RAPPEL SUR LES BASES DE DONNÉES, LE SQL 1 er trimestre V1.0 06/01/2015.

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1 RAPPEL SUR LES BASES DE DONNÉES, LE SQL 1 er trimestre V1.0 06/01/2015

2 2 Bonne année 2015. Qu’elle vous soit prospère et rempli de réussite. Que vous méttiez toutes vos forces et volonté à concrétiser vos projets.

3 Quizz Quelles sont les différences entre la Gestion de fichiers et la Gestion de base de donnée ? 3 La problématique de la Gestion de Fichier :  Difficultés de gestion  Incohérence des données  Coûts élevés  Maintenance difficile  Gestion de pannes ???  Partage des données ???  Confidentialité ??? La Gestion de fichier sous attends : Plusieurs applications  plusieurs formats  plusieurs langages Redondance de données Pas de facilité d’interrogation  Question  développement Redondance de code La Gestion de base de données:  Enregistrement sur des supports accessible depuis un ordinateur  Ensemble de données structurées reliées entre elles de façon logique  Maintenance et solution de panne.  Accès simultanés de plusieurs utilisateurs  Définitions des droits d’accès.

4 4 La Gestion d’une base de données nécessite d’utiliser un modèle de Base de données: Quel sont les 3 types de Modèle de données déjà étudié ? Permet de schématiser des donnés abstraites Universel pour la conception de BD, représente la structure des objets ou entité (voiture,marque, livre, auteur,,commande, facture,.. ). Représentation graphique qui facilite la compréhension Le modèle E/A est utilisé dans la plupart des méthodes d'analyse/conception : OMT, CASE, MERISE, etc.g Ou Schéma logique qui représente par ces RELATIONS, LE SCHÉMA RELATIONNEL. qui lui-même est l'ensemble des RELATIONS qui modélisent le monde réel. Chaque objet sera modélisé avec ses dépendances et contraintes : Ex: un auteur écrit un ou plusieurs livres. Une marque se compose de plusieurs type de véhicules Cette étape consiste à implémenter le modèle dans le SGBD, c'est-à-dire le traduire dans un langage de définition de données.langage de définition de données Le langage généralement utilisé pour ce type d'opération est le SQL, et plus spécialement le langage de définition de données du SQL.SQL Modèles conceptuels : Entité-association,UML.. Modèles logiques : Modèle relationnel Modèles physiques :

5 5 Qu’est ce qui compose la structure ou architecture d’une base de données relationnelles ? Les données (le schéma logique) sont représentées dans une table Attribut : nom donné à une colonne d'une table (exemple nom, prénom, etc.). Tuples : lignes de la table qui comportent des attributs.

6 Quelles contraintes structurelles le modèle relationnelles imposent ?  Les contraintes d’intégrités : 6 INTÉGRITÉ DE DOMAINE INTÉGRITÉ DE RELATION INTÉGRITÉ RÉFÉRENCIELLE Les valeurs d'une colonne de relation doivent appartenir au domaine correspondant. On ne mélange pas les torchons et les serviettes. Les valeurs de clés primaires doivent être : - Uniques (la plus part du temps AI Auto incrémenté) - non NULL  Unicité de clé  Unicité des n-uplets (des lignes) Relations dépendantes Vérifier que l'information utilisée dans un tuple de l table 1 pour designer un autre tuple de la table 2 est valide et qu’il existe bien. L’attribut désigné comme clé étrangère est la seule valeur que peut prendre celui-ci,dans ce tuple sont ceux qui sont déjà saisis dans la table dont il fait référence.

7 Quel est l’intérêt d’étudier les dépendances fonctionnelles entre les données ? Pour éviter les anomalies de mise à jour, les anomalies remettent en cause la cohérence de la base de données. 7 Une anomalie de mise à jour représente une difficulté dans la gestion d'une base de données. Elle provient généralement d'une relation qui possède deux attributs X et Y fonctionnellement dépendants, sans que X soit une clé de la relation. Anomalie d'insertion. On ne peut pas mémoriser une nouvelle dépendance entre les valeurs de X et Y sans créer un nouveau n-uplet de la relation. Anomalie de suppression. On ne peut pas supprimer un dernier n-uplet avec certaines valeurs pour X sans perdre l'information de dépendance qui est stockée dans ce n- uplet. Suppression d’uplet entraine la rupture d’une relation. Anomalie de modification. On ne peut pas changer une dépendance sans changer les n- uplets de la relation. Modification en cascade

8 Quel est l’objectif de la normalisation ? 1. L’objectif de la normalisation est d’éliminer toute anomalie en évitant la présence de dépendances fonctionnelles redondantes. 2. La normalisation est donc l’opération qui permet de transformer un schéma relationnel composé de relations non normalisées en un autre schéma relationnel composé de relations en 3FN afin d'éviter toute redondance et anomalie de mise à jour. 8 Principe de normalisation : Relation en première forme normale (1FN). C’est une relation dont aucun attribut n’est lui-même une relation. Relation en deuxième forme normale (2FN) : c’est une relation en 1FN dont tous les attributs non clés dépendent pleinement de la clé. Relation en troisième forme normale (3FN). C’est une relation en 2FN dont toute dépendance fonctionnelle est directe. Il ne peut y avoir de dépendance entre deux attributs non clés Toute relation en 2FN peut être décomposée en plusieurs relations en 3FN. https://www.youtube.com/watch?v=HRMO_sn9sJM

9 Qu’est ce que le SQL ? Le SQL est le Language de définition de données. LDD. c'est-à-dire qu'il permet de créer des tables dans une base de données relationnelle, ainsi que d'en modifier ou en supprimer la structure ou les données. 9 La créationLa modification La suppression TABLE VUES Champs CREATE TABLE T_service ( NumService smallint not null, NomService varchar(25), Lieu varchar(20); CREATE VIEW Meilleur_ employe_du_labo AS SELECT * FROM T_EMPLOYE WHERE nom_service = « laboratoire »; DROP TABLE T_LABO; DROP VIEW Meilleur_employe_du_mois; RENAME T_service TO T_LABO; ALTER VIEW Meilleur_employe-du_labo TO Meilleur_employe_du_mois; ALTER TABLE nom_table RENAME ancien_nom_champ TO nouveau_nom_champ; ALTER TABLE nom_table ADD COLUMN nom_champ Type_donnée ; ALTER TABLE nom_table DROP COLUMN nom_champ; La suppression d’un champ n’est possible que si le champ ne fait pas l’objet d’une contrainte d’intégrité

10 Les contraintes et clés uniques CREATE TABLE service ( NumService smallint not null, NomService varchar(25), Lieu varchar(20) PRIMARY KEY (NumService)); 10 Les contraintesClé primaire Clé étrangère CREATE TABLE T_employe ( NumEmploye smallint not null, NomEmploye varchar(25), NumServiceEmploye smallint, FOREIGN KEY (NumServiceEmploye) REFERENCES T_service (NumService) ); ALTER TABLE nom_table DROP CONSTRAINT nom_contrainte; La modification d’une table est soumise à l’intégrité référentielle qui définit les relations entre les tables à travers les références des clés étrangères aux clés primaires.

11 Qu’est ce que le LMD en SQL ? 11 Le SQL est le Language de modification de données. cela signifie qu'il permet de sélectionner, insérer, modifier ou supprimer des données dans une table d'une base de données relationnelle. INSERT INTO clientRHONE SELECT * FROM T_client WHERE cpsal like « 69* »; InsertionModification Suppression UPDATE T_service SET lieu = « Laval » WHERE NumService = 10; DELETE FROM T_employe WHERE NumServEmploye = 1;

12 Qu’est ce que le LCD en SQL ? 12 Le SQL est le Language de contrôle des données. cela signifie qu'il est possible avec SQL de définir des permissions au niveau des utilisateurs d'une base de données. On parle de LCD (Data Control Language). GRANT INSERT, SELECT ON T_service TO lucie; Attribution de permission REVOKE liste_permission ON liste_objet FROM liste_utilisateur; Révocation de permission Les bases de données comptent souvent plusieurs utilisateurs pouvant y accéder simultanément. Ils n’ont pas forcément le même besoin. Il existe un administrateur (root) qui a tous les droits sur tous les éléments et qui doit aussi gérer les privilèges en fonction des besoins de chacun.

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