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GENÈSE DES BANLIEUES Québec, 1901-1951
Anna OLIVIER GENÈSE DES BANLIEUES Québec, Je vous présente aujourd’hui les premiers résultats de recherche obtenus grâce à une nouvelle méthodologie permettant de relier des données individuelles de population et la géoréférence de leur lieu d’habitation. L’application de cette méthodologie à la genèse des banlieues de Québec se fait dans le cadre d’une recherche post-doctorale en géographie, subventionnée par le FQRSC. Pour commencer, ces images illustrent la diversité des formes de l’habitat de ce qui fut à un moment donné la banlieue de la ville de Québec, même si aujourd’hui vous en associez certainement quelques unes avec le centre ville, ce qui montre l’ancienneté de ce phénomène ! La poursuite de l’étalement urbain conduirait à faire, de ce que nous vivons aujourd’hui comme banlieue, la partie intégrante d’un espace vécu comme central demain. Mon objectif est d’analyser les liens qui unissent ces formes résidentielles successives avec les populations qui les ont construites et habitées, pour comprendre leur influence réciproque. Cette connaissance serait un support pour les décisions concernant l’aménagement du territoire, et je vous suggérerai une petite piste en conclusion. Projet post-doctoral en géographie au CRAD Équipe GIRBa, « La Banlieue revisitée » Laboratoire de Géographie Historique, CIEQ « Population et Histoire sociale de la Ville de Québec, »
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Mise en perspective théorique : la dynamique urbaine
Colloque étudiant du CRAD, 13 février 2004 Construction d’une typologie socio-spatiale des franges urbaines Mise en perspective théorique : la dynamique urbaine Un portrait modèle : franges et « Banlieue » en 1901 2. Evolution du cadre bâti de la ville de Québec 3. Construction de la base de données géoréférencées sur la population 4. Trois exemples de mise en relation Concrètement, et appliqué aux franges urbaines du premier XX° siècle à Québec, cette analyse passe par la construction d’une typologie socio-spatiale de la banlieue à plusieurs dates choisies, puis d’une mise en relation dynamique dans l’espace et dans le temps de ces portraits successifs. - Après avoir présenté le principe de cette typologie et sa place dans un cadre théorique, je l’illustre avec le portrait réalisé en 1901. - Ensuite, je vous explique dans quelle mesure cette méthodologie a été généralisée à l’ensemble de la période en fonction des sources concernant le cadre bâti d’une part, la construction d’une base de données sur la population de l’autre. - Enfin, je vous présente trois exemples d’analyse agrégeant de manière différentes les données dans cette mise en relation du milieu bâti et de la population à l’échelle la plus fine que nous puissions voir un bâtiment et la population qui l’habite.
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Banlieue « première couronne »
La dynamique urbaine : du centre à la périphérie Banlieue « première couronne » franges urbaines banlieue 1901 centre a) La première manière de concevoir la dynamique urbaine repose sur une opposition en un centre et une périphérie, et je vais l’enrichir en lui donnant une dimension temporelle. Une succession de couches de bâti s’accumulent avec le temps au fur et à mesure que la ville grandit, pour former la ville d’aujourd’hui, avec son centre et sa périphérie. (//) Comme nous pouvons reconstituer la croissance de l’arbre en analysant la coupe de son tronc, de même nous pouvons concevoir ici la ville actuelle comme le résultat du processus de croissance d’un organisme. Pour comprendre la dynamique de cette croissance, nous décomposons notre espace urbain. Chaque nouvelle période de croissance est matérialisée par de nouvelles constructions, formant à chaque fois une nouvelle banlieue. (//)
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Dynamique urbaine et ségrégation socio-spatiale
Voici un second modèle, reposant sur l’idée chère aux géographes de la ségrégation socio-spatiale, et décomposant autrement l’espace urbain. Je l’illustrerais à Québec avec la distinction traditionnelle entre la Haute Ville, schématisée en bas //, et la Basse Ville, schématisée en haut. //. Cette distinction serait si forte qu’elle dominerait la distinction entre centre (à droite, //) et périphérie (à gauche //) que nous venons de voir. (fin//) Construire la typologie socio-spatiale des banlieues permet de mesurer quel modèle est le plus fort. Pour pouvoir construire le puzzle (euh, le casse-tête) de l’espace urbain, il faut pouvoir disposer de ces morceaux….
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La ville et ses banlieues
UN LIEU DANS LA VILLE - localisation (géoréférence) - numéros civiques,"demeure" - rue, réseau routier terrain Annuaire Marcotte UN BÂTI - études de morphogenèse - typologie de l'habitat - photographies UNE POPULATION c) méthodologie de la recherche 1) Cet espace urbain, constitué de la ville et des banlieues, se compose de trois sortes d’éléments qui entretiennent des relations. - D’abord, des lieux dans la ville //- ensuite un cadre bâti//- enfin une population// 2) les sources dont nous disposons sont - la localisation par géoréférence des lieux //, avec les numéros civiques correspondant aux demeures et la rue, dont il faut retrouver la date de création grâce aux cartes anciennes - l’annuaire Marcotte (et le recensement pour 1901) //pour les données individuelles sur les ménages, avec le rôle d’évaluation pour compléter les informations - des études faites en morphogenèse // et la possibilités de voir et photographier les bâtiments existants 3) Les liens reposent sur - l’annuaire Marcotte //, qui est un lien physique (comme nous allons le voir) - le travail de terrain //pour vérifier si le bâti existant correspond aux sources - une analyse des liens// entre population analyse - annuaire Marcotte avec nom et profession - rôle d'évaluation - recensement
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1. Le modèle : franges et « Banlieue » en1901
Portrait en 1901 A partir de là, il est possible de dresser à chaque date un portrait de la ville et de ses banlieues, et voici celui de Québec en 1901 Il est réalisé en croisant les deux types de données disponibles à l’échelle la plus fine possible, celle du ménage et du lieu de résidence, pour ensuite les agréger de différentes manières pour l’analyse
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Franges urbaines : le bâti entre 1871 et 1901
Heydleyville Rue de l’Aqueduc St-Jean La première étape du travail est la définition de l’espace bâti qui forme la banlieue. A partir des deux cartes des bâtiments géocodés en 1901 et 1871, J’ai créé une carte qui mesure la part de nouvelles demeures entre 1871 et 1901 dans chaque cellule ou maille hexagonale. Les nouvelles franges en 1901 (en rouge) sont celles dont tous les bâtiments sont nouveaux, vous voyez qu’elles ne forment pas un cercle parfait autour du centre déjà construit, mais qu’il existe des petits noyaux de concentration. Cependant, globalement, plus la part de bâtiments neufs est forte, plus nous sommes à la périphérie de la ville. Pour fabriquer la typologie, j’ai regardé si la population à l’intérieur des franges (c’est à dire à une échelle plus fine, un zoom sur les mailles rouges) était partout la même. Pour cela, j’ai défini quatre zones, ce qui va vous permettre de mieux vous situer sur la carte : - « Banlieue » // qui est la dénomination officielle de cette partie de l’espace intégré à la ville de Québec même si elle est en dehors de ses limites (//) environ rue Claire-fontaine - Aqueduc //, la partie du quartier St Sauveur à l’ouest de la rue de l’Aqueduc dont vous voyez la diagonale - Heydleyville //, qui est l’un des noyaux de Limoilou - St-Jean //, une zone nouvellement construite autour de l’ancien glacis de la Tour Martello n°4 Cette agrégation se fait sur une proximité spatiale, et je vais comparer la population de chaque zone avec son voisinage. Auparavant, pour avoir un point de repère, il est utile de voir si ceux qui vivent dans ces franges (en rouge) sont différents de ceux vivant ailleurs dans la ville (dans les zones orange, jaune ou verte) : c’est la seconde étape du travail, l’analyse de la composition de la population. limite de la ville « Banlieue »
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Indicateurs socio-démographiques de la population de Québec
La richesse de l’analyse en 1901 repose ici sur le jumelage des bâtiments géocodés avec les données individuelles du recensement, utilisées ici pour créer des indicateurs socio-démographiques l’ensemble de la ville // sert de référence, la population est ensuite répartie en fonction de la densité de bâti de leur secteur // : Plus on va vers la droite, plus la part de bâtiment nouveaux dans le secteur ou habite la personne est importante. Cela correspond aussi également à un éloignement du centre ville comme nous l’avons vu sur la carte. (//disp) Les franges nouvelles n’obéissent pas à la logique attendue d’accentuation des caractéristiques en fonction de l’accentuation de la part de bâtiment neufs. L’âge en jaune permet de mesurer la jeunesse des franges d’expansion par rapport au centre. la part des moins de 15 ans dans la population jaune foncé est le seul indicateur qui respecte totalement le modèle d’accentuation du centre vers la périphérie. Le critère de l’origine ethnoreligieuse permet de vérifier si la francocanadianisation de la ville par le biais des mouvements migratoires se fait par ses marges comme à Montréal par exemple. Ici, ce n’est pas le cas. Au contraire, on peut constater une surreprésentativité des anglo-protestants en violet alors que la tendance générale de la ville de Québec est à leur diminution …La part de Canadiens Français (en bleu) est surtout forte dans les zones ayant pourtant une forte part de bâtiments neufs. En résmé, la spécificité des franges nouvelles // modifie le modèle centre périphérie valable pour la progression des catégories 0 à2. Seule l’analyse interne des franges va pouvoir expliquer ce phénomène.
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Profil professionnel de la population active
Ensemble de la ville Voici un second exemple, le profil professionnel de la population active à Québec en 1901, avec un regroupement des métiers en 8 catégories Bleu, W non manuels, roses et mauves W manuels (mauve pâle domestiques) Jaunes, entrepreneurs et vert agriculteurs l’ensemble de la ville // est à gauche, avec travailleurs, et la décomposition en 4 classes se fait sur la base de la carte comme précédemment // . La part des travailleurs manuels qualifiés augmente au fur et à mesure de l’éloignement, sauf pour les franges, encore une fois plutôt à part. Nous observons dans les deux types de profil un schéma similaire. Grâce à la possibilité de découper de même le territoire de ces franges en sous-catégories ou sous espaces, nous allons voir que cette spécificité est attribuable à notre fameuse Banlieue en Haute Ville.
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Comparaison grâce au profil professionnel de la population active
Typologie socio-spatiale de la nouvelle frange par rapport à son voisinage Comparaison grâce au profil professionnel de la population active et aux indicateurs socio-démographiques Pour cette troisième étape, l’analyse interne des différences entre les franges, les mêmes indicateurs sont choisis. Chacune des quatres zones de frange // indiquées sur la carte est comparée à son voisinage immédiat //
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profil socio-démographique, nouvelles franges et voisinage
N= N = N = N = N = N = N = N = 436 La Banlieue // se distingue fortement du reste des profils, expliquant en partie pourquoi l’ensemble des nouvelles franges se distinguait autant de la progression attendue, en particulier dans la composition ethnoreligieuse. Une fois mise à part cette Banlieue, Pour les indicateurs démographiques, nous observons que les nouvelles franges sont davantage similaires entre elles qu’avec leur voisinage. Ainsi, elles affichent par exemple un rapport plus fort de masculinité //. Cela indique que la périphérie compte des ménages avec moins de femmes, ce qui est fréquent car l’emploi industriel y est moins développé. L’examen des profils professionnels permet de préciser cette explication.
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profil professionnel, nouvelles franges et voisinage
profil professionnel de la population des franges en 1901 Pour le profil professionnel, Comme tantôt, chaque zone de frange définie sur la carte précédente est comparée à son voisinage immédiat, // et disp 4 fois (Heydleyville, Aqueduc, StJean, Banlieue) ceci permet de voir dans quelle mesure les franges ressemblent à leur voisinage, dans quelle mesure elles se ressemblent entre elles // et se distinguent du voisinage //, déjà intégré depuis plus longtemps à la ville. (// disparition) Il y a une combinaison des deux phénomènes - la banlieue est très influencée par son voisinage et se distingue fortement, en particulier par la proportion de domestiques, qui sont des femmes et qui forme l’essentiel de la main d’œuvre féminine. les trois autres franges ont un profil comparable. Notons la très forte part de travailleurs manuels qualifiés à St Sauveur. Les 3 quartiers sont davantage conformes à un modèle d’expansion centre-périphérie. Le quartier de Banlieue à un modèle de ségrégation.
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2. Évolution globale du bâti
Voici maintenant comment le travail fait en 1901 peut être généralisé et adapté aux périodes suivantes. Cette étape essentielle de la définition des espaces considérés sur lesquels porte l’analyse repose sur la qualité des sources et sur les moyens techniques disponibles..
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Le cadre bâti : croissance de la ville de Québec
La croissance de Québec montre l’intégration de différents portraits de banlieue à la ville. Les franges urbaines sont dessinées à plusieurs dates choisies en fonction de la possibilité de comparer aux données aux recensements de population ( 1911, 21, 31, 41, 51). Par exemple, la carte des franges en 1901 à l’échelle de la ville d’aujourd’hui correspond à peu près aux zones orangées sur la carte. La définition est basée sur le caractère nouveau des rues, grâce à l’étude de cartes anciennes //, la source principale Le géocodage est fait en fonction de la date d’entrée de la rue dans le réseau routier, ce qui permet d’aller chercher les informations dans l’Annuaire Marcotte Nous disposons alors d’un éventail des nouvelles formes bâties au cours du temps, permettant de visualiser le type de croissance de la ville. Cette croissance s’est faite en cercles autour du centre mais aussi à partir de de petits centres qui ont été intégré à l’agglomération //
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3. Construction de la base de données géoréférencées sur la population
- La seconde étape est celle du type de population qui a vécu dans ses maisons et ces différents quartiers, et les ressemblance et différence avec la population des centres ou des autres quartiers.
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Un outil essentiel : l’Annuaire Marcotte
L’outil essentiel pour l’analyse de la population est l’Annuaire Marcotte. C’est lui qui permet également le géocodage des lieux. a) En effet, c’est un annuaire qui donne les renseignements par rue // - puis, à l’intérieur de chaque rue, par numéro civique entre deux segments de rues perpendiculaires) // - Les informations sont le nom, le prénom et la profession des occupants citoyens majeurs (et donc des femmes après la guerre) b)Il est donc possible de construire un profil professionnel de la population en fonction du lieu de résidence comme en 1901, grâce à l’annuaire (les données individuelles du recensement après 1901 ne sont pas encore disponibles avant plusieurs années, mais on peut avoir certains renseignements dans le rôle d’évaluation)
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4. Mise en relation du milieu bâti et de la population
Enfin, nous en arrivons à la troisième étape qui est le croisement, la mise en relation entre ces deux types de données d’abord à l’échelle la plus fine possible, celle de la demeure et du ménage Ensuite la variété de mise en relations et de méthodes d’agrégation se fait en fonction des objectifs poursuivis. Trois exemples d’analyse
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a) à l’échelle de la demeure
Rue des Érables, Montcalm Stadacona (Limoilou) Par exemple, la corrélation avec le tissu existant permet de faire une étude sur les densités et de comparer les conditions de vie d’une famille de 7 personnes selon si elle vit ici ou là // . Il est également possible de prendre un logement au cours du temps et d’étudier le type de population qui y vit.
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b) Terrace Burroughs mobilité ou stabilité résidentielle ?
1901 Sans # 12 p. 1911 10 # 12 p. 1921 10 # 16 p. 1931 10 # 15 p. 1941 12 # 14 p. 135 Laliberté 139 Pageau 143 Schryburt 147 Burroughs 151 Burroughs Mc Gill 155 Meiklejohn Chs 159 Ahern 163 Boyce 167 Ellis 175 Laurie 135 Laliberté Côté 137 Miller 139 Martineau 143 Plamondon 147 Lemieux 151 Burroughs Burroughs McGill 155 Auger 159 Ahern 163 Boyce 167 Paradis 135 Laliberté 137 Thompson Arsenault 139 Martineau 143 Plamondon 147 Leclerc 151 Burroughs Beaver 155 Auger Drouin 159 Ahern 163 Boyce 167 Frenette 135 Laliberté _ 137 Thompson Dechène Maurice 139 Sackman 143 Holliday 147 Leclerc 151 Esnouf 155 Drouin 157 Auger 159 Ahern 163 Turner 167 Bélanger Pageau Woods Burroughs Meiklejohn Chs Ahern Boyce Ellis Adams Bernier Littlejohn C’est déjà une manière d’agréger les données dans le temps et l’espace, comme le montre l’exemple des Terrace Burroughs, rue des Erables a Montcalm. C’est un groupe de 9 maisons construits en 1878 sur le modèle des logements en Terrace britanniques// La famille Burroughs, promoteur du lotissement, y vit encore en 1931//. Derrière le caractère parfois anecdotique de ces données (comme le fait que vit ici le propriétaire des magasins Laliberté //), la stabilité et la densité résidentielles peuvent être mesurées, donnant une idée de l’adéquation d’une demeure et de sa population : la famille Ahern y vit sur toute la période étudiée //, les autres sont moins stables si on se fit au nom de famille //. La question de la surreprésentativité d’une élite anglophone peut être également résolue, sur la base des noms de famille et de la langue d’usage //.
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c) Analyse d’un quartier : Giffard
Propriété des religieuses Développement domiciliaire Années 1950 Lotissement par promoteurs Années 70 A une échelle plus large, le quartier, le puzzle des différentes étapes de construction de l’espace urbain peut être réalisé. Ici, a Giffard, l’avenue royale // est le parcours-mère. l’hopital et la propriété des soeurs // forment l,essentiel de la trame. La base est travail fait en géographie urbaine par Annie Caron, qui a analysé la manière dont les ventes des lots par les religieuses a structuré l’espace. La croissance se fait dans surtout 50’ //, et recommence actuellement. Reste à voir pour chaque zone, au moment de la création des lotissements, quelle population s’installe dans quel type de bâti. Qui arrive à Giffard en 1921 ? Qui arrive en 1951 ? Il est possible d’aller plus loin : de comparer la population de l’ex frange de 1931, aujourd’hui devenue centrale, avec celle de la nouvelle frange de 1951. Centre hospitalier Avenue royale (Noyau début du siècle)
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Pourquoi une nouvelle banlieue ?
Pour conclure, un retour au présent. Ce travail de mise en relation entre bâti et population permet de poser une hypothèse sur les raisons de la poursuite l’étalement urbain : une forte indéquation entre un bâti et sa population pousserait à résoudre la contradiction en allant plus loin pour construire un habitat conforme à ses aspirations…. - lorsque la Grande Allée n’est pas accessible, - et le bungalow vraiment démodé pour une population en ascension sociale. - une nouvelle manière de gommer les différences entre Basse Ville et Haute Ville n’est-elle pas …. // un château en banlieue…. Merci… je vous laisse la parole pour questions et commentaires… J’ai été généreusement accueillie au sein du CRAD (et j’en remercie Paul et Marius), ainsi que l’équipe du Girba.Je collabore avec l’équipe du CIEQ, PHSVQ , qui informatise, géocode et interprète les recensements de Québec (je remercie Marc STHILAIRE, Richard MARCOUX, Nicolas LANOUETTE et Charles FLEURY). Merci spécial à Catherine et bien sûr à Josée.
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