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Questionnaire (C) Enseignement supérieur
Atelier régional de l’ISU sur les statistiques de l’éducation Dakar, mai, 2013
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Plan Portée du questionnaire
Premières pages du questionnaire/informations sur le répondant Tableaux: Tableau 2 : Enseignants Tableau 3 : Étudiants inscrits Tableau 4 : Étudiants inscrits par âge Tableau 5 : Étudiants inscrits par domaine d’études Tableau 6 : Diplômés par domaine d’études Tableau 7 : Étudiants en mobilité internationale par pays d’origine Indicateurs et disponibilité des données pour les pays d’Afrique subsaharienne. Problèmes rencontrés
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Portée du questionnaire
Le questionnaire sur les statistiques de l’enseignement supérieur porte sur les principaux thèmes suivants : Les enseignants Enseignants par niveau Les étudiants Étudiants par niveau et domaine d’études Diplômés par niveau et domaine d’études Les étudiants nationaux et internationaux.
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Tableau 2 : Personnel enseignant
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Quelques définitions Un ENSEIGNANT À PLEIN TEMPS enseigne un nombre d’heures considéré statutairement comme à plein temps pour ce niveau d’enseignement dans le pays considéré. Un ENSEIGNANT À TEMPS PARTIEL enseigne un nombre d’heures inférieur à celui d’un enseignant à plein temps. Un ÉTUDIANT À PLEIN TEMPS participe à un programme éducatif dont le temps consacré à étudier est considéré comme à plein temps par les règles ou les conventions nationales. Un ÉTUDIANT À TEMPS PARTIEL consacre moins de temps à étudier qu’un étudiant à plein temps. Il devra, par conséquent, participer au programme pendant une période de temps plus longue pour compléter un programme d’enseignement équivalent.
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Tableau 3 : Étudiants inscrits
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Quelques définitions (suite)
Un ÉTABLISSEMENT D’ENSEIGNEMENT PUBLIC est un établissement contrôlé et géré par une autorité ou un organisme scolaire public (national/fédéral, étatique/provincial ou local), quelle que soit l’origine de ses ressources financières. Un ÉTABLISSEMENT D’ENSEIGNEMENT PRIVÉ SUBVENTIONNÉ PAR LE GOUVERNEMENT est un établissement qui reçoit au moins 50% de son financement de base des organismes publics. Les établissements seront classés comme subventionnés si leur personnel enseignant est rémunéré par un organisme public – soit directement, soit par le biais de l’administration. Un ÉTABLISSEMENT D’ENSEIGNEMENT PRIVÉ NON SUBVENTIONNÉ est un établissement qui reçoit moins de 50% de son financement de base des organismes publics.
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Tableau 5 : Étudiants inscrits par domaine d’études
25 domaines regroupés sous 9 grands groupes Assurez-vous de maintenir les inconnus au niveau le plus bas possible
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Tableau 6 : Diplômés par domaine d’études
Essentiel pour le calcul des taux d’obtention de diplôme Assurez-vous de maintenir les inconnus au niveau le plus bas possible
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Tableau 7: Étudiants en mobilité internationale par pays d’origine
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Définition Un étudiant EN MOBILITÉ INTERNATIONALE) est un étudiant qui a quitté provisoirement son territoire national dans le but de poursuivre ses études et qui est inscrit dans un programme d’enseignement dans un pays étranger. Il est demandé de présenter le nombre d’étudiants en mobilité internationale par pays d’origine selon le pays dans lequel ils sont résidents permanents. Dans certains cas, ce dernier pays peut être différent de celui dont-ils ont la nationalité (ou un passeport).
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Indicateurs clés Tableau Donnée Indicateur 3 Étudiants inscrits
Taux brut de scolarisation pour l’enseignement supérieur Distribution des élèves par niveau de la CITE
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Mesure de la participation au supérieur : Taux brut de scolariation (TBS)
Définition Effectifs d’étudiants / groupe d’âge de 5 ans suivant l’âge théorique d’achèvement de l’enseignement secondaire Utile pour illustrer l’étendue de la participation Complexités d’interprétation du TBS Diversité du parcours à travers les programmes Variation de la durée des programmes 1. Diversity in pathways through tertiary programmes: like transfer between programs. 2. Variation in programme duration: As an indicator of participation, it would provide a downward bias for countries with large SHORTER programmes. In comparison, it would provide favour countries with predominantly LONG tertiary programmes.
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Pays ne disposant pas du TBS
Disponibilités des données pour l’Afrique subsaharienne Pays disposant des données sur les étudiants inscrits et le taux brut de participation (33 pays sur 46, soit 72 %) Pays ne disposant pas du TBS Au dernier atelier le taux de disponibilité du TBS pour l’Afrique subsaharienne était de 62% (28 pays) Cette année ce taux est passé à 72% (33 pays) Guinée équatoriale Gabon Gambie Guinée-Bissau Lesotho Libéria Namibie Nigéria Sierra Leone Somalia Afrique du Sud Sudan du Sud Zambie
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Pays ne disposant pas des données sur les étudiants par niveau
Disponibilités des données pour l’Afrique subsaharienne Pays disposant des données sur les étudiants inscrits par niveau de la CITE (21 pays sur 46) Pays ne disposant pas des données sur les étudiants par niveau Au dernier atelier le taux de disponibilité des données sur les étudiants inscrits par niveau de la CITE pour l’Afrique subsaharienne était de 44% (20 pays) Cette année ce taux est passé à 45% (21 pays) Liberia Malawi Namibia Nigeria Sao Tome and Principe Senegal Sierra Leone Somalia South Africa South Sudan Swaziland Uganda Zambia Zimbabwe Benin Botswana Burundi Chad Côte d'Ivoire Democratic Republic of the Congo Equatorial Guinea Gabon Gambia Guinea-Bissau Lesotho
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Disponibilité des données pour l’Afrique subsaharienne
Indicateurs Taux de disponibilité Enseignants 43% (19 pays) Inscriptions par domaine d'études 39 % (18 pays) Diplômés par domaines d'études 30 % (14 pays) Étudiants étrangers 50 % (26 pays) Following data gap problems in the region: Low response rate for questionnaire C For countries that do complete the questionnaire, the problem of missing data is serious, especially on graduates the breakdown, e.g. field of study, female and males. In addition, many countries do not report data on international mobile students.
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Problèmes majeurs Portée Conceptuel Faible taux de réponse
Communication (Questionnaire envoyé à une mauvaise destination) Manque de capacité Manque de motivation Portée Un nombre significatif de pays ne rapportent que les institutions publiques Conceptuel Mauvaise intreprétation de la CITE Mauvaise interprétation des concepts et définitions
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L’enseignement supérieur sert à …
L’enseignement supérieur est un facteur clé de développement social et économique Il permet de former des individus qui seront capables d’implémenter de nouvelles technologies. Il permet de former des enseignants qualifiés pour l’enseignement primaire et secondaire. Grande expansion de l’enseignement supérieur lors des dernières décennies en Afrique 1970: 0.2 million d’effectifs inscrits 2010: 5.2 millions d’effectifs inscrits Why is higher education a significant issue? Research has shown that higher education is a key drive for social and economic development. Why is higher education relevant to you, as a national education policy planner or national statistician? From a national policy perspective, you may need to assess how many resources are available for varied level of education—primary, secondary, and tertiary education, for instance. What is the capacity of tertiary education systems? How many students can universiies enroll? Whether men and women have the same opportunity to attend universities? How many tertiary graduates will be “produced” to enter the labour market? From international organization’s perspective, we want to know the progress or development of higher education. We want to know which region need aid or assistance in capacity building from the international community. To assess where efforts need to be made, we need data. In particular, we need international comparable data. International comparable data allow national policy makers to know where their own country stand in relation to peer countries. In addition, international comparable data allow international organization such the UNESCO or World Bank, and researchers to monitor progress or diagnose problems so that proper solutions could be proposed. Increasing demand for higher education: From UNESCO statistics, we see great expansion of higher education enrolment in sub-Saharan Africa. Enrolment in tertiary education grew faster in sub-Saharan Africa than any other region over the last four decades. While there were about 200,000 tertiary students enrolled in the region in 1970, this number soared to over 4.8 million in 2009 – a more than 20-fold increase.
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Tendances à long termes de la participation à l’enseignement supérieur
Taux brut de scolarisation dans l’enseignement supérieur, 1970 à 2010 1 10 2 12 3 14 4 19 7 29 5 15 20 25 30 Afrique subsaharienne Monde 1970 1980 1990 2000 2010 This slide shows over the past four decades, the long-term progress of the participation in higher education in SSA, compared with that in the world. The indicator that we use to measure participation is “gross enrolment ratio”. It is calculated by dividing the number of tertiary enrolment by relevant age population (i.e. 5 years of age population after completing upper secondary education). Despite the rapid growth, only 6% of the tertiary education age cohort was enrolled in tertiary institutions in It means about 6 out of 100 tertiary relevant age population attend higher education institutions. The participation is relatively low (indeed, SSA is the region has the lowest ratio in the world). By comparison, the global average is 27%. However, the region has come a long way since 1970, when the GER was about 1%
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Quel est le niveau de participation à l’enseignement supérieur?
Taux brut de scolarisation dans l’enseignement supérieur par pays Moyenne ASS = 7% This slides shows the level of participation in individual countries, where data are available. As we can see here, only 6 countries are above the regional average for sub-Saharan Africa; these countries have relatively higher participation level include: Cape-Vert, Guinee, Cameronn, Cote d’Ivoire, Senegal and Congo.
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Rapport entre richesse nationale et égalité des sexes dans l’enseignement supérieur
Indice ajusté de parité entre les sexes pour les taux brut de scolarisation dans l’enseignement supérieur et PIB par habitant (PPA en $US). Low participation in tertiary education is not the only challenge faces most African countries. Gender disparity is another challenge. We use an indicator, called gender parity index (GPI), to measure gender differences in education indicator. Gender parity index is defined as the value of a given indicator for females divided by that for males. A GPI value between 0.97 and 1.03 signifies that there is not much difference in the indicators for females and males. It implies that the achievement of gender parity. When gender parity index values are greater than 1.03, it means that more females than males participate in tertiary education, controlling for population. When the index value is lower than 0.97, it means that more males than females enroll in tertiary education, controlling for population. This slide shows gender parity index for gross enrolment ratio for tertiary education in over 100 countries. (136 countries indeed). This index values are plotted against GDP per capita PPP (Purchasing Power Parity ), which can be a proxy for national wealth. The grey line represents gender parity. This figure shows in about two-third countries in the world, female participation in tertiary education is higher than male. However, in most African countries, females participation is lower than male. I use red dots to highlight workshop countries. (i.e. West and Central African + Dibouti + Mauntania) Give examples: Congo. Gender parity index value is 0.2, meaning that male GER is 5 five times as high as female GER. Chad (0.2, or 0.17) Madagascar: Gender parity index value is 0.9. Female GER is very close to male GER. Cape-Verde: Gender parity index value is 1.2, meaning that female GER is about 1.25 times as male GER. Cape-Verde is the only workshop countries which sees greater female participation than male. (Note that two Anglophone countries which see higher female GER than male GER are Namibia and Mauritius.)
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Nombre croissant d’étudiants en mobilité internationale
Depuis 1980, le nombre d’étudiants en mobilité internationale a plus que triplé The definition of internationally mobile students: Students who have crossed a national or territorial border for the purposes of education and are now enrolled outside their country of origin Like total student numbers, mobile numbers have also increased more than three fold since In 2009, the UIS estimated that there were 3.4 million mobile students who study outside their country of origin.
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Pourquoi étudier à l’étranger?
Accès limité à l’enseignement supérieur dans le pays d’origine Qualité de l’éducation Possibilités futures d’embauche et d’immigration Autres (apprentissage d’une nouvelle langue et culture) 30
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Étudiants africains à l’étranger
3.4 millions d’étudiants en mobilité dans le monde 0.23 million de l’Afrique sub-saharienne (7% du total) 0.10 million de l’Afrique de l’Ouest et Centrale (3% du total)
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Dans quelle mesure les étudiants sont-ils mobiles ?
Taux de mobilité vers l’étranger Nombre d’étudiants en mobilité internationale d’une région donnée en pourcentage de la scolarisation dans le supérieur dans cette même région (taux de mobilité vers l’étranger) % To measure the proportion of tertiary students studying abroad, we use an indicator called outbound mobility ratio. Outbound mobility ratio is calculated by dividing the number of outbound mobile students from a given country by the total of tertiary enrolments in that country, and multiple the result by 100. A high outbound mobility ratio generally indicates a high degree of tertiary students studying outside their countries of origin. This slide shows outbound mobility ratio by region. The world average is about 2%, meaning that 2 out of 100 tertiary students study outside their country of origin. Then we look at individual regions, sub-Saharan Africa has a high value of 4.8%. It implies that about 5 out of 100 tertiary students leave their own country to study abroad.
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Quelle est l’ampleur de la mobilité internationale des étudiants africains?
Nombre d’étudiants en mobilité internationale d’un pays donné en pourcentage de la scolarisation dans le supérieur de ce pays (taux de mobilité vers l’étranger) The previous slide shows regional average. Now let’s look at outbound mobility ratio in individual countries. (Please note that we cannot generate outbound mobility ratio for countries which do not report tertiary enrolment data.) As seen in this slide, quite a few countries have pretty high outbound mobility ratio. For instance, Comoros has out bound mobility ratio of 73%, meaning that for every 100 tertiary students studying in Comoros, 73 Comorians(?) study outside Comoros. (Or say 3500 tertiary enrolment in Comoros; 2500 Comorians study abroad.) Another example, Djibouti also has a high outbound ratio of 51%. There are 3200 tertiary enrolment in Djibouti, and about 1600 Djibouti students study abroad. At the other end of the slide, you can also see D.R. Congo has a relatively low value of outbound mobility ratio: 1%. There are about 378,000 tertiary enrolment in D.R. Congo; meanwhile outbound students from this country is about 4300.
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Où les étudiants en mobilité étudient-ils?
Distribution des étudiants en mobilité internationale en provenance de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Centrale par destination Where do these mobile students go to study? This slide shows the destination for outbound mobile students from West and Central Africa, Djibouti, and Mauritanie. As we can see, France is the leading destination for students from these countries. In 2009, France hosted 45% of mobile students from West and Central Africa, Djibouti, and Mauritanie. The following popular destinations are the U.S.A and Germany. Then, we see two Portuguese speaking countries—Brazil, and Portugal. In their own continent—Africa, we see South Africa and Morocco are two popular host countries for students from West and Central Africa, Djibouti, and Mauritanie.
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Sommaire Faits marquants de la participation à l’enseignement supérieur La participation à l’enseignement supérieur s’est accrue rapidement (1970: 0,2 million : 5,2 millions) Faible taux de participation (7 % ASS v.s. 29% monde) Les femmes font face à une plus grande difficulté afin d’accéder à l’enseignement supérieur Faits marquants de la mobilité internationale 0.10 million d’étudiants l’Afrique de l’Ouest et Centrale en mobilité internationale (3% du total) Forte mobilité internationale vers l’étranger pour l’Afrique subsaharienne (5% des étudiants du supérieur étudient à l’étranger) France est la destination la plus populaire des étudiants africains en mobilité internationale Forte mobilité internationale vers l’étranger pour Sao Tomé-et-Principe, Comores, Djibouti, Cap-Vert, Congo, Mauritanie, Tchad, Sénégal, Niger, Cameroun 36
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