La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Beffrois du Nord de la France.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Beffrois du Nord de la France."— Transcription de la présentation:

1 Beffrois du Nord de la France

2 Histoire des Beffrois Le beffroi était le gardien de la ville, par sa hauteur il permettait de détecter rapidement tout départ de feu ou invasion. A cette fin, des terrasses, tourelles ou galeries à claire-voie étaient aménagées pour les guetteurs. Employés par la Cité, les guetteurs sont les gardiens de la sécurité. Ils effectuent des gardes de douze heures avant d'être relayés. Le guetteur remplit son rôle d'alarme à l'aide d'une trompe, sorte de cor en cuivre délivrant un son puissant. Il donne ensuite la direction du danger à l'aide de drapeau, lanterne ou pot à feu. A chaque heure, le guetteur sonne sa trompe et s'adresse à la population. "Il est dix heures, priez pour les trépassés" à Bergues ou encore "Cambrésiens, dormez en paix, le Gallu veille". Il s'agit là en fait d'un moyen de prouver sa vigilance. Chaque commune possédait un trésor qu’elle se devait de protéger. Il était notamment composé de numéraires, d’objets précieux, de sceaux en argent,… et surtout de chartes. Elles étaient conservées précieusement dans des coffres. En parallèle de toutes les fonctions évoquées auparavant, le beffroi avait un rôle fondamental qui est celui de régler temporellement la vie de la commune en indiquant les heures. Les cloches jouaient une fonction importante dans les villes du Moyen Âge et une salle spéciale leur était réservée au sommet du beffroi.

3 Le beffroi de l'Hôtel de Ville d'Armentières.
D'abord construit au Moyen Âge, le beffroi d'Armentières fut détruit sur ordre de Louis XI, avant d'être rebâti en Il fut ensuite intégré à l'Hôtel de Ville en 1724, à l'issue d'importants travaux entrepris par les échevins. Le beffroi constituait alors un symbole extérieur de puissance et de prospérité. De nouveau détruit en 1918 lors de la Première Guerre mondiale, le beffroi d'Armentières fut entièrement reconstruit par l'architecte Louis Marie Cordonnir. Le nouvel édifice fut inauguré en 1934, après neuf années de travaux.

4 Il fait résonner chaque heure l'air de Quand Madelon...
De style néo-flamand, le beffroi d'Armentières porte également des traces de son histoire médiévale. Réalisé en pierre blanche et en brique, il culmine à une hauteur de 67 mètres3 et offre une vue panoramique des environs jusqu'à 30 kilomètres à la ronde. Un escalier en bois de 96 marches permet d'accéder au carillon, constitué de 11 cloches, dont notamment une grosse cloche de bronze pesant 1 220 kg. Il fait résonner chaque heure l'air de Quand Madelon...

5 Le beffroi d'Arras est un ouvrage de charpente
Le beffroi a été commencé durant le XVe siècle et est terminé en 1554 sur les plans de Jacques le Caron. Construit dans le style gothique flamboyant, le beffroi a été détruit puis reconstruit à deux reprises de manière identique. La première fois en 1833, car il menaçait de s'écrouler et la seconde fois, en 1914, à la suite des bombardements allemands durant la Première Guerre mondiale. Tandis qu'au Moyen Âge, le beffroi avait des fonctions militaires ; la cloche sonnait l'ouverture et la fermeture des portes de la ville et le bâtiment servait de prison ll est accolé à la façade postérieure de l'hôtel de ville.

6 Le campanile abrite un carillon de 35 cloches pesant plus de
Le beffroi de Bailleul est situé dans le département du Nord à Bailleul, il mesure 62 mètres. Il fait également partie de la liste des 23 beffrois français admis au patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco en 2005. Le campanile abrite un carillon de 35 cloches pesant plus de 5 000 kg qui sonne tous les quarts d'heures.

7 À l'origine le beffroi de Bailleul était une tour en bois qui servait d'abord à faire la guerre puis comme tour de guet. Au XIIIe siècle il fut édifié en pierre dont seul la salle gothique existe encore actuellement. Il fut détruit de nombreuses fois à cause des guerres et d'incendies et fut reconstruit à chaque fois. Sa dernière reconstruction date de 1932 après la Première Guerre mondiale par Louis-Marie Cordonnier qui garda la façade austère qu'elle possédait avant la guerre.

8 Le beffroi de Bergues est l'attraction la plus célèbre de la ville
Le beffroi de Bergues est l'attraction la plus célèbre de la ville. Sa construction a commencé au XIIIe siècle. Il a du être reconstruit une première fois au XIVe, après l'invasion française de 1383, et à nouveau au XVIe. Restauré au XIXe, Il a été endommagé par un incendie en 1940 et détruit par dynamitage par les troupes allemandes, lors de leur retraite en 1944, reconstruit en 1961. Au sommet du beffroi, se trouve un carillon de 50 cloches qui sonne pour le marché le lundi et d'autres festivités, comme le célèbre carnaval.

9 Il abrite un carillon de 35 cloches.
Le beffroi de Béthune fut construit une première fois en 1346, reconstruit en 1388, il a été classé monument historique en Symbole de l’Histoire médiévale et contemporaine de Béthune, le Beffroi surplombe la ville. Situé sur la Grand-Place, il est le centre géographique, politique, historique, culturel et affectif de la ville. Parmi ses fonctions nombreuses, il faut rappeler celle qui en fait un point d’observation idéal pour scruter la campagne environnante et prévenir du danger. Le beffroi de Béthune incarne aussi au nom de l’histoire les franchises communales de la ville, ces libertés coutumières octroyées aux bourgeois par les comtes d’Artois. Il abrite un carillon de 35 cloches. Cette tour de 33 m est surmontée d'un campanile de 17 m, lui-même surmonté d'un dragon nommé « Beffy ».

10 Il est situé place Godefroy-de-Bouillon.
Le beffroi de Boulogne-sur-Mer est un ancien donjon érigé au XIIe siècle à Boulogne-sur-Mer, pour le premier château comtal connu. Il est situé place Godefroy-de-Bouillon. Sa construction serait attribuée à Renaud de Dammartin, comte de Boulogne de 1191 à Philippe Hurepel, qui succéda à Renaud de Dammartin, acheva son château qui s'éleva sur un autre site à l'angle oriental de l'enceinte urbaine. Il céda donc son donjon devenu inutile aux bourgeois de la haute ville qui en firent leur beffroi. Le beffroi avait pour fonction d'accueillir la cloche qui rythmait le temps de la vie sociale, d'offrir un abri sûr pour le sceau, la Charte et autres documents, L'étage octogonal, que l'on connaît aujourd'hui fut établi au début du XVIIIe par l’ingénieur Martinet pour remplacer une flèche en ardoise détruite en 1712 par un incendie.

11 C'est en 1395 que Cambrai obtint définitivement de l'empereur Venceslas l'autorisation de posséder un beffroi, fonction qu'occupe le clocher de l'église Saint-Martin à partir de Cette église fut détruite à la révolution, le beffroi fut heureusement épargné. Il est érigé en style gothique entre 1447 et 1474, et s'élançait alors à près de 57 mètres. Endommagée en 1528 par la foudre, puis lors du siège de 1595, sa partie supérieure fut démolie en Sa reconstruction fut achevée en 1736 et mit le clocher dans les proportions où il se trouve de nos jours. La flèche torse fut remplacée par un dôme surmonté d'un lanternon qui donnèrent au beffroi sa silhouette à près de 62 mètres.

12 Au XVe siècle, le sommet est couvert d'une flèche torse remplacée au XVIIIe par un lanternon.
Quatre sculptures réalisées en 1922 par Marcel Gaumont ornent les angles. Elles évoquent quatre figures de l'histoire de la ville.

13 L'hôtel de ville de Comines, construit en brique et orné de vitraux, est relié au beffroi par une galerie. Le beffroi, d'une hauteur totale de 58 mètres, est constitué d'une tour quadrangulaire de 22  mètres de haut, en brique soulignée de pierre blanche, surmontée d'un bulbe à huit pans couvert d'ardoise de 11 mètres de haut supporté par une charpente en béton. Deux lanternes superposées et un bulbe décoratif porteur d'une girouette à tête de monstre ornent son faîte. Autour du campanile, le haut de la tour porte un chemin de ronde encadré de quatre tourelles d’angle.

14 La construction du beffroi de Douai a été entreprise en 1380, sur l'emplacement d'une précédente tour en bois, afin de servir de tour de guet. Un bâtiment également de style gothique fut érigé sur le côté ouest de la tour ainsi qu'une chapelle sur le flanc sud. L'ensemble fut terminé en 1475 et un carillon fut installé dès 1391 dans le beffroi et rythme depuis la vie des Douaisiens.

15 Beffroi de Dunkerque Hôtel de ville. La ville confie la construction du nouvel édifice à un architecte lillois, Louis Marie Cordonnier (qui a notamment réalisé l'immeuble de la Chambre de commerce de Lille). L'auteur choisit le style néo flamand, mélangeant brique et pierre. Le 30 mai 1897, la première brique est posée, et quatre années plus tard, le 17 septembre 1901, le président de la République Émile Loubet, en compagnie du tsar Nicolas II de Russie, inaugure l'hôtel de ville de Dunkerque assez proche dans sa partie avant de ce que l'on connaît aujourd'hui.

16 Beffroi de Dunkerque. La tour haute de 58 mètres est construite en brique dans le style gothique. Elle est à l'origine rattachée à l'église Saint-Éloi et lui sert de clocher. En 1558, les français menés par le maréchal de Thermes envahissent la ville et brûlent l’église. Seule la tour subsiste. L'ancienne tour, séparée de la nouvelle église par une partie des ruines de la première église, reste isolée et sert à la fois de clocher, de beffroi municipal, et d'amer. En 1782, le beffroi est définitivement séparé de l'église par une rue. En 1835, on modifie son couronnement. Après la Première Guerre mondiale, le 15 avril 1923, on modifie la base afin qu'elle reçoive un cénotaphe à la mémoire des morts de la Grande Guerre, réalisé par Pierre Fritel. Le Beffroi sert toujours de clocher et abrite actuellement un carillon de 48 cloches datant de 1962 : le bourdon Jean Bart pèse 5 tonnes. Ce carillon est toujours utilisé aujourd'hui et peut être visité.

17 La Chambre de commerce de Lille
est un édifice construit au début du XXe pour remplacer la Vieille Bourse devenue trop exiguë. Le bâtiment a été édifié sur la place du Théâtre entre 1910 et 1921 par l'architecte Louis-Marie Cordonnier. Son style néo-flamand n'est pas sans rappeler la richesse et la majesté des célèbres hôtels de ville des anciens Pays-Bas. Son beffroi, orné d'une horloge à quatre cadrans et haut de 76 mètres, domine l'opéra de Lille. De style néo-régionaliste, il est aussi orné de motifs végétaux et de volutes faisant référence au style lillois du XVIIe Le hall d'honneur est doté d'une grande coupole majestueuse qu'accompagnent des fresques et des galeries bordées de colonnes.

18 Le beffroi de l'hôtel de ville de Lille, inauguré en 1932, est le plus haut de la région Nord-Pas-de-Calais. L'ensemble architectural, à la fois massif pour l'Hôtel de ville, et exceptionnellement fin et élancé pour son beffroi a été conçu par l'architecte Émile Dubuisson. En brique rouge et béton « façon pierre sculptée » culmine à 101 m de hauteur affirmant la puissance politique et commerciale de la capitale régionale. La brique rouge répond au vert des platanes qui entourent le bâtiment. Le beffroi accueille une belle collection d'œuvres contemporaines, qui complète celles qui décorent les différentes salles municipales. Avec ses 104 m de hauteur, le beffroi de Lille est le plus grand bâtiment municipal de France et le plus haut beffroi d'Europe. Surnommé gratte-ciel en Flandre par les Lillois lors de son inauguration, il reste avec ses 400 marches, le bâtiment municipal le plus élevé de France.

19 La tour d’Aire-sur-la-Lys est un beffroi d’Hôtel de Ville
La tour d’Aire-sur-la-Lys est un beffroi d’Hôtel de Ville. Il est de style baroque et carré, il a été construit en même temps que l’Hôtel de Ville auquel il est accolé et avec lequel il communique. Le beffroi s’élève à 30 toises, d’après les plans de l’architecte Héroguel, soit environ 58 mètres. Il repose sur quatre gros piliers, de briques et de pierres de 2 mètres d’épaisseur. Une horloge à 4 cadrans et un carillon ont été installés en Le 1er étage du beffroi forme ce que l’on appelle la « Salle du Loup ». On y accède par l’arrière de l’hôtel de ville. Le terme de loup remonte à l’époque où le sceau de la ville représentait un loup courant.

20 Le beffroi de Calais est agrémenté d’une horloge à quatre cadrans orientés vers les quatre points cardinaux. L’hôtel de ville de Calais est situé place du Soldat Inconnu. Son beffroi est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2005. Le beffroi tout en brique rouge de Courtrai et en pierre blanche est accessible aux visiteurs, il suffit de gravir les 175 marches pour accéder à la terrasse supérieure et découvrir un magnifique panorama sur Calais et ses environs.

21 L’Hôtel de ville de Calais et son beffroi.

22 L'hôtel de ville de Cateau Cambresis
est édifié à partir de 1533 sur une base certainement plus ancienne. Le beffroi, de style renaissance, est plus tardif, il est édifié en 1705 par Jacques Nicolas de Valenciennes, avec l'agrément de Fénelon. Le beffroi comporte quatre étages avec superposition d'ordres : ordre toscan au rez-de-chaussée, puis, successivement, ordre dorique, corinthien et composite. Certains de ses éléments sont typiques de l'architecture flamande, comme le triangle faîtier du pignon "à pas de moineau".

23 La flèche du beffroi est agrémentée d'un campanile et de quatre petits clochetons. Le carillon, installé en 1716 rythme toujours la vie de la cité.

24 L'Hôtel de Ville actuel D’Estaires.
Conçu par M. Dumas, le même architecte à qui l'on doit l'église St-Vaast, est un monument du style Renaissance Flamand construit de 1928 à 1930. En , d'importants travaux de rénovation du Beffroi ont été réalisés. Le coq a été remplacé par une girouette aux armoiries de la ville. L'ensemble de la façade et le toit ont été nettoyés et rénovés.

25 Gravelines fait édifier son premier beffroi en 1608 mais très vite cette tour communale subit les assauts du temps, aggravant l’état du bâtiment au fil des années. En 1821, l’édifice devient trop dangereux pour les passants et les maisons, il est donc détruit. Malgré les faibles ressources de la commune, l’attachement de cette dernière à la symbolique du beffroi est telle qu’elle choisit de le reconstruire dès 1827 sur les fondations de l’ancien. Le beffroi de Gravelines est un beffroi civil isolé. Il se présente sous la forme d’une tour carrée coiffée d’un lanternon polygonal couvert d’ardoises et d’une girouette fonctionnelle depuis 1903. L’édifice est bâti en briques de sable jaune, en pierre calcaire et en pierre de taille sur trois étages carrés avec dans l’angle sud-est un escalier intérieur en vis. Le troisième niveau loge, dans un oculus, une horloge à quatre cadrans. En décembre 2005, une troisième cloche a été ajoutée afin d’augmenter le nombre de sons du carillon.

26 Photo à la diapo suivante
Le beffroi communal d’Hesdin mesure 70 mètres de hauteur. La base est une tour carrée très simple de trois étages, contenant trois cachots voûtés superposés. Elle est couronnée d’une plate-forme ajourée de décors à volutes. C’est à ce niveau que prend naissance le quatrième étage, percé sur chaque face d’une fenêtre à meneaux et couronné d’une frise d’arcades en plein cintre. Cette tour se termine par une lanterne octogonale, qui renferme une cloche de 2000 kilos baptisée Danièle, Marie, Pauline, Henriette. Par testament du 10 février 1875, M. Daniel Lereuil, avocat, fils du Maire, lègue à la ville la somme de F or. Appelé à se prononcer sur l’emploi de ce legs, le conseil municipal décide de l’appliquer à la reconstruction de la partie supérieure du beffroi, qui sera érigée selon les plans de l’architecte hesdinois Clovis Normand. Comme le testament ne suffit pas à solder l’importance des travaux, M. Paul Lereuil, maire d’Hesdin et père du testateur, prend à son compte le complément de la dépense. En 1878, la nouvelle tour communale est inaugurée. Photo à la diapo suivante

27 Hôtel de ville d’Hesdin
et son beffroi.

28 Le beffroi de Loos se dresse en saillie au centre de la façade
Le beffroi de Loos se dresse en saillie au centre de la façade. C’est une tour carrée de brique rouge, agrémentée de cadrans et surmontée de clochetons. Cette tour se compose de trois niveaux d'élévation et  prend l'aspect d'un véritable donjon renforcé d'échauguettes et de mâchicoulis. Au bas de la tour, un porche voûté permettait à l’époque le passage des voitures. Cette entrée est gardée par un mascaron : une tête d’homme barbu. Au-dessus s’ouvre une bretèche abritée par une grande arcade décorée d’une mosaïque où sont représentées les armes de la ville déposées sur un fond bleu. La pointe du beffroi est composée de quatre échauguettes percées de meurtrières, ensemble coiffé d’un lanternon à toiture en ardoise surmontée d’une flèche.

29 Beffroi de Loos.

30 Autrefois l’église de Merville était située sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Elle a été détruite en 879 (par les Vikings), en 1347 (par les Français), en 1881 (par un incendie) et en 1918 lors de la Première Guerre mondiale. Après le conflit, on décide de la reconstruire à l’emplacement où elle se dresse aujourd’hui. Son intense tête-à-tête avec le beffroi dure depuis 1927, année de son inauguration.

31 Hôtel de ville de Merville et so beffroi.

32 La Tour du Guet à Pont sur Sambre.
Ce maigre beffroi de 4 mètres de côté sur 18 mètres 20 de hauteur date de la fin du XVIe siècle. Dans le clocheton se trouve la cloche du collège de oratoriens de Thuin. Transcription de l'inscription de type capitale antique : COLLEGH THVDINIESIS PATRUM ORATORY.

33 On peut penser que cette cloche fondue en 1660 fut rapportée en France par les armées révolutionnaires lors de la prise de Thuin par le Général Marceau le 10 Mai 1794. Des documents anciens nous apprennent que la Tour du Guet servait de Chambre de Justice aux Seigneurs d'Aymeries. Au rez-de-chaussée se situait le cachot sous lequel il y aurait un souterrain. On accédait autrefois à la salle du 1er étage par l'extérieur, la salle de garde se situait quant à elle au second étage, et la salle de guet au dernier étage, sous le clocheton.

34 La Ville de Saint-Pol-sur-Mer  inaugure en 2003 le premier beffroi du troisième millénaire, Oeuvre de Daniel Cacheux, architecte D.P.L.G., il se dresse au dessus de la Ville, du haut de ses 33 mètres. La brique rappelle ici le matériau le plus utilisé dans la région.Le carillon du beffroi de la Ville de Saint Pol sur Mer est exceptionnel . En plus de ses treize cloches, il comprend, en effet, les quatre Jacquemarts les plus grands d'Europe. Chaque Jacquemart mesure 1,80 mètre. Ils représentent des personnages marquant ou symboliques de la ville.

35 Au sommet du beffroi du Quesnoy se tient son carillon de 48 cloches pour un poids total de 7525kg, situées dans une immense chambre sous le lanternon. Les cloches se répartissent en trois groupes : Les 4 premières cloches sont sous les poutres portant l'étage du clavier du carillonneur. Le reste est réparti de part et d'autre de la partie haute de la chambre des cloches. Une horloge électronique permet de faire tinter les cloches suivant l'heure: Aux heures : "Pierrot Bimberlot"  Aux quarts : "Auprès de ma blonde"  Aux demies : "L'hymne Européen"  Aux trois quarts : ‘’Nous n'irons plus au bois ’’ .

36 Inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques, de style anglo-normand, l'Hôtel de Ville du Touquet Plage a été construit entre 1929 et 1931. Le beffroi de 38m surplombe l'entrée des services installés au rez-de-chaussée. Il contient un carillon sonnant les quarts et les demies.

37 Hôtel de ville – Beffroi – Le Touquet -Plage

38 Construite entre 1903 et 1906 par Charles Planckaert à la gloire d'un commerce et d'une industrie alors florissants, l'ancienne Chambre de Commerce de Tourcoing est un bâtiment de style flamand avec beffroi d'angle. Une réalisation remarquable, où pierre et brique se marient en rappelant la Renaissance et le début du XVIIe siècle.

39 Textes et photos viennent du net.
Musique : Aranguez -P.Dutot –Trompette . Mars 2016

40


Télécharger ppt "Beffrois du Nord de la France."

Présentations similaires


Annonces Google