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Question longue formative Module 7 Clé de correction.

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1 Question longue formative Module 7 Clé de correction

2 La présentation suivante vous guidera afin de mieux répondre à la question longue que vous aurez à lexamen sommatif… Cest une démarche qui vous permettra de ne rien oublier…

3 Au travail…

4 Vous avez reçu 2 documents: Document dans lequel vous trouvez: Document dans lequel vous trouvez: –La problématique; –La mise en situation; –La tâche; –Les consignes; et, –Les documents. Le cahier de réponses, dans lequel vous trouvez: Le cahier de réponses, dans lequel vous trouvez: –Le tableau pour inscrire les informations; –La grille dévaluation de la 2 e étape; –Lespace pour rédiger votre brouillon; et, –Lespace pour rédiger votre texte final.

5 1 re étape… Parcourir les 2 documents…

6 2 e étape Lire la problématique et la mise en situation…

7 Problématique Lévolution du nationalisme de lépoque de Duplessis jusquà aujourdhui

8 LA MISE EN SITUATION Ottawa reconnaît la nation québécoise Ottawa -- En voulant neutraliser le Bloc québécois, le premier ministre Stephen Harper a offert une bouée de sauvetage inespérée aux libéraux hier en proposant une motion de son cru en ce qui a trait à la reconnaissance de la nation québécoise. Le Parti libéral, dont les prétendants à la chefferie tentaient en matinée hier de trouver une issue de secours à ce débat déchirant, se retrouve donc avec soulagement à partager le feu des projecteurs. On posait la question à tous les députés hier, et en particulier aux députés fédéralistes québécois: voteront-ils pour ou contre la motion bloquiste déclarant que les Québécois forment une nation? Plusieurs élus conservateurs tentaient d'esquiver cette délicate question quand Stephen Harper est arrivé à la rescousse de ses députés et, par la bande, de ses adversaires libéraux. Les conservateurs demanderont à la Chambre des communes de reconnaître que le Québec forme une nation «au sein d'un Canada uni», ce dernier passage étant un ajout comparativement à la motion bloquiste. «La vraie question est simple, a lancé M. Harper en Chambre: est-ce que les Québécois forment une nation au sein d'un Canada uni? La réponse est oui. Les Québécois forment-ils une nation indépendante du Canada? La réponse est non, et elle sera toujours non. Tout au long de leur histoire, les Québécois ont toujours reconnu les prophètes de malheur et les véritables guides de leur destin.» Cette reconnaissance est assurée puisque les libéraux ont annoncé qu'ils l'appuieraient et rejetteraient la motion bloquiste. Le Bloc adoptera l'attitude inverse, déplorant que M. Harper assujettisse la reconnaissance de la nation québécoise au respect du cadre fédératif actuel. Le NPD, quant à lui, s'est placé un peu à l'écart en se disant disposé à appuyer les deux motions indistinctement. À Québec, le premier ministre Jean Charest a salué cette ouverture du fédéral et invité Gilles Duceppe et ses troupes à revoir leur position. Selon lui, ce geste «très significatif» sera considéré, avec le recul, comme une étape fondamentale dans la consolidation de l'unité canadienne.

9 Sous haute tension La colline parlementaire fédérale n'avait pas connu une telle tension depuis près d'un an. En matinée, les huit aspirants chefs libéraux avaient été convoqués par le chef intérimaire Bill Graham afin de concocter une sortie élégante du bourbier créé par la résolution de l'aile québécoise du parti, devant faire l'objet d'un débat et d'un vote au congrès à la chefferie la semaine prochaine, motion qui stipule que le PLC devrait chercher un moyen d'«officialiser» la reconnaissance de la nation québécoise. La tension était palpable parce qu'à la sortie de cette rencontre matinale, on n'avait trouvé aucune solution, les aspirants chefs ayant plutôt convenu qu'il reviendrait aux militants présents au congrès de trancher cette question. Or le Bloc québécois, à l'occasion de sa journée d'opposition, les forçait quand même à s'exprimer à une semaine de leur congrès en exigeant que la Chambre des communes débatte puis vote sur la reconnaissance de la nation québécoise. Puis, la nouvelle est tombée vers midi: Stephen Harper ferait une déclaration en Chambre sur cette question. «La tentative du chef bloquiste d'entraîner les Québécois de bonne foi à appuyer la séparation malgré eux rappelle les trappes à homards de son mentor, Jacques Parizeau. Les Québécois ne sont pas dupes devant ses tactiques maladroites», a déclaré M. Harper dans un discours ferme et sans détour. Sémantique et rien d'autre Certains libéraux québécois n'ont pas hésité à se dire soulagés. «Ah! ça vient nous enlever des épines aux pieds, c'est certain», a lancé le député Jean Lapierre. Le meneur de la course à la chefferie libérale, Michael Ignatieff, s'est lui aussi déclaré très content de la tournure des événements. Il s'est félicité de ce que son parti soit à l'origine d'un tel débat, qui trouve maintenant un dénouement heureux. Seul candidat à la chefferie à appuyer la résolution du PLC-Q, M. Ignatieff était attaqué de toute part à cause de cela. Dans l'entourage du premier ministre Harper, on raillait les libéraux. «Ça nous a pris 24 heures pour trouver une solution à un problème qu'ils traînaient depuis des mois!»

10 Stéphane Dion, le candidat à la chefferie qui s'opposait à la résolution du PLC-Q, s'est déclaré disposé à appuyer la motion conservatrice. «C'est très près du compromis que je faisais circuler depuis des semaines», a-t-il révélé. Le compromis qu'il tentait de faire accepter par les autres camps consistait à déclarer que les Québécois forment une nation «au sens sociologique du terme au sein du Canada». «J'inviterais maintenant tout le monde, et j'entends par là M. Ignatieff, à ne pas créer d'attentes autour de cela, ni d'inquiétudes, a lancé M. Dion au Devoir. C'est finalement un débat sémantique, un séminaire de science politique prolongé qu'on a eu, et ça ne donne rien d'autre.» On ignore encore quand auront lieu le débat et le vote sur la motion conservatrice. Le Bloc refusera de lui accorder sa caution, y voyant une sorte de chantage fédéraliste. «Jamais je n'accepterai que la seule condition pour être une nation, c'est de faire en sorte de reconnaître que l'on doive rester dans le Canada. Nous sommes ce que nous sommes, point à la ligne», s'est enflammé Gilles Duceppe à l'occasion de sa réponse officielle à M. Harper en Chambre. M. Duceppe n'en a pas moins été invité par Jean Charest à revoir sa position. Ainsi, ce qui était apparu au départ comme une habile stratégie bloquiste pour embêter les fédéralistes est peut-être en train de se retourner contre le Bloc en permettant aux fédéralistes de se rallier et à Jean Charest de quitter le camp de Gilles Duceppe pour celui, plus naturel, de Stephen Harper. Pour Bill Graham, «c'est la détermination absolue avec laquelle on ne peut pas soutenir les efforts du Bloc visant à diviser notre pays» qui a guidé les libéraux. Jack Layton a indiqué que le NPD appuie le concept de nation «depuis longtemps parce que c'est une question de respect». Pour M. Harper, il n'en reste pas moins qu'il s'agit d'un compromis de taille. Le 23 juin dernier, alors qu'il avait réuni son cabinet à Québec, il avait refusé de se prononcer sur la nation québécoise. Aujourd'hui, il explique son changement de cap ainsi: «Ma préférence est bien connue. Je ne crois pas qu'il revienne au Parlement fédéral [de définir ce qu'on entend par nation]. C'est à la législature du Québec de le faire, mais le Bloc québécois nous a demandé de le définir, et peut-être est-ce une bonne chose, car cela nous rappelle que tous les Canadiens ont leur mot à dire lorsque l'avenir du pays est en jeu.» Tiré de : BUZZETTI, Hélène, « Ottawa reconnaît la nation québécoise » le Devoir, http://www.ledevoir.com/2006/11/23/123426.html, édition du jeudi 23 novembre 2006. http://www.ledevoir.com/2006/11/23/123426.htmldu jeudi 23 novembre 2006 http://www.ledevoir.com/2006/11/23/123426.htmldu jeudi 23 novembre 2006

11 Lire la tâche… Votre tâche Votre tâche consiste à montrer que la conception du nationalisme québécois a évoluée depuis lépoque de Duplessis. Quelles sont les différentes étapes de lévolution du nationalisme québécois de lépoque de Duplessis à nos jours ?

12 2e ÉTAPE : RELEVER LES INFORMATIONS DANS LENSEMBLE DES DOCUMENTS Pour chacune des périodes, analysez les documents présentés et relevez les informations suivantes : Les principaux événements reliés à la question nationale Les différents types de nationalisme et leur chef Consignez vos informations dans le cahier de réponses

13 ÉPOQUES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS RELIÉS À LA QUESTION NATIONALE DIFFÉRENTS TYPES DE NATIONALISME ET LEUR CHEF 1945-1959 Document 1 Qui est- ce? Maurice Duplessis, chef de lUnion nationale de 1936 à 1939 et de 1944 à 1959

14 ÉPOQUES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS RELIÉS À LA QUESTION NATIONALE DIFFÉRENTS TYPES DE NATIONALISME ET LEUR CHEF 1945-1959 Document 1 Quel est son lien avec lévolution du nationalisme ? Il est autonomiste Maurice Duplessis, chef de lUnion nationale de 1936 à 1939 et de 1944 à 1959 Il est autonomiste

15 ÉPOQUES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS RELIÉS À LA QUESTION NATIONALE DIFFÉRENTS TYPES DE NATIONALISME ET LEUR CHEF 1945-1959 Document 2 Maurice Duplessis, chef de lUnion nationale de 1936 à 1939 et de 1944 à 1959 Il est autonomiste Quest-ce que cest??? Drapeau fleurdelisé…adopté en 1948 par le gouvernement de Duplessis… Drapeau fleurdelisé…adopté en 1948 par le gouvernement de Duplessis Quel est le lien avec lévolution du nationalisme? Le gouvernement de Duplessis, en adoptant le drapeau montre sa volonté de se démarquer du gouvernement fédéral

16 ÉPOQUES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS RELIÉS À LA QUESTION NATIONALE DIFFÉRENTS TYPES DE NATIONALISME ET LEUR CHEF 1945-1959 Document 3 Maurice Duplessis, chef de lUnion nationale de 1936 à 1939 et de 1944 à 1959 Il est autonomiste Drapeau fleurdelisé…adopté en 1948 par le gouvernement de Duplessis Le gouvernement de Duplessis, en adoptant le drapeau montre sa volonté de se démarquer du gouvernement fédéral « Pour arrêter ce qu'il prétend être une intrusion dans un champ de compétence provincial, le premier ministre du Québec, Maurice Duplessis, refuse les subventions que le gouvernement fédéral veut verser aux universités. »Maurice Duplessis Perspective monde, Bilan dun siècle, « 21 novembre 1952 - Refus des subventions fédérales aux universités par le premier ministre du Québec » Quel est le sujet du texte?? ? En 1952, le gouvernement de Duplessis refuse les subventions aux universités de la part du gouvernement fédéral… Quel est le lien avec lévolution du nationalisme? Le gouvernement de Duplessis, par cette attitude, veut garder le contrôle de ses champs de compétence…

17 Pour chacun des documents, il faut se poser ces questions…

18 ÉPOQUES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS RELIÉS À LA QUESTION NATIONALE DIFFÉRENTS TYPES DE NATIONALISME ET LEUR CHEF 1960-1970 Document 4 « Égalité ou indépendance » Daniel Johnson Daniel Johnson, chef de lUnion Nationale de 1966 à 1968. Lors de lélection de 1966, léquipe de D. Johnson a utilisé le slogan « Égalité ou indépendance », montrant son désir dautonomie face au gouvernement fédéral. Document 5 Le Parti Québécois est fondé en 1968. Son objectif est de réaliser la souveraineté du Québec. Document 6 René Lévesque, fondateur du Parti Québécois, souverainiste. Document 7 Document 8 « Le Front de libération du Québec veut lindépendance totale des Québécois Travailleurs du Québec, faites-vous même votre révolution dans vos quartiers, dans vos milieux de travail (…) Nous voulons remplacer cette société desclaves par une société libre, fonctionnant delle- même et pour elle-même, une société ouverte sur le monde. » Dans les années 1960, le FLQ, essaie, par la violence, de faire la promotion de laccession du Québec à la souveraineté.

19 ÉPOQUES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS RELIÉS À LA QUESTION NATIONALE DIFFÉRENTS TYPES DE NATIONALISME ET LEUR CHEF 1971-1980 Document 9 En 1976, René Lévesque porte de Parti Québécois à la tête du gouvernement du Québec. Document 10 Résultats Élections 15 novembre 1976 Document 11 « Le gouvernement du Québec a fait connaître sa proposition den arriver, avec le reste du Canada, à une nouvelle entente fondée sur le principe de légalité des peuples ; cette entente permettrait au Québec dacquérir le pouvoir exclusif de faire ses lois, de percevoir ses impôts et détablir ses relations extérieures, ce qui est la souveraineté et, en même temps, de maintenir avec le Canada une association économique comportant lutilisation de la même monnaie ; aucun changement de statut politique résultant de ces négociations ne sera réalisé sans laccord de la population lors dun autre référendum ; en conséquence, accordez-vous au gouvernement du Québec le mandat de négocier lentente proposée entre le Québec et le Canada ? » Document 12 En 1980, le gouvernement du Parti Québécois tient un Référendum sur la souveraineté-association (doc. 11: Question). La majorité de la population vote contre (Doc. 12.)

20 ÉPOQUES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS RELIÉS À LA QUESTION NATIONALE DIFFÉRENTS TYPES DE NATIONALISME ET LEUR CHEF 1981-2007 Document 13 Pierre E. Trudeau, du PLC, est fédéraliste centralisateur. En 1982, P.-E. Trudeau procède au rapatriement de la constitution du Canada, sans laccord du Québec. Document 14 Brian Mulroney, du PCC, est fédéraliste décentralisateur. Robert Bourassa, du PLQ, est fédéraliste décentralisateur. Document 15 Échec de laccord du Lac Meech Échec de laccord de Charlottetown En 1987, afin de ramener le Qc dans la grande famille canadienne dans lhonneur et lenthousiasme, les Premiers ministres canadiens en viennent à laccord du Lac Meech. Il ne sera pas ratifié par TN et le MB en 1990. En 1992, toujours avec le même objectif, les Premiers ministres font lAccord de Charlottetown. Il ne sera pas accepté par lensemble des Canadiens, suite à un référendum. Document 16 En 1995, un référendum est tenu au Québec sur la souveraineté-association. 50,6% de la population dira NON. Jacques Parizeau, du PQ, est souverainiste. Document 17 « Ottawa reconnaît la nation québécoise » Le Devoir, 23 novembre 2006 En 2006, le gouvernement du Canada reconnaît lexistence de la nation québécoise. Stephen Harper, du PCC, fédéraliste.

21 Vous trouverez ensuite une grille de correction pour cette partie …

22 Utilisez-la pour vérifier si vos informations sont complètes…

23 Rédigez alors votre brouillon… Dans votre cahier de réponses, à laide des informations relevées lors de la deuxième étape, rédigez un texte denviron 200 mots qui montre que la conception du nationalisme québécois a évoluée depuis lépoque de Duplessis. Quelles sont les différentes étapes de lévolution du nationalisme québécois de lépoque de Duplessis à nos jours?

24 Mais… Noubliez pas de faire un plan avant!!!

25 Ensuite… Rédigez votre brouillon…

26 Par contre, noubliez pas… Vous devez: Vous devez: –Faire une introduction et une conclusion; –Corriger votre texte; et, –Vérifier lorthographe et la grammaire.

27 Utilisez ensuite la grille de correction pour corriger votre brouillon…

28

29 Une fois que votre brouillon est satisfaisant…

30 Rédigez votre version finale!!! Noubliez pas que seule cette version sera corrigée!!!

31 Bon travail!


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