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7 « La priorité, cest la réduction des déficits. Cela passe par une forte réduction des dépenses, mais aussi par une hausse des recettes pour conduire à léquilibre dans deux ans. » Jacques Chirac 1995 De 1995 à 1997, la dette publique est passée de 55,5% à 59,5% du produit intérieur brut. 7

8 « Nous prenons lengagement de réduire la dette et de réduire le déficit pour quau terme de ces cinq ans on parvienne en France à un budget qui soit équilibré. »Thierry Breton, ministre de léconomie de Jean Pierre Raffarin. Entre 2002 et 2007, la dette publique sest envolée de 912 à 1 211 milliards deuros. 8

9 « Lobjectif que Nicolas Sarkozy sest fixé, cest de ramener la dette au dessous de 60% du PIB en cinq ans, ce que nous réussirons à faire et ce que nous mettra parmi les pays les plus vertueux. »François Fillon en 2007. Entre 2007 et 2012, les 1211 milliards duros dépasseront en 2012 les 1700 milliards duros soit 85% du PIB. 9

10 + 500 milliards dEuro. + 7 700 de plus par habitant Soit 26 000 par habitant (nouveau né compris). 10

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12 En dix ans, de 1999 à 2008, la part du secteur manufacturier rétrécit de 22% de la valeur ajoutée à 16%. En cumul, cette même valeur ajoutée industrielle ne gagne que 4,3% en France en dix ans contre 16,5% en Allemagne, quand les marges chutent de 5,4% contre un gain de 9,5% outre-Rhin, quand la R&D ne pèse que 6,6% du PIB contre 9,9% en Allemagne. 12

13 Aux Etats-Unis, la part de l'industrie dans la valeur ajoutée nationale doit se situer tout juste au-dessus des 10 %. En Europe, la moyenne est à 22,4 %, grâce notamment à la performance allemande (30 % de la valeur ajoutée nationale dus à l'industrie) et en dépit des très mauvaises notes de la France et de la Grande-Bretagne - toutes deux à 16 %. 13

14 Conséquences du choix anti-industriel sur les inégalités: la France a conservé plus d'emplois peu qualifiés que le reste de l'Union, mais créé beaucoup moins d'emplois «intermédiaires» (0,8% contre 2,9% de 1996 à 2005). 14

15 Nombre de demandeurs d'emploi en fin d'année 15

16 La part du salaire représente 33 % du revenu des 10 % des ménages les plus modestes contre 76 % de celui des 20 % des plus aisés. Les revenus du patrimoine constituent 29 % des ressources des 10 % les plus riches. 16

17 Entre 2004 et 2010, les 10 % les plus fortunés ont vu leur patrimoine moyen augmenter de 400 000 euros. Les 10 % les moins fortunés ont gagné 114 euros... 17

18 Les délocalisations ont représenté entre 10 et 20 % des pertes d'emplois dans l'industrie française entre 1995 et 2001, et plus de la moitié d'entre elles se sont faites vers des pays développés, une tendance qui plus récemment s'atténue au profit des pays émergents. 18

19 Sur la base de données produite par l'Insee, une étude de la Direction générale du Trésor et de la Politique économique (DGTPE) note qu'en moyenne, 13.500 emplois industriels français ont été délocalisés chaque année entre 1995 et 2001, un chiffre passant à 15.000 par an entre 2000 et 2003. 19

20 Au 31 décembre 2010, les effectifs de la CMU sont estimés à 4 319 165 bénéficiaires. Cette évolution a été régulière sur lensemble de lannée et traduit les effets retard de la crise économique. Le régime général, compte 91,1 % des effectifs de la CMU. En métropole, les bénéficiaires de la CMU représentent 5,8 % de la population et 30,8 % dans les départements dOutre-mer. Les bénéficiaires de moins de 20 ans représentent 44,3 % des effectifs. 20

21 La France. 61% des sondés déclaraient que 2011 serait une année de difficultés économiques, largement plus que les Britanniques (52%), les Espagnols (48%) ou les Italiens (41%). Dans tous les domaines, la sinistrose est une spécialité française, au même titre que le cassoulet, la Tour Eiffel ou la Sécurité sociale. 21

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