La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Réalisé par Mohamed Amine Tmimi Encadré par Mr . ziyani .

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Réalisé par Mohamed Amine Tmimi Encadré par Mr . ziyani ."— Transcription de la présentation:

1 Réalisé par Mohamed Amine Tmimi Encadré par Mr . ziyani .
Le siécle de lumiére Réalisé par Mohamed Amine Tmimi Encadré par Mr . ziyani .

2 plan I)-introduction : II)-Définition:
III) les evenements essentiels de le siécle de lumiére IV)- contexte spatio-temporel : V)-Situation Sociopolitique VI)-Révolution dans les sciences et programme de la philosophie des Lumières 1)-Évolution de la réflexion scientifique 2)- Liberté individuelle et contrat social 3)- Idéal du philosophe 4)- Idéal encyclopédique : tout connaître 5) se libérer de l’autorité religieuse : VII) philosophe de la lumiére : VIII) la face obscure de siécle des lumiéres :

3 Introduction Le siècle des Lumières est sans doute le siècle le plus dense, le plus révolutionnaire, le plus novateur dans tous les domaines qui soient : sciences, littérature, arts musicaux, picturaux, architecturaux, vie en société, économie, instruction, etc.   Découvrir ce siècle c'est découvrir les raisons pour lesquelles la France était prise en modèle dans l'Europe entière, c'est comprendre le formidable souffle qui a conduit tout un peuple à la Révolution. Ce siècle a connu les plus grands hommes, les plus grands penseurs, encore très présents aujourd'hui : Voltaire, Rousseau, Diderot, Montesquieu, Beaumarchais, Marivaux, et tant d'autres!

4 Les evenements essentiels de siécle des lumieres
Les événements qui délimitent le siècle des lumières sont la mort de Louis XIV, en 1715, et le coup d'état perpétré par Napoléon Bonaparte, le 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799), annonciateur de l'empire. Entre ces deux extrêmes, le siècle se décompose en plusieurs temps : d'abord la régence ( ), puis les règnes de Louis XV ( ) et de Louis XVI ( ), enfin la révolution française ( ). La France, qui est alors le pays le plus peuplé d'Europe, connaît, pendant près de quatre-vingts ans, la paix intérieure et la prospérité économique. A mesure que l'esprit philosophique se développe, dans les salons, les cafés ou les club, l'autorité monarchique se dissout, sapée par des tentatives de réformes sans lendemain, comme par l'opposition aristocratique. Forte de sa puissance financière, la bourgeoisie d'affaires manifeste son désir d'annexer le pouvoir politique, ambition qui se concrétisera à partir de 1789. Dans le domaine des arts, Louis XIV vieillissant voulait "de l'enfance répandue en toutes choses". Sous la régence, cette tendance à la légèreté s'accentue. Elle s'épanouit pendant le règne de Louis XV. Le goût de l'élégance, du confort, et des beaux objets se répand jusque dans les rangs de la bourgeoisie. Mais, dans la seconde moitié du siècle, les philosophes s'insurgent contre les tendances libertines de la société, auxquelles ils associent le style rocaille. Ils prônent un retour aux vertus de la rome antique républicaine qui deviendront en grande partie l'idéal révolutionnaire.

5 Définition « Les Lumières » est un terme qui désigne un mouvement culturel et philosophique qui émerge d'abord en Écosse avant de se propager dans toute l'Europe, et notamment en France, au XVIIIe siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom de Siècle des lumières. Ce nom est notamment tiré de la volonté des philosophes européens du XVIIIe siècle de combattre les ténèbres de l'ignorance par la diffusion du savoir. L'Encyclopédie, dirigée par Diderot et d'Alembert, est le meilleur symbole de cette volonté de rassembler toutes les connaissances disponibles et de les répandre auprès du public – d'un public éclairé.    Ce mouvement, qui connut une intensité plus marquée en France, en Angleterre et en Allemagne, est né dans un contexte technique, économique et social particulier : ascension de la bourgeoisie, progrès des techniques, progrès de l'organisation de la production et notamment des communications, progrès des sciences souvent appliquées au travail des hommes.    Confiants en la capacité de l'homme de se déterminer par la raison, les philosophes des Lumières exaltent aussi la référence à la nature et témoignent d'un optimisme envers l'histoire, fondé sur la croyance dans le progrès de l'humanité. L'affirmation de ces valeurs les conduit à combattre l'intolérance religieuse et l'absolutisme politique.

6 Contexte Spatio-temporel
Le siècle des Lumières débuta en principe au lendemain de la mort de Louis XIV, en 1715, et prit fin à l’avènement de la Révolution française en Cette période se caractérise, d'une part, par un fort mouvement de remise en question ainsi que par l'établissement d'une plus grande tolérance et, d'autre part, par l'affaiblissement de la monarchie, suivi de la fin de la suprématie française en Europe et du début de la prépondérance anglaise. Des personnalités comme Voltaire, J.-J. Rousseau, B. Franklin ,Montesquieu , ont certainement marqué leur époque de même que Frédéric II de Prusse, Lavoisier, Diderot et Goethe.

7 Situation sociopolitique
La situation politique et sociale tendit à se modifier en France et ailleurs en Europe en ce début du XVIIIe siècle. Sur le plan intérieur, la situation financière était devenue catastrophique sous les règnes du régent Philippe d'Orléans, de Louis XV et de Louis XVI; ces rois réputés faibles, aux prises avec un régime de fêtes et d'intrigues de cour, ne purent faire face aux difficultés financières croissantes, qui aboutiront à l'impasse et susciteront le rejet du peuple envers la monarchie. Parallèlement, la bourgeoisie riche et aisée poursuivit son ascension irréversible, devint une force politique et s'exprima publiquement. La monarchie et la noblesse n'étaient plus qu'une façade sans crédibilité. Le règne de la bourgeoisie financière, commerçante et manufacturière commença.

8 Révolution dans les sciences et programme de la philosophie des Lumières

9 Évolution de la réflexion scientifique
Fragment du frontispice de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert : on y voit la Vérité rayonnante de lumière ; à droite, la Raison et la Philosophie lui arrachent son voile (peint par Charles Nicolas Cochin et gravé par Benoît-Louis Prévost en 1772. Le mouvement des Lumières a été, en grande partie, un prolongement des découvertes de Copernic au XVIe siècle, peu diffusées de son vivant, puis surtout des théories de Galilée ( ). Une quête d’axiomes, de certitudes éprouvées, se poursuivit dans le mouvement du cartésianisme tout au long du XVIIIe siècle. Leibniz ( ) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de Descartes. Les philosophes britanniques, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique . Il se démarqua pourtant de son aîné dans son Traité de la réforme de l'entendement (Tractatus intellectus amendatione), où il montra que le processus de perception engage non seulement la raison, mais aussi les sens et l’intuition. La conception de Spinoza était centrée sur une vision de l’Univers où Dieu et la Nature ne font qu’un. Cette idée deviendra centrale au siècle des Lumières , depuis Isaac Newton ( ) jusqu’à Thomas Jefferson ( ).

10 Liberté individuelle et contrat social
Cette constance à rechercher et énoncer des lois, à déterminer les comportements particuliers, fut également un élément important dans la constitution d’une philosophie où le concept d’individualité prévalait, en somme où l’individu avait des droits basés sur d’autres fondements que la seule tradition. On parle alors d’avènement du sujet pensant, en tant que l’individu peut décider par son raisonnement propre et non plus sous le seul joug des us et coutumes. Ainsi, John Locke rédigea ses deux Traités du gouvernement civil dans lequel il avance que le droit de propriété n’est pas familial, mais totalement individuel et retiré du travail consacré au terrain concerné, ainsi que de sa protection face à autrui. Une fois l’idée émise qu’il y avait des lois naturelles et des droits naturels, il devenait possible de s’aventurer dans les domaines nouveaux qu’on appelle maintenant l’économie et la philosophie politique. Dans son célèbre essai Was ist Aufklärung?, Emmanuel Kant donne des Lumières la définition suivante : « Les Lumières c’est la sortie de l’homme hors de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable. L’état de tutelle est l’incapacité de se servir de son entendement sans la conduite d’un autre. On est soi-même responsable de cet état de tutelle quand la cause tient non pas à une insuffisance de l’entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s’en servir sans la conduite d’un autre. Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Tel est la devise des Lumières. »

11 Idéal du philosophe La figure idéale des Lumières est le philosophe, homme de lettre avec une fonction sociale qui exerce sa raison dans tous les domaines pour guider les consciences, prôner une échelle de valeurs et militer dans les problèmes d’actualité. C’est un intellectuel engagé qui intervient dans la société , un « honnête homme qui agit en tout par raison » (Encyclopédie), « qui s’occupe à démasquer des erreurs » (Diderot). Le rationalisme des Lumières n’exclut en aucun cas la sensibilité. Raison et sentiment dialoguent au sein même de la philosophie des Lumières. Les penseurs des Lumières peuvent être capables de rigueur intellectuelle mais aussi de sensibilité.

12 Idéal encyclopédique : tout connaître
Cette époque cultive un goût particulièrement prononcé pour les écrits totalisants qui rassemblent l’ensemble des connaissances de leur temps, les bilans généraux du savoir. Cet idéal va trouver sa réalisation dans l'Encyclopédie de Diderot et D’Alembert, publiée entre 1750 et 1770, dont le but était de sortir le peuple de l’ignorance par une diffusion très large du savoir.

13 Se libérer de l’autorité religieuse
La tutelle sous laquelle vivaient les hommes avant les Lumières était, en tout premier lieu, de nature religieuse. C'est donc à la religion que vont s'adresser les critiques les plus nombreuses, visant à rendre possible la prise en main par l'humanité de son propre destin. Il s'agit pourtant d'une critique ciblée : ce qu'on rejette, c'est la soumission de la société ou de l'individu à des préceptes dont la seule légitimité vient de ce qu'une tradition les attribue aux dieux ou aux ancêtres. Ce n'est plus l'autorité du passé qui doit orienter la vie des hommes, mais leur projet d'avenir. Rien n'est dit en revanche de l'expérience religieuse elle-même, ou de l'idée de transcendance, ou de telle doctrine morale portée par une religion particulière. La critique porte sur la structure de la société, non sur le contenu des croyances. La religion sort de l'État sans pour autant quitter l'individu. Le grand courant des Lumières va se réclamer, non de l'athéisme, mais de la religion naturelle, du déisme, ou d'une de leurs nombreuses variantes. L'observation et la description des croyances du monde entier, à laquelle vont se livrer les hommes des Lumières, n'ont pas pour but de récuser les religions, mais de conduire à une attitude de tolérance et à la défense de la liberté de conscience.

14 Philosophes de la lumiére
1) leur combat : la philosophie des Lumières, on peut dire qu'elle repose sur les valeurs de liberté, de tolérance et de justice. Ce mouvement de la pensée du XVIIIe siècle trouve ses racines dans la raison et les sciences. Les principes ne doivent pas être établis sur des a priori mais être issus d'une démarche utilisant les méthodes scientifiques. Les philosophes des Lumières avaient donc tous pour but d'éclairer, d'où leur nom, l'esprit humain et la pensée de leurs contemporains par la raison. Cependant, leurs idées différaient sur certains points.(politique science et …)

15 2)l’inflution des philosophes sur le siecles des lumiére :
Voltaire et Jean-jaques rousseau et autre philosophe ont été utile Ils ont conduit d'une part à l'abolition de la torture et de l'esclavage et d'autre part ont aidé à la révolution française. Même si cette dernière fut un épisode de chaos pendant lequel ont été commises des dizaines de milliers d'exécutions arbitraires et de crimes, elle a mis fin à l'absolutisme et permis, à terme, une plus grande équité dans la société française. Les philosophes des Lumières sont donc en partie à l'origine de la devise actuelle de la France : « Liberté, Égalité, Fraternité ».

16 La face onbcure de siécle de lumiere


Télécharger ppt "Réalisé par Mohamed Amine Tmimi Encadré par Mr . ziyani ."

Présentations similaires


Annonces Google