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L'abécédaire de la Grande Guerre 3°A Lucie Goyer Maëlle Bouquet.

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1 L'abécédaire de la Grande Guerre 3°A Lucie Goyer Maëlle Bouquet

2 Sommaire : « Automutilation » « Destruction » « Hommage » « Chanson »

3 « Automutilation » Image tirée du film « Les sentiers de la Gloire Pour pouvoir rentrer chez eux, les soldats se mutilaient de différentes façons : par exemple, ils se brûlaient la main sur un canon chaud ou même se tiraient une balle dans la main ou le pied avec un fusil ou un revolver. Mais les armes à feu laissent des traces de brûlure de poudre : les soldats étaient alors démasqués chez le docteur et avaient une sanction. Il y avait plusieurs possibilités de sanction telles que : les soldats étaient amenés sur le « no man's land », attachés à un piquet avec un bandeau placé sur le cœur : ainsi les soldats ennemis pouvaient le tuer plus facilement. Un second : les mutilés allaient sous ordre du commandant en première ligne. Un troisième : les mutilés étaient fusillés par des soldats de leur régiment. Sur cette oeuvre nous pouvons voir trois hommes ligotés à des poteaux. Le premier, à gauche, est suspendu à deux poteaux contraitement à celui du milieu et celui de droite qui sont juste ligotés au poteau par les mains. Le condamné du milieu a les yeux bandés pour ne pas voir le moment de sa mort. Un homme à sa gauche vêtu d'une longue tenue et d'un chapeau noir, tient une sorte de petit carnet entre ses mains renferment certainement l'identité des hommes prêt à être exécutés. L'oeuvre dénonce les peines d'éxécution pour les automutilations.

4 « Destruction » Bataille de la Marne, Revigny l'église Lors de la première Guerre Mondiale, la guerre a fait de nombreuses destructions, l'Allemagne, la Russie et la France ont subi un lourd bilan matériel entre les ponts, les routes, les usines, les voies de chemins de fer, les maisons et autres batiments publics détruits. Sur cette photographie, illustrant la bataille de la Marne, dans une petite commune de Révigny du 6 au 12 septembre au sud de l'Argonne, nous pouvons constaté une église détruite par la guerre, ravagé par les armées et leurs canons. Les pierres sont tombées et l'église est pratiquement démolie. Cette oeuvre illustre les nombreux dégats et nombreuses pertes causé par la guerre.

5 « Hommage » Première de couverture Blaise Cendrars, « J'ai saigné » 1938 Ce livre nous fait part de la bonne volonté des personnes qui s'occupaient des blessés. Blaise Cendras rencontre des femmes au grand coeur, telle l'infirmière en chef, Madame Adrienne P. C'est une infirmière aux petits soins pour les soldats blessés au front, Mme Adrienne P n’est pas une religieuse, mais une laïque qui se rend chaque jour à Sainte-Croix pour veiller sur les malades. Son devoir était de venir sur la ligne de feu, elle prend particulièrement soin des « cas désespérés » et compte sur le moral de certains, comme Blaise Cendrars, pour encourager les autres. Le dévouement des infirmières et la lutte pour guérir et vivre est très forte. C'est surtout un hommage à tous ceux qui ont été blessés par la guerre, un hommage à toutes celles qui les ont soignés. Mme Adrienne P, est une femme exceptionnelle, aimée de tous les patients auxquels elle donne toute son énergie. Elle demande à Cendrars de distraire un jeune landais, terriblement blessé. Et un jour arrive un haut gradé qui prétend s'y connaitre mieux que tous... Cendrars dénonce l'inhumanité de la guerre, les souffrances infligées aux hommes et le bouleversement qu'elle amène dans la vie de chacun. Il dénonce aussi la dureté de cœur des hauts-gradés.

6 « Chanson » Chanson de Craonne La Chanson de Craonne (du nom du village de Craonne) est une chanson contestataire, chantée par des soldats français durant la Première Guerre mondiale, entre 1915 et 1917. Elle est interdite par le commandement militaire qui la censure en raison de ses paroles antimilitaristes (« on s'en va là-bas en baissant la tête », « nos pauvr' remplaçants vont chercher leurs tombes »), défaitistes (« c'est bien fini, on en a assez, personne ne veut plus marcher ») et incitant à la mutinerie (« c'est fini, nous, les troufions, on va se mettre en grève ») alors qu'une guerre est en train de se livrer sur le territoire national. Excellent travail que je souhaite exposer lors des portes ouvertes. La rigueur de votre rédaction et la pertinence de votre analyse vous vaudront la note maximale. Avec toutes mes félicitations! Les soldats passent le temps et se distraient en chanson. On chante les airs célèbres à Paris ou les chansons traditionnelles, on les adapte sur des paroles créées pour l’occasion, recopiées à la main dans des cahiers de chansons, diffusées sur les feuillets imprimés et petits formats.


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