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Publié parLucienne Dubois Modifié depuis plus de 8 années
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Leçon 7 pour le 13 août 2016
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Verset à mémoriser : « Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois j’ai voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes ! Mais vous ne l’avez pas voulu. » (Matthieu 23.37.) Étude de la semaine : Jonas 3.4-4.6 ; Luc 19.38-42 ; Matthieu 5.43-47 ; 1 Corinthiens 13 ; Marc 8.22-25 ; Philippiens 2.3-5 ; Jacques 2.14-17.
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Durant son ministère terrestre, Jésus a démontré à plusieurs occasions qu'il se préoccupait sincèrement des personnes. En suivant son exemple, nous devons vivre en aimant.
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« Dieu vit qu'ils agissaient ainsi et qu'ils revenaient de leur voie mauvaise. Alors Dieu renonça au mal qu'il avait parlé de leur faire ; il ne le fit pas. » « Cela fut très mal pris par Jonas, qui se fâcha. » (Jonas 3:10-4:1) Séparés par 800 ans d'histoire, deux messagers (Jonas et Jésus) étaient assis face à une ville à laquelle ils avaient prêché (Ninive et Jérusalem). Remarquez le contraste entre les deux Jonas et Ninive Il ne voulait pas aller à Ninive (Jonas 1.3) Il s'est lamenté sur le repentir des Ninivites (Jonas 1.4) Il n'aimait pas les perdus. Il préférait leur destruction (Jonas 4.2-32-3) Jésus et Jérusalem Il désirait aller à Jérusalem (Luc 9.51) Il a pleuré parce que Jérusalem ne voulait pas se repentir (Luc 13.34, 19.41-44) Il aimait les perdus. Il est mort pour qu'ils ne fussent pas détruits. (Éphésiens 5.2)
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« Cela fut très mal pris par Jonas, qui se fâcha. […] Car je savais que tu es un Dieu clément et compatissant, patient et grand par la fidélité, qui renonces au mal. Maintenant, SEIGNEUR, prends-moi la vie, je t'en prie, car mieux vaut pour moi mourir que vivre. » (Jonas. 4.1-3) Jonas et Ninive « Dans Jonas 4, le prophète Jonas s’assoit à l’est de la grande ville de Ninive. Il a délivré le message de destruction que Dieu lui a confié. Il repense à son périple, à sa réticence à se rendre à Ninive, à ses stratégies de fuite, à l’insistance de Dieu pour ramener Jonas à sa mission, aux trois jours dans le ventre du poisson, et au long voyage par la route depuis la côte. Jésus et Jérusalem Et tout ça pour quoi ? Pour que Dieu change d’avis et déverse sa grâce sur ces gens méprisables ? Les habitants se sont repentis, mais Jonas se sent à présent trahi. Il se sent déshonoré et manipulé. Il avait espéré que la destruction de cette cité païenne de cent vingt mille habitants montre que Dieu préférait son peuple élu et confirme la haine de Jonas pour les Ninivites. » Jonas. 4.10-11 (Guide d’étude de la Bible, p. 46)
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« Cela fut très mal pris par Jonas, qui se fâcha. […] Car je savais que tu es un Dieu clément et compatissant, patient et grand par la fidélité, qui renonces au mal. Maintenant, SEIGNEUR, prends-moi la vie, je t'en prie, car mieux vaut pour moi mourir que vivre. » (Jonas. 4.1-3) Jonas et Ninive « Jonas a obéi à contrecœur à l’ordre de Dieu, se souciant peu du bien des habitants de Ninive. Jésus et Jérusalem ils auraient pu avoir le salut qu’il propose au prix de sa vie.Jésus approche de Jérusalem avec un fardeau sur le cœur : ils auraient pu avoir le salut qu’il propose au prix de sa vie. Matthieu 11.23.37 (Guide d’étude de la Bible, p. 46)
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« Mais je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent » (Luc 6.27) malgré tout Jésus a aimé et a touché le lépreux bien qu'il fût intouchable. Il l'a guéri malgré tout. malgré tout Jésus a aimé Pierre bien qu'il l’avait renié trois fois. Il lui a pardonné malgré tout. malgré tout Paul a servi à l'église de Corinthe bien que celle-ci ne reconnût pas son autorité. Il a continué de les avertir malgré tout. Bien que malgré tout Bien que nous puissions trouver beaucoup d'excuses pour ne pas aimer ou aider quelqu'un, nous sommes appelés de le faire malgré tout. Aimer et aider ceux qui nous haïssent ; ceux qui nous semblent méprisables ; ceux qui nous sont indifférents ; … Ce genre d'amour est une manifestation de l'amour de Dieu qui habite en nous.
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« Mais je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent » (Luc 6.27) Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, vous aussi faites-le de même pour eux. « La règle établie par le Christ, qui nous maintiendra debout ou nous fera tomber au jour du jugement, c’est : Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, vous aussi faites-le de même pour eux. ». (E. G. White, Jésus-Christ, p. 643) « Cette « règle d’or » est fondamentale si l’on veut avoir dans notre ministère une mentalité qui pense d’abord à ce qui est bon pour ceux que nous servons, au lieu de penser à nos propres intérêts. » (Guide d’étude de la Bible, p. 47)
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« L'amour ne succombe jamais. » (1 Corinthiens 13.8) Jésus a insisté pour que nous aimions Dieu par-dessus toutes choses et notre prochain comme nous-mêmes (Matthieu 22.37-39). La vie de Jésus a été une expression de l'amour sans condition. Jésus a reflété ainsi le caractère de Dieu (1 Jean 4.8) et nous a donné un exemple à suivre. Cependant, l'histoire nous démontre que les chrétiens n’ont pas toujours su rester dans l'amour. En réalité, à plusieurs occasions, les chrétiens eux-mêmes ont tué leurs propres frères. Ceux qui restent en Dieu doivent rester dans son amour pour toujours. Il n'y a de rien de plus puissant pour attirer les personnes à la vérité que l'amour de Christ exprimé dans nos vies.
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« L'aveugle leva les yeux et dit : « Je vois des gens, je les vois comme des arbres, mais ils marchent. » (Marc 8.24) Jésus a guéri l'aveugle, mais celui-ci ne pouvait pas distinguer encore avec clarté. Après un second contact, il a pu voir "tout de loin et clairement" (Marc 8.25) Dans l'église, il existe aussi une cécité spirituelle partielle. Il y a des chrétiens qui voient les autres "comme des arbres". Des objets qu’ils ne peuvent pas aimer et dont ils sont incapables de distinguer les besoins. Ils ont besoin que Jésus les touche une deuxième fois pour tout voir plus clairement et pour arriver à aimer les autres comme Jésus les a aimés.
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« Ne faites rien par esprit de rivalité ou par désir inutile de briller, mais, avec humilité, considérez les autres comme supérieurs à vous- mêmes. Que personne ne recherche son propre intérêt, mais que chacun de vous pense à celui des autres. Comportez-vous entre vous comme on le fait quand on connaît Jésus-Christ » (Philippiens 2.3-5) Jésus ne se souciait pas de changer ses plans ou de les abandonner si cela représentait un bénéfice pour quelqu'un (Marc 5. 21-43).
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« Ne faites rien par esprit de rivalité ou par désir inutile de briller, mais, avec humilité, considérez les autres comme supérieurs à vous-mêmes. Que personne ne recherche son propre intérêt, mais que chacun de vous pense à celui des autres. Comportez-vous entre vous comme on le fait quand on connaît Jésus-Christ » (Philippiens 2.3-5) Nous sommes invités à ne pas regarder à nous-mêmes, mais à être toujours prêts à servir les autres (bien que ceci puisse nous incommoder). S’il y a en nous " les dispositions qui sont en Jésus-Christ " (Philippiens 2.5), nous aimerons comme Jésus a aimé. Sans conditions. Indépendamment de notre propre confort. Cherchant humblement le bien des autres. Notre église se sentirait-elle heureuse si elle devait changer ses plans en raison de la présence inespérée d'un intéressé, ou si elle devait s'occuper des besoins de quelqu'un d’extérieur ?
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« Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, dit-il, si je n'ai pas la charité, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas la charité, cela ne me sert de rien. » « Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, dit-il, si je n'ai pas la charité, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas la charité, cela ne me sert de rien. » « Puis, en des termes qui, depuis l'époque de l'apôtre jusqu'à nos jours, ont été une source d'inspiration et d'encouragement pour le croyant, Paul montre l'importance de l'amour qui devrait être recherché par les disciples du Christ : 1 Corinthiens 13.1-3 Si noble que soit sa profession de foi, un chrétien dont le cœur ne déborde pas d'amour pour Dieu et ses semblables n'est pas un vrai disciple du Christ. (E. G. White, Conquérants pacifiques, p.282.)
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« Quand Jésus était sur cette terre, il n’a pas pensé à lui. Son programme consistait à faire du bien aux autres. Une grande partie de son ministère a consisté à répondre aux interruptions, comme lorsque Jaïrus l’a interrompu en lui demandant de venir en hâte chez lui pour guérir sa fille mourante. Cette interruption a été à son tour interrompue par une femme qui avait des saignements depuis douze ans (Marc 5.21-43). L’église de Christ est son cœur et ses mains sur terre. Jésus aimait les gens plus que tout, et une église qui est vraiment la sienne en fera autant. » (Guide d’étude de la Bible, p. 49.) JE MÉDITE
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