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Faculté déducation EDU 5671 Le counselling: théories et pratique I Partie 4 : Les approches axées sur le comportement Semaine 11 : La thérapie du choix.

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2 Faculté déducation EDU 5671 Le counselling: théories et pratique I Partie 4 : Les approches axées sur le comportement Semaine 11 : La thérapie du choix Professeur André Samson Ph. D., c.o.

3 Plan de la présentation Introduction 1. La vision de lhumain: les principaux concepts 1.1. Amour et identité 1.2. Les sources du comportement pathologique 2. Le rôle du thérapeute 2.1. Un enseignant ou un modèle à imiter 2.2. Le focus: le présent 3. Principales techniques 3.1 Lenseignement 3.2 Lhumour 3.3 La confrontation 3.4 Les techniques paradoxales 4. Processus dintervention daprès le système WDEP Conclusion, bibliographie et exercice

4 William Glasser M.D.

5 Introduction William Glasser est né en 1925. Après avoir obtenu son diplôme dingénieur chimiste à Cleveland à lâge de 19 ans, il complète le programme de médecine à 28 ans et se spécialise en psychiatrie. Médecin, psychiatre et psychanalyste de formation, il tourne le dos assez rapidement aux approches dynamiques et travaille surtout dans le milieu de léducation pour les jeunes délinquants. En 1962, il commence à développer les concepts de son approche quil nomme la « thérapie de la réalité » ou « Reality Therapy ». Son intention est de développer un mode dintervention qui est de facture très pratique et qui peut être aisément compris autant par les praticiens que le grand public. Le postulat de base de cette approche reconnaît linfluence ou le poids que le passé exerce sur le présent, mais il reconnaît aussi à lindividu la capacité de sen affranchir.

6 1. La vision de lhumain : les principaux concepts La théorie de Glasser ne cherche pas à expliquer dune manière exhaustive le développement de la personne, un peu comme Freud a tenté de le faire. Cette théorie se limite à quelques aspects centraux du comportement humain. Premièrement, cette approche sappuie sur un attribut essentiel de la personne : la conscience. Selon Glasser, lindividu fonctionne au niveau conscient et son comportement échappe à linfluence des instincts ou des conflits inconscients. De plus, toujours selon cette approche, il y aurait une tendance innée au développement et à lactualisation de soi.

7 1. La vision de lhumain : les principaux concepts Aux deux premiers concepts sajoutent quatre besoins psychologiques fondamentaux à combler: Le besoin dappartenir : les amis, la famille et lamour. Le besoin de puissance : lestime de soi, la reconnaissance, la compétition. Le besoin de liberté : le besoin de prendre des décisions, de faire des choix. Le besoin de plaisir : jouer, rire, apprendre, être ludique.

8 1. La vision de lhumain : les principaux concepts La motivation serait donc avant tout de nature interne, bien plus quelle nest externe. Les besoins sont endogènes, cest-à-dire inscrits en nous. Lindividu éprouve tous ces besoins avec une intensité qui peut varier. Sil éprouve un sentiment dinsatisfaction, cest quun de ces besoins est déficitaire.

9 1. La vision de lhumain : les principaux concepts 1.1 Amour et identité Aux quatre besoins fondamentaux sajoute le besoin de développer sa propre identité, cest-à-dire une image de soi positive. Pour que cette identité se développe, la personne doit se sentir acceptée par les autres. Glasser accorde une importance particulière au besoin dêtre aimé et au sens de la valeur personnelle intrinsèque. Le besoin daimer et dappartenir est le plus fondamental car cest dans la relation avec autrui que la personne peut satisfaire les autres besoins. Lorsque la personne parvient à combler ses besoins fondamentaux, elle achève la construction dune identité de « succès ».

10 1. La vision de lhumain : les principaux concepts 1.1 Amour et identité Selon la théorie du choix, lindividu ne satisfait pas ses besoins directement, mais il conserve en mémoire tout ce qui nous aide à bien nous sentir. Mais il se souvient des personnes qui sont bonnes pour lui. Toutes les formes de perception qui sont agréables et les systèmes de croyances participent à la construction du sentiment de bien-être. Cest ce monde perçu ou subjectif qui est au centre de lexistence. Ce monde est une réponse concrète à la satisfaction de besoins. Généralement, les personnes qui consultent ne peuvent se référer à ce type de perception

11 1. La vision de lhumain : les principaux concepts 1.1 Amour et identité Par contre, si le besoin damour ou de reconnaissance nest pas rencontré, la quête identitaire est considérée comme étant un échec. Une personnalité qui ne serait pas ajustée aurait tendance à manquer de confiance en soi et à abandonner facilement. La performance serait directement liée au sentiment dêtre accepté. En fait, selon Glasser, si la personne souffre dune carence au plan relationnel, ce déficit peut être comblé si elle décide dentreprendre un cheminement de croissance et dapprendre à entrer en relation. Ce faisant, elle peut changer son identité et son comportement. En somme, selon Glasser, la personne jouit de la liberté de faire des choix. La personne peut décider de vivre une vie misérable ou de se comporter dune manière positive.

12 1. La vision de lhumain : les principaux concepts 1.2 Les sources du comportement pathologique Les difficultés psychologiques tirent souvent leurs sources de relations interpersonnelles qui sont insatisfaisantes. Donc, le but de la thérapie est daider la personne à établir des relations harmonieuses ou tout simplement à apprendre à se comporter. Peu de clients sont conscients que leurs problèmes découlent de leurs choix personnels. Ils sont seulement conscients de leur peine et de leur souffrance. Selon cette approche, le comportement est la conséquence de la frustration provoquée par une relation insatisfaisante. La thérapie du choix vise moins à nommer le problème quà enseigner un comportement qui est plus approprié ou des choix de vie qui sont plus ajustés. Donc, faire des choix appropriés en ce qui concerne les relations avec les autres.

13 1. La vision de lhumain : les principaux concepts 1.2 Les sources du comportement pathologique Les comportements sont toujours des tentatives de satisfaction des besoins. Donc, lanxiété, la déprime ou la tristesse sont des choix. Alors, quest-ce qui pousse à choisir une certaine forme de souffrance? Lorsque la frustration provient dune relation insatisfaisante, il est normal déprouver de la colère. Il devient facile ainsi de heurter lautre. Souvent, la dépression est la seule façon de demander de laide sans avoir à mendier la présence de lautre. De plus, cest une façon de se soustraire des responsabilités ou déviter ce qui inspire la crainte. http://fr.youtube.com/watch?v=oQ7zJJAaQ9E&feature=related

14 2. Le rôle du thérapeute 2.1 Un enseignant ou un modèle à imiter Lintervenant est essentiellement un enseignant ou un modèle à imiter. La première tâche de lintervenant est daccepter et daccueillir son client dans un climat de confiance fait de fermeté et de justice. Glasser accorde aussi une importance à la considération positive, à lempathie et à la croyance que le client peut sactualiser. Laccent est mis sur les choix que le client fait. Les interactions se concentrent surtout sur les actions et les comportements que le client souhaite transformer et les moyens à utiliser afin datteindre ses objectifs. Les interventions évitent les interprétations, les tests, les diagnostics. Les questions tournent autour du thème « que fais-tu maintenant? », « est-ce que cela fonctionne?», « quelles sont les conséquences de tes actes? ».

15 2. Le rôle du thérapeute 2.2 Le focus Lintervenant évite toute mention du passé, de linconscient ou des influences de lenvironnement. Limportant consiste à transformer le comportement. Un changement comportemental peut provoquer une transformation cognitive. En se centrant sur le comportement, on donne au client le pouvoir de se prendre en main. En utilisant cette approche, lintervenant met laccent aussi sur les relations qui sont insatisfaisantes ou sur un manque relationnel. Bien entendu, le client nest jamais responsable de ce qui lui arrive. Mais lapproche ne cherche pas à déterminer la responsabilité, mais bien à essayer de déterminer ce que le client peut contrôler dans la relation. Lintervenant naccorde aucune importance aux blâmes ou aux plaintes.

16 2. Le rôle du thérapeute 2.2 Le focus Le focus est mis davantage sur la responsabilité individuelle. Il faut donc mettre laccent sur ce que le client peut choisir pour le rapprocher des personnes qui lui tiennent à cœur. Pour assurer le succès de lapproche, il faut que le client soit maintenu dans le présent. On ne peut refaire le passé. Les problèmes sont ancrés dans notre présent. Dans notre incapacité de satisfaire nos besoins. Les relations insatisfaisantes appartiennent au présent. La seule chose qui appartient au client et quil est en mesure de changer, cest le présent.

17 2. Le rôle du thérapeute 2.3 Les buts à atteindre Les buts de lapproche sont les suivants : Augmenter la résilience psychologique du client. Rendre le client plus habile au plan rationnel et relationnel. Aider le client à faire des choix par rapport à lui-même et par rapport aux autres.

18 2. Le rôle du thérapeute 2.3 Les buts à atteindre Si ces objectifs sont atteints, le client apprend à être plus autonome et plus responsable. En dautres termes, lindividu prend charge de ses comportements et des objectifs quil se fixe. Il développe aussi ce que Glasser nomme « a success identity », cest-à-dire la capacité de vivre une vie plus harmonieuse et plus productive. Un autre but poursuivi est celui daider le client à clarifier ses objectifs de vie. Une grande importance est accordée aux buts recherchés et aux moyens qui sont pris pour les atteindre. Lexamen des buts à atteindre permet de procéder à linventaire des ressources de lindividu et de son environnement.

19 3. Principales techniques Les interventions vise à faire prendre conscience au client quil choisit la manière dont il réagit aux événements et aux personnes. Le processus thérapeutique est axé sur les images de la réalité. Chaque individu développe ses perceptions de la réalité. Il ne peut connaître la réalité en soi. Selon Glasser, nous développons des images afin de satisfaire à nos besoins. La thérapie de choix nutilise pas de termes tels que déprimé, colérique, anxieux ou panique pour qualifier létat de ses clients. Elle suggère lutilisation des formes verbales anglaises telles que: depressing, angering, anxietizing, phobicing, etc.

20 3. Principales techniques 3.1 Lenseignement Il sagit dune technique de base. Le client doit dabord faire face à la réalité et se rendre compte que son comportement est irréaliste. Lintervenant disqualifie le comportement irréaliste. Finalement, lintervenant enseigne au client une nouvelle manière de se comporter afin de satisfaire ses besoins dune manière réaliste. Afin datteindre cet objectif, lintervenant renforce les comportements, décisions ou planifications qui sont de nature positive.

21 3. Principales techniques 3.2 Lhumour Une façon de mettre en évidence labsurdité dun comportement. Une intervention humoristique bien ajustée peut aider le client à prendre conscience de lincongruité de son comportement. Si le client parvient à rire de son comportement, cela peut créer la nécessaire distance propre à favoriser un changement de comportement. Lhumour nest pas le sarcasme ou le cynisme. Il ne sagit pas de se moquer du client, mais de percevoir dune manière humoristique un comportement particulier.

22 3. Principales techniques 3.3 La confrontation Lintervenant ne critique pas et nattaque pas son client. Son travail consiste à explorer le comportement du client afin quil puisse y apporter des changements effectifs et efficaces. Le choix de la manière dont il faut confronter un client est une question de style personnel de chaque intervenant en thérapie du choix. Il sagit daider le client à faire des plans ou à sengager à sorganiser pour changer des comportements difficiles.

23 3. Principales techniques 3.4 Les techniques paradoxales Les techniques paradoxales permettent de donner des instructions contradictoires aux clients afin de les aider à réaliser des changements positifs. Par exemple, un client qui est excessivement préoccupé par le fait de ne pas faire derreurs dans son travail et à qui lintervenant demande expressément den faire. Si le client essaie de faire des erreurs dans son travail, tel que suggéré par son conseiller, il démontre quil peut contrôler le problème.

24 3. Principales techniques 3.4 Les techniques paradoxales Les techniques paradoxales sont à la fois inattendues et difficiles à manier pendant la thérapie.. Cest pour cette raison que Glasser suggère au moins deux ans de formation avant de pratiquer la thérapie de la réalité. Il existe deux types de techniques paradoxales: la reformulation (reframing) et les prescriptions (Sharf, p. 417). La reformulation aide les individus à changer leur manière de penser ou dinterpréter une situation donnée. Par exemple, un jeune client dit quil est offensé parce quune femme a refusé daller dîner avec lui. Cette réaction peut être reformulée en demandant au client de commenter avec la jeune femme sur la force de sa personnalité au lieu damplifier le rejet quil pense avoir subi. La reformulation aidera ainsi le client à choisir le contrôle de ses émotions.

25 4. Processus dintervention daprès le système WDEP W équivaut à want Il sagit de déterminer ce que le client veut et des moyens disponibles pour latteindre. De son côté, lintervenant partage aussi ce quil veut et sa perception de la situation du client. Cet échange est basé sur le respect mutuel. Le but poursuivi à cette étape de lintervention est de clarifier ce que le client recherche. D équivaut à direction Il sagit dexplorer la direction de la vie du client. Lefficacité et la non efficacité du dialogue intérieur. Laccent est mis sur le comportement actuel du client. Dans quelle direction le client oriente-t-il sa vie ?

26 4. Processus dintervention daprès le système WDEP E équivaut à évaluation Il sagit dinviter le client à évaluer son comportement et à déterminer son degré de responsabilité personnelle. Le client peut devenir ainsi plus conscient des comportements qui sont contraires à ses buts et ainsi trouver la motivation pour les transformer. Cette reconnaissance de responsabilité est essentielle.

27 4. Processus dintervention daprès le système WDEP P équivaut à planification Il sagit de la planification de changement de comportement. Ce plan doit décrire les comportements qui seront adoptés. Un plan doit être atteignable, mesurable, immédiatement applicable et maintenu dans le temps. Il peut sagir dun contrat écrit. Il doit être clairement établi quaucune excuse ne sera acceptée. Si le contrat nest pas accompli, la responsabilité retombera sur les épaules du client. Bien sûr, lintervenant doit encourager le client à redoubler ses efforts afin datteindre ses objectifs.

28 Conclusion Il sagit dune approche qui peut être appliquée dans plusieurs contextes. De plus, cette approche est très concrète et il est relativement facile de suivre la progression du client. La thérapie de la réalité se base sur la liberté et la responsabilité du client. Donc, il ne sagit pas de changer le monde, mais bien dinsister sur la transformation personnelle. Elle peut sappliquer sur le court terme. Mais, cette approche néglige lhistoire personnelle et laspect physiologique de la maladie mentale. Il faut aussi souligner la pauvreté théorique de lapproche. Elle ne tient pas compte de la complexité du développement humain. Aussi, le client peut imposer ses propres valeurs ou perceptions. Ainsi, on pourrait demander à Glasser : dans un paradigme post-moderne, « quest-ce que la réalité ? »

29 Conclusion Dans son approche thérapeutique, William Glasser considère que l'étude du passé peut être importante car elle fournit de l'information contribuant à développer des généralisations psychologiques. Mais cette information a peu de rapport avec la thérapie. L'histoire détaille simplement à l'infini les tentatives infructueuses du patient pour satisfaire ses besoins. Quel intérêt y a-t-il à savoir que vous avez peur de vous affirmer parce que vous avez eu un père dominateur ? Le patient et le thérapeute peuvent tous deux connaître cette circonstance et en discuter pendant des années, mais cette connaissance n'aidera pas le patient à s'affirmer dans le présent.

30 Conclusion Traditionnellement, le thérapeute a toujours beaucoup compté sur l'aptitude du patient à changer son attitude et finalement son comportement, en prenant connaissance de ses conflits inconscients et de son inadaptation. En thérapie du choix, c'est le comportement qui importe. On ne compte pas sur la compréhension pour changer les attitudes car, la plupart du temps, elles ne changeront jamais. Le thérapeute du choix utilisera son lien avec le patient pour lui apprendre de meilleurs modèles comportementaux qui laideront à changer son attitude. Que le client comprenne ou non, sa nouvelle façon d'être et sa nouvelle attitude favoriseront un changement ultérieur du comportement.

31 Bibliographie Barness, R. & Parish, T. S. (2006). Drugs versus reality therapy.International Journal of Reality Therapy,25(2), 43-45. Glasser, W. (2000). Counseling with choice theory. New York: HarperCollins Glasser, W., & Wubbolding, R. (1995). Reality Therapy. In R. Corsini & D. Wedding (Eds.), Current psychotherapies (5th ed., pp. 293-321). Itasca, IL: Peacock. Kim, J-U. (2008). The effect of an R/T group counseling program on the Internet addiction level and self-esteem of Internet addiction university students.International Journal of Reality Therapy, 27(2), 4-12. Mottern, R. (2008). Choice theory as a model of adult development.International Journal of Reality Therapy, 27(2), 35-39.

32 Bibliographie Schoo, A. (2008). Motivational interviewing in the prevention and management of chronic disease: Improving physical activity and exercise in line with choice theory. International Journal of Reality Therapy, 27(2), 26-29. Wubbolding, R.E. (1990). Expanding reality therapy: Group counseling and multicultural dimensions. Cincinnati: Real World Wubbolding, R.E. (1991). Understanding reality. New York: HarperCollinns Wubbolding, R.E. (2000). Reality therapy for the 21st century. Briston, PA: Accelerated Development

33 Exercice: Le cas de Linda Conceptualisation Selon la thérapie du choix, Linda évite de se décider dans sa vie. Elle laisse dautres personnes décider pour elle, même dans le choix davoir un bébé ou non. Elle essaie toujours de trouver des excuses pour ne pas faire de choix. De plus, Linda ne prend pas soin de ses besoins psychologiques de base tels que les désirs dappartenance, de pouvoir orienter sa propre vie, dêtre libre et den jouir. En négligeant ces besoins, Linda sest donné une fausse identité. Cependant, Linda peut choisir dêtre différente. Elle peut choisir de sengager dans une relation non manipulatrice (noncontrolling relationships) avec sa famille et ses amis. Bien plus, elle peut choisir de prendre des actions constructives et darrêter de déprimer. Si jamais Linda fait ce choix ultime, elle deviendra plus autonome, responsable et gagnante. Linda peut aussi clarifier ce quelle veut faire dans sa vie, trouver une nouvelle direction, découvrir des resources internes et externes pouvant lui permettre de mieux assumer son existence, daméliorer sa santé mentale et de progresser dans sa vie professionnelle.

34 Exercice: Le cas de Linda Traitement selon la thérapie du choix 1. En tant que thérapeute du choix, vous êtes actif dans le processus thérapeutique de Linda. Votre travail est basé sur une forte relation de confiance avec votre cliente. Quallez-vous essayer denseigner à Linda ? Réponse: Quelle peut rejeter les comportements non-réalistes sans se rejeter elle-même ou être rejetée par vous. 2. Comment allez-vous utiliser le système WDEP pour parvenir à atteindre les objectifs que vous vous êtes fixés avec Linda ? 3. Pouvez-vous utiliser les techniques paradoxales, sachant que Linda affiche des idées suicidaires ?


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