Télécharger la présentation
La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez
Publié parEmmanuel Lafleur Modifié depuis plus de 8 années
2
Carla Bruni Fernande C’est une chanson de Georges Brassens qui était interdite à la radio….Hum!..... Que l’on m’a déconseillée de chanter…Hum.. Mais je la chante quand même! Par Nanou et Stan
3
Une manie de vieux garçon Moi j'ai pris l'habitude D'agrémenter ma solitude Aux accents de cette chanson
4
Quand je pense à Fernande Je bande, je bande Quand j' pense à Félicie Je bande aussi Quand j' pense à Léonor Mon dieu je bande encore Et quand j' pense à Lulu Là je ne bande plus La bandaison papa Ça n' se commande pas
5
C'est cette mâle ritournelle Cette antienne virile Qui retentit dans la guérite De la vaillante sentinelle 4
6
Quand je pense à Fernande Je bande, je bande Quand j' pense à Félicie Je bande aussi Quand j' pense à Léonor Mon dieu je bande encore Et quand j' pense à Lulu Là je ne bande plus La bandaison papa Ça n' se commande pas
7
Afin de tromper son cafard De voir la vie moins terne Tout en veillant sur sa lanterne Chante ainsi le gardien de phare
8
Quand je pense à Fernande Je bande, je bande Quand j' pense à Félicie Je bande aussi Quand j' pense à Léonor Mon dieu je bande encore Et quand j' pense à Lulu Là je ne bande plus La bandaison papa Ça n' se commande pas
9
Après sa prière du soir Comme il est un peu triste Chante ainsi le séminariste À genoux sur son reposoir
10
Quand je pense à Fernande Je bande, je bande Quand j' pense à Félicie Je bande aussi Quand j' pense à Léonor Mon dieu je bande encore Et quand j' pense à Lulu Là je ne bande plus La bandaison papa Ça n' se commande pas
11
À l'Etoile où j'étais venu Pour ranimer la flamme J'entendis émus jusqu'aux larmes La voix du soldat inconnu
12
Quand je pense à Fernande Je bande, je bande Quand j' pense à Félicie Je bande aussi Quand j' pense à Léonor Mon dieu je bande encore Et quand j' pense à Lulu Là je ne bande plus La bandaison papa Ça n' se commande pas
13
Et je vais mettre un point final A ce chant salutaire En suggérant au solitaire D'en faire un hymne national
14
Quand je pense à Fernande Je bande, je bande Quand j' pense à Félicie Je bande aussi Quand j' pense à Léonor Mon dieu je bande encore Et quand j' pense à Lulu Là je ne bande plus La bandaison papa Ça n' se commande pas
15
Carla Bruni Carla Gilberta Bruni Tedeschi, née le 23 décembre 1967 à Turin (Italie), est une auteur et compositrice-interprète et ancien mannequin franco-italienne, connue sous les noms de Carla Bruni, qu'elle continue à utiliser dans sa carrière artistique, et de Carla Bruni-Sarkozy, comme nom d'usage depuis son mariage avec Nicolas Sarkozy le 2 février 2008. Installée en France depuis l'âge de sept ans, elle mène une carrière de mannequin de 1987 à 1997, puis se reconvertit dans la musique. Elle écrit plusieurs titres sur l'album Si j'étais elle de Julien Clerc en 2000, puis sort son premier album, Quelqu'un m'a dit, en 2002. Elle remporte, deux ans plus tard, la Victoire de la musique de l'Artiste féminine de l’année. En 2007, elle sort son deuxième album, No Promises, puis Comme si de rien n'était en 2008. Jeunesse Ses parents sont le compositeur d'opéra et industriel Alberto Bruni Tedeschi et l'actrice et pianiste concertiste Marisa Borini. Cependant, le 9 janvier 2008, Maurizio Remmert, homme d'affaires installé depuis 30 ans à São Paulo au Brésil, affirme être le père biologique de Carla Bruni. Maurizio Remmert et Marisa Borini se sont rencontrés à Turin et ont eu une relation amoureuse durable dont est née Carla Bruni. Maurizio Remmert déclare que la filiation était connue d'Alberto Bruni Tedeschi depuis de nombreuses années, et qu'il a toujours traité Carla Bruni comme sa fille légitime. Peu de temps avant la mort de son père en 1996, Carla Bruni a appris de sa mère l'existence de son véritable père. Sa sœur aînée est l'actrice, scénariste et réalisatrice Valeria Bruni Tedeschi et son frère aîné, Virginio, marin et photographe, est décédé à Paris le 4 juillet 2006 des suites du sida. De son père naturel, elle a également une demi-sœur, Consuelo Remmert. En 1975, sa famille s'installe en France par peur des enlèvements par les Brigades rouges italiennes. Jeune, elle apprend le piano puis la guitare. Elle est élève au lycée Janson-de-Sailly. Elle baigne dans la musique depuis l'enfance et a hérité de sa famille un goût pour cet art. Passionnée de littérature et d'écriture, elle compose des chansons, en griffonnant ses textes entre deux activités. Elle suit ses études dans des internats privés suisses et français, puis poursuit des études d'architecture à Paris. …../….
16
Carrière de mannequin dans les années 1980-1990 Carla Bruni en compagnie de Vincent Pérez au festival de Cannes 1994.À l'âge de 19 ans, elle arrête ses études d'architecture et devient mannequin pour l'agence parisienne City Models. Elle accède au rang de top model, en 1988, pour devenir une star des magazines de mode des années 1990. Elle a défilé et posé pour des marques tels que Ralph Lauren, Chanel, Christian Dior, Versace, Guess, Givenchy, Paco Rabanne, Sonia Rykiel, Christian Lacroix, Karl Lagerfeld, John Galliano, Yves Saint Laurent, Shiatzy Chen et bien d'autres encore. Elle devient également une égérie de la marque de lingerie Victoria's Secret. Durant les années 90, elle a fait partie du classement des 20 mannequins les plus riches, en effet elle aurait gagné près de 7,5 millions de dollars lors de son année la plus rentable. Elle a fait la une de différentes éditions de Vogue, Harper's Bazaar, L'Officiel, ELLE, Madame Figaro ou encore Marie Claire. En 1995, elle joue son premier rôle au cinéma dans Catwalk de Richard Leacock puis en 1997 dans Paparazzi d'Alain Berberian. La même année, à l'âge de 29 ans, elle met fin à sa carrière de mannequin qui aura duré dix ans. Elle décide alors de se consacrer à la musique. Carrière d'auteure-compositrice-interprète dans les années 2000 En 1999, elle rencontre Julien Clerc lors d'un dîner et lui confie qu'elle écrit des chansons. Quelques semaines plus tard, elle lui envoie un texte intitulé Si j’étais elle. Julien Clerc compose la musique de cette chanson et sort l'album Si j'étais elle, dont Carla Bruni a écrit cinq des onze autres titres. En 2000, l'album s'est vendu à plus de 250 000 exemplaires. En 2002, elle compose, avec l'aide de Louis Bertignac, les paroles et la musique d'un album, Quelqu'un m'a dit. Elle interprète cet album en s'accompagnant en solo à la guitare. Son album est bien accueilli par la critique, et vendu à deux millions d'exemplaires. Elle remporte le prix Raoul-Breton en 2003, décerné par la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem), et récompensant un auteur ou un compositeur de chansons à titre d'encouragement. À l'occasion des Jeux olympiques d'hiver de Turin, en 2006, elle porte le drapeau italien pour le lever des couleurs lors de la cérémonie d'ouverture. Le 15 janvier 2007, elle sort un deuxième album, No Promises, dans lequel elle accompagne sa musique de textes de poètes anglophones, comme William Butler Yeats, W. H. Auden, Emily Dickinson, Christina Rossetti, Walter de la Mare ou encore Dorothy Parker. Ce second opus ne se serait vendu qu'à 80 000 exemplaires en 2007 …../…..
17
Le 11 juillet 2008, sort son troisième album, Comme si de rien n'était, le premier en tant qu'épouse du chef de l'État. Vu la stature particulière de l'artiste, ce dernier album a profité à plein d'une campagne de presse sans précédent. Les ventes sont moindres que celles de l'album Quelqu'un m'a dit : la maison de disques a d'abord annoncé 300 000 ventes en une semaine, au lieu de 85 000, comptabilisant les ventes aux magasins de disques plutôt que les achats effectifs des particuliers>, et en déclare 481 000 au 1er octobre 2010. Selon les annonces de l'artiste, les gains sont reversés à la Fondation de France. Sa chanson Ballade at Thirty-Five, issue de No Promises, fut jouée dans l'épisode final de la saison 5 de la série The L Word. Vie privée Les couvertures de la presse à sensation l'ont montrée en compagnie de plusieurs personnalités : les chanteurs Louis Bertignac, Mick Jagger, Eric Clapton et Jean-Jacques Goldman, le réalisateur Leos Carax, les acteurs Charles Berling et Vincent Pérez, l'avocat Arno Klarsfeld ou encore l'ancien Premier ministre Laurent Fabius,. On lui prête également une relation avec Denis Olivennes avant qu'elle n'épouse Nicolas Sarkozy. Elle confirme le profil « polyandre » que lui prêtent certains médias dans diverses interviews, et se dit ennuyée par la monogamie : « l'amour dure une longue période, mais le désir brûlant, deux à trois semaines. Je suis monogame de temps en temps, mais je préfère la polygamie et la polyandrie ».
18
Alors qu'elle vit avec l'éditeur littéraire Jean-Paul Enthoven, elle entame une liaison avec le fils de celui-ci, Raphaël Enthoven, qui était alors marié avec Justine Lévy. Le 21 juillet 2001, elle met au monde un petit garçon, Aurélien, né de cette relation. En 2004, elle est l'un des personnages du premier best-seller de Justine Lévy Rien de grave. L'auteur, fille de Bernard-Henri Lévy, y expose son important passage à vide et sa période de reconstruction à la suite de son divorce d'avec Raphaël Enthoven, parti avec Carla Bruni. Elle brosse par ailleurs un portrait assez peu flatteur de son ancienne « rivale ».. En novembre 2007, au cours d'un repas organisé par Jacques Séguéla, Carla Bruni fait la connaissance du président de la République française, Nicolas Sarkozy, récemment divorcé, avec qui elle se fiance rapidement. Le 2 février 2008, à 10 h 45, Nicolas Sarkozy, après une réunion de crise portant sur la crise militaire au Tchad, se rend au Salon vert, une petite salle de conférences du premier étage du palais présidentiel de l'Élysée, dans lequel le maire du 8e arrondissement de Paris, François Lebel, marie les deux conjoints. À la même époque, elle se montre également en compagnie de Maurizio Remmert, l'homme qui avait annoncé peu avant être son père biologique. Celui-ci accompagne le président lors d'un voyage officiel en Roumanie en février 2008. Carla Bruni était toujours de nationalité italienne au moment de son mariage. Le 9 juillet 2008, elle déclare avoir obtenu la nationalité française par naturalisation et ne plus être italienne. À la suite d'une blague de Silvio Berlusconi sur Barack Obama, Carla Bruni déclare : « Souvent, je suis très heureuse d'être devenue française ! ». Elle a fait plusieurs déclarations contradictoires quant au fait qu'elle ait la double nationalité ou uniquement la nationalité française.
19
Engagement social Carla Bruni à une réception avec les Français de Shanghaï, le 30 avril 2010.Dans le domaine caritatif et humanitaire, Carla Bruni-Sarkozy s'engage dans la lutte contre le sida, et devient notamment, le 1er décembre 2008, à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, « ambassadrice mondiale pour la protection des mères et des enfants contre le HIV » auprès du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. En avril 2009, elle crée la Fondation Carla-Bruni-Sarkozy, destinée à promouvoir l'accès à la culture et à la connaissance pour tous. En novembre 2009, un premier programme de sa fondation est mis en place : il propose d'éveiller des jeunes aux disciplines artistiques. Dans une lettre d'appui à l'association People for the Ethical Treatment of Animals (PETA), elle a également clairement exprimé son opposition au port de la fourrure. Le 19 février 2010, Carla Bruni lance le premier programme « illettrisme » de sa fondation, en allant rendre une visite surprise à des acteurs de terrain dans le Maine-et-Loire. Sa fondation annonce alors un appel à projets associatifs – à hauteur de 1,5 million d’euros sur trois ans, destinés à des familles qui n’ont pas les moyens « d’acheter des livres, de participer à des activités culturelles ou de loisirs ». Au lieu d'une grande sortie médiatique, elle choisit, lors de sa visite, de n'être accompagnée que d'un journaliste et d'un photographe du quotidien Ouest-France. D'une façon plus générale, Carla Bruni-Sarkozy participe ou soutient également diverses actions ponctuelles en tous genres. Elle a reversé les droits perçus pour son album Comme si de rien n’était à la Fondation de France, fit de même au profit des Restos du Cœur avec les 60 000 euros de dommages et intérêts reçus de la compagnie Ryanair, et apporte son soutien à différentes causes ou actions, comme la campagne Born HIV free visant à éradiquer la transmission du virus par la mère à l'enfant, mais aussi la défense des animaux en étant la marraine d’un ours des Pyrénées, la Fondation Nelson Mandela lors d’un concert avec Stevie Wonder et Aretha Franklin, l’association Warchild UK en reprenant une chanson de David Bowie, les jeunes artistes avec un duo en compagnie de Marc Lavoine lors du Prix Constantin 2010, l’association Aides en soutenant l’album de duos de Jean-Pierre Danel au profit de la lutte contre le sida, l’association La Chaîne de l'espoir, en vendant un autoportrait au profit des enfants du tiers-monde, ou encore en prenant cause pour l'Iranienne Sakineh Mohammadi- Ashtiani, condamnée à mort par lapidation.
20
Dans une interview accordée à Nice-Matin le 14 juillet 2011, elle confirme sa grossesse, évoquée par les médias depuis plusieurs mois, la qualifiant de bonheur « inattendu et inespéré ». Le 19 octobre 2011, elle accouche d'une fille prénommée Giulia à la clinique de la Muette à Paris Épouse de Nicolas Sarkozy Carla Bruni-Sarkozy avec les épouses des dirigeants des pays du G20, en 2009.En tant qu'épouse du président de la République, « Première dame de France », elle dispose d'un bureau dans l'aile est du palais de l'Élysée, dite « aile de Madame », en prolongement des appartements privés et donnant sur le parc, ainsi que d'un secrétaire particulier. Bien que n'ayant pas de rôle constitutionnellement défini, elle a, comme la plupart de ses prédécesseurs, assisté son époux ou l'a représenté dans un certain nombre d'obligations officielles. Elle l'a ainsi déjà accompagné dans plusieurs visites d'État, notamment lors d'une visite au Royaume-Uni où sa présence a été très médiatisée. Elle a également représenté Nicolas Sarkozy lors de la visite du Dalaï-Lama en France en août 2008 en le rencontrant au temple Lérab Ling dans l'Hérault. Carla Bruni-Sarkozy est allée au Burkina Faso et au Bénin comme ambassadrice pour le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Le 29 décembre 2009, Alain Joyandet, secrétaire d'État à la Coopération, la remercie pour son action « décisive » dans la libération de Sarah Zaknoun et Céline Faye. Ces deux Françaises, condamnées à huit ans de prison en République dominicaine pour trafic de drogue, ont été graciées au bout de 18 mois par le président Fernández ; elles ont toujours clamé leur innocence. Le 24 août 2010, elle écrit une lettre pour soutenir la libération d'une Iranienne condamnée à mort, Sakineh Mohammadi Ashtiani. Les insultes d'un quotidien iranien contre elle ont suscité l'indignation du quai d'Orsay et du ministre des affaires étrangères italien, tandis que le porte-parole du ministre des affaires étrangères d'Iran affirmait son désaccord avec le titre de presse. En 2010, le magazine Forbes la classe 35e des femmes les plus puissantes du monde. L'année suivante, le magazine américain Vanity Fair la désigne « femme la mieux habillée au monde », devant Kate Middleton notamment. …../…...
21
Opinions politiques L'opinion politique de Carla Bruni a fluctué au fil des années : si elle se définit comme une femme de gauche jusqu'à 2009, la « première dame de France » revient sur ses idées en 2010 pour défendre l'action de Nicolas Sarkozy et celle de l'UMP. Lors de l'élection présidentielle française de 2007, Carla Bruni, qui possède alors la nationalité italienne, ne peut voter. Elle affirme néanmoins qu'elle aurait fait le choix de Ségolène Royal, moins pour son programme ou sa personnalité que par tradition familiale. Interviewé par le journal britannique The Sunday Herald, Carla Bruni déclare : « Mes parents ont eux aussi toujours voté à gauche. C'est une tradition. Je ne voterai jamais à droite ». Se positionnant par la suite contre l'utilisation des tests ADN pour le regroupement familial, elle déclare : « Je ne suis pas une politique, je n’ai pas forcément un esprit polémique, je signe rarement des pétitions, et je ne crie pas sur les toits pour qui je vote. » En juin 2008, Carla Bruni déclare au journal Libération être « épidermiquement de gauche » avant de préciser, le mois suivant sur France Inter : « Je comprends absolument toutes les réactions, et c'est en cela que je me sens une femme de gauche, dans la liberté que j'accorde aux autres. ». Interrogé sur Canal + sur la même question de son engagement politique, Carla Bruni réitère ses déclarations. En janvier 2009, la « première dame de France » déclare au journal Le Point : « Je suis de gauche, mais je ne le revendique pas comme une provocation vis-à-vis de la majorité de mon mari, ni comme une militante. ». Le journal Le Monde y voit le premier signe d'un changement, alors que Nicolas Sarkozy doit faire face à une baisse significative de sa popularité dans les sondages. En juin 2009, Carla Bruni laisse entendre qu'elle votera pour l'UMP aux élections européennes organisées la même année. En janvier 2011, elle déclare au Parisien : « J'ai fait partie d'une communauté d'artistes. On était bobo, on était de gauche mais, à ce moment-là, je votais en Italie. Je n'ai jamais voté pour la gauche en France, et je vais vous dire, ce n'est pas maintenant que je vais m'y mettre. Je ne me sens plus vraiment de gauche. » Quelques mois plus tard, elle affirme être « ultra-sarkozyste » et « plus du tout, du tout de gauche ». En octobre 2011, Carla Bruni revient sur ses déclarations de mars 2010, au cours desquelles elle affirmait ne pas vouloir que son mari brigue un second mandat, et affirme vouloir, « en tant que citoyenne » et « pour son pays », que son mari soit réélu. Nanou et Stan le 21/09/2016
22
Opinions politiques L'opinion politique de Carla Bruni a fluctué au fil des années : si elle se définit comme une femme de gauche jusqu'à 2009, la « première dame de France » revient sur ses idées en 2010 pour défendre l'action de Nicolas Sarkozy et celle de l'UMP. Lors de l'élection présidentielle française de 2007, Carla Bruni, qui possède alors la nationalité italienne, ne peut voter. Elle affirme néanmoins qu'elle aurait fait le choix de Ségolène Royal, moins pour son programme ou sa personnalité que par tradition familiale. Interviewé par le journal britannique The Sunday Herald, Carla Bruni déclare : « Mes parents ont eux aussi toujours voté à gauche. C'est une tradition. Je ne voterai jamais à droite ». Se positionnant par la suite contre l'utilisation des tests ADN pour le regroupement familial, elle déclare : « Je ne suis pas une politique, je n’ai pas forcément un esprit polémique, je signe rarement des pétitions, et je ne crie pas sur les toits pour qui je vote. » En juin 2008, Carla Bruni déclare au journal Libération être « épidermiquement de gauche » avant de préciser, le mois suivant sur France Inter : « Je comprends absolument toutes les réactions, et c'est en cela que je me sens une femme de gauche, dans la liberté que j'accorde aux autres. ». Interrogé sur Canal + sur la même question de son engagement politique, Carla Bruni réitère ses déclarations. En janvier 2009, la « première dame de France » déclare au journal Le Point : « Je suis de gauche, mais je ne le revendique pas comme une provocation vis-à-vis de la majorité de mon mari, ni comme une militante. ». Le journal Le Monde y voit le premier signe d'un changement, alors que Nicolas Sarkozy doit faire face à une baisse significative de sa popularité dans les sondages. En juin 2009, Carla Bruni laisse entendre qu'elle votera pour l'UMP aux élections européennes organisées la même année. En janvier 2011, elle déclare au Parisien : « J'ai fait partie d'une communauté d'artistes. On était bobo, on était de gauche mais, à ce moment-là, je votais en Italie. Je n'ai jamais voté pour la gauche en France, et je vais vous dire, ce n'est pas maintenant que je vais m'y mettre. Je ne me sens plus vraiment de gauche. » Quelques mois plus tard, elle affirme être « ultra-sarkozyste » et « plus du tout, du tout de gauche ». En octobre 2011, Carla Bruni revient sur ses déclarations de mars 2010, au cours desquelles elle affirmait ne pas vouloir que son mari brigue un second mandat, et affirme vouloir, « en tant que citoyenne » et « pour son pays », que son mari soit réélu. Nanou et Stan le 21/09/2016
Présentations similaires
© 2024 SlidePlayer.fr Inc.
All rights reserved.