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Publié parAlphonse René Modifié depuis plus de 8 années
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Turner Du romantisme au peintre de la Lumière
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Les bases classiques Turner (1775 – 1851) entre le 11 décembre 1789, âgé de 14 ans seulement, à l'école de la Royal Academy of Arts avant d’être admis, un an plus tard, à la Royal Academy elle-même.Royal Academy of Arts Marquant un vif intérêt pour l'architecture, Turner suit notamment des cours de perspective et de topographiearchitectureperspectivetopographie
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Influences précoces Il subit l'influence d'artistes tels que Willem Van de Velde le Jeune, Albert Cuyp, John Robert Cozens, Richard Wilson, Claude Gellée dit Claude le Lorrain ou encore Nicolas PoussinWillem Van de Velde le JeuneAlbert CuypJohn Robert CozensRichard WilsonClaude GelléeNicolas Poussin
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La nature anglaise magnifiée Son caractère romantique se révèle à ses débuts, notamment par ses représentations de paysages pittoresques de la campagne anglaise, ses fleuves, ses châteaux baignés de couchers de soleil propices…
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Un fond « Rome antique » À partir de 1802, l'envie de voyager l'emmène sur le continent européen, principalement en France et en Suisse, d'où il rapporte, évidemment, des aquarelles mais aussi le goût pour certains artistes, comme le Lorrain et ses représentations de la mythologie. Turner peint ainsi des fresques antiques comme Didon construisant Carthage en 1815FranceSuissele LorrainmythologieDidon construisant Carthage
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Aquarelles Renommé pour ses huiles, Turner est également un des plus grands maîtres anglais de paysages à l'aquarelle, notamment une série consacrée à Venise.
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Le peintre de la lumière Il gagne le surnom de « peintre de la lumière, cette dernière devenant prépondérante dans son œuvre. On l’appellera aussi le peintre des incendies tant la lumière devient, dans ses tableaux, hyperbolique…
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La lumière… jusqu’à la dissolution du motif Progressivement, la lumière dissout le motif jusqu’aux portes de l’abstraction lyrique.
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Eloge à Turner Éloge à William Turner « En 1871, pendant un long séjour à Londres, Claude Monet et Camille Pissarro découvrent Turner. Ils s'émerveillent du prestige et de la féerie de ses colorations ; ils étudient ses œuvres, analysent son métier. Ils sont tout d'abord frappés de ses effets de neige et de glace. Ils s'étonnent de la façon dont il a réussi à donner la sensation de blancheur de la neige, eux qui jusqu'alors n'ont pu y parvenir avec leurs grandes taches de blanc d'argent étalé à plat, à larges coups de brosses. Ils constatent, que ce merveilleux résultat est obtenu, non par du blanc uni, mais par une quantité de touches de couleurs diverses, mises les unes à côté des autres et reconstituant à distance l'effet voulu. Ce procédé de touches multicolores, qui s'est manifesté tout d'abord à eux dans ces effets de neige parce qu'ils ont été surpris de ne pas les voir représentés, comme de coutume, avec du blanc et du gris, ils le retrouvent ensuite, employé dans les tableaux les plus intenses et les plus brillants du peintre anglais. C'est grâce à cet artifice que ces tableaux paraissent peints, non avec de vulgaires pâtes, mais avec des couleurs immatérielles. »
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