de la contradiction « Dans le prolétariat, l'homme s'est en effet perdu lui-même, mais il a acquis en même temps la conscience théorique de cette perte » « La misère qu'il ne peut plus éviter le contraint directement à se révolter contre pareille inhumanité » SAINTE FAMILLE, Chapitre IV, 4 (Editions Sociales 1972, p. 47-48)
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Marx et l’abolition de la contradiction « Abolir toutes les conditions de vie inhumaines de la société actuelle »
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Max Weber, l’irrésolution de la contradiction La cage d’acier Paradoxe du socialisme face au capitalisme Guerre des dieux et polythéisme des valeurs Pessimisme wébérien et absence de dénouement des contradictions du capitalisme
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Simmel et l’inachèvement de la contradiction La ville comme lieu d’une contradiction La ville comme lieu d’une contradiction inachevée Vitalité dialectique de l’inachèvement, car passage de tout un ensemble de manifestations sociales L’éclipse comme figure inachevée du lien
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